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    Tokyo!
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    108 critiques spectateurs

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    landofshit0
    landofshit0

    275 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 mai 2013
    On pouvait s'attendre à quelque chose de mieux de la part de ses trois réalisateurs. Qui n'offre ici que des court métrages sans réelle saveur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 septembre 2012
    Ça fait depuis trop longtemps que j'attendais de voir ce film. On commence par "Interior Design" de Michel Gondry (Eternal Sunshine,...). On y trouve une critique du Japon et de la difficulté même pour les japonais de trouver un logement ou s'intégrer à cette nouvelle vie. Acteur magnifique, scénario à rebondissement et effet garantis pour ce premier court-métrage. Le deuxième de Leos Carax (Holy Motors,...) met en place le personnage Merde qui sème la pagaille à Tokyo. Mais je ne me suis pas pris au jeu. Il est irritant, énervant, incompréhensible et lent. Le seul des trois qui est raté et dénué d'intéret. On finit par le réalisateur de "Mother" ou "The Host, qui nous présente son "Shaking Tokyo". La capitale futuriste où personne ne sort de chez soit et les tremblements de terre sont récurrents. La meilleure histoire, belle touchante, profonde et parfaite. Les deux acteurs sont bons, mais ce qui m'a fait aimé est sans aucun doute le message: en restant dans son coin, on arrivera jamais à rencontrer l'amour. Pour finir, ce "Tokyo!" est une bonne surprise et change des "Paris, je t'aime". On n'a pas un guide touristique mais la vérité.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 juillet 2012
    "Interior Design" : une drôle d'idée, qui n'est certes pas sortie de l'esprit de Michel Gondry mais dont on ne voit pas qui d'autre aurait pu l'adapter à l'écran. Délicieusement absurde et poétique, mais aussi un peu vain. / "Merde" : Carax a toujours de quoi laisser perplexe, mais difficile de ne pas apprécier l'incroyable première sortie de Denis Lavant dans les rues de Tokyo. Le plus marquant des trois films, évidemment. Carax a tout fait pour... / "Shaking Tokyo" : c'est joli, il y a de belles idées, mais on reste un peu sur notre faim. Bong Joon-ho semble malheureusement le moins concerné des trois cinéastes, alors même qu'il est finalement le seul à vraiment s'intéresser à un fait de société typiquement japonais. / Il y a toujours du bon et du moins bon dans un film à sketches, et si aucun des trois moyens-métrages n'est raté, aucun n'est vraiment totalement réussi non plus. Cependant, "Tokyo!" évite cet insupportable côté carte postale consensuelle qu'ont "Paris, je t'aime" ou "New York, I love you". Gondry, Carax et Bong ont eu l'occasion de vraiment faire ce qu'ils voulaient et ils ne s'en sont pas privés : voilà une différence de taille avec les publicités touristiques sus-citées.
    JeffPage
    JeffPage

    39 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juillet 2012
    Film à sketchs de Michel Gondry, Leos Carax et Joon-ho Bong

    Interior Design de Michel Gondry :
    Le film nous raconte l'histoire d'un couple venus s'installer à Tokyo afin que le mari puisse mener une carriere de réalisateur. Abandonné peu à peu, la femme va subir une transformation des plus étranges.
    Avec ce film, Gondry nous livre un film à tendance surréalistes, très bien réalisé et qui nous montre une histoire de couple différente.

    Merde de Leos Carax
    Racontant l'histoire d'une créature étrange, Mr Merde, le film nous emmène dans la vie cet créature et son procès pour meurtre.
    Décevant d'un point de vue réalisation, le film à aux moins le mérite d'introduire un personnage culte du cinéma de Carax, Mr Merde, qui sera repris dans Holy Motors.
    De plus, on retrouve Denis Lavant qui interprète à merveille ce personnage dégoûtant et étrange.

    Shaking Tokyo de Bong Joon-ho
    Ce troisième segment nous raconte l'histoire d'un hikikomori, un homme vivant reclus chez lui, qui est sorti de sa vie lorsque la livreuse de pizza s'évanouie chez lui.
    Bine que l'histoire ne soit pas forcément passionnante, le film s'en sort grâce à une photographie jouant sur l'opposition entre l’intérieur et le monde extérieur ainsi que sur un éclairage magnifique lorsque le personnage sort de chez lui.
    Un joli film qui conclut bien cette oeuvre.

    Au final, ce film est plutôt sympathique bien que l’intérêt des histoires soit assez variable.
    stillpop
    stillpop

    81 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 février 2012
    Trois histoires très différentes avec toile de fond la capitale nippone.
    « Interior design », par le Français Michel Gondry.
    Cette fois, l'obsession du travail manuel est un peu mis en sourdine, tant mieux, on aurait pu croire à un système ou pire, une limitation du génial Français exilé pour toujours ailleurs qu'à Paris. Cette fois, c'est la vie de bohème et de galère des artistes maudits qui est transposée pour le pire et le rêve dans une capitale bien moins drôle que Paris.
    Le personnage de la petite copine de l'artiste est donnée comme prototype de la femme japonaise soumise qui sait s'effacer face au salary man nippon, peut-être un peu caricatural sinon dépassé face aux bouleversements de ce pays ultra moderne, mais très poétique. La transmutation est dans le plus pur style Gondrien, avec la maîtrise technique qui empêche toute critique d'amateurisme. Super sympa, bien qu'un peu loufoque et limité.
    « Merde à Tokyo ». Du Français Léo Carax.
    Je n'aime pas Léo Carax, et ce « film » me le rend bien. Si l'on rit d'une farce de potache avec une maîtrise technique et un humour type jeune prodige sorti fraîchement de la Femis, on a du mal à digérer un travail laborieux, insultant de facilité intellectuelle et partant complètement en couille de la part d'un réalisateur chevronné et fantasque. Le parallèle est d'autant plus troublant que Gondry est le contraire exact de Carax, de la poésie mais pas de haine, de la beauté, mais pas de violence, de l'intelligence mais pas de hurlements, et une carrière prometteuse avec des réussites en chaîne malgré les sujets ambitieux ou improbables face à une attitude de looser et des sacrés casseroles.
    Ce sketch pour ados boutonneux ou intellos ultra réactionnaires ou cinéphiles du non sens est caricatural de l'absence de consensus entre le réalisateur fou ou pitoyable et le spectateur qui aimerait sans doute plus de respect.
    Dommage que ce soit ce réalisateur qui nous fasse redécouvrir « la » Dreyfus, totalement absente des écrans français ces derniers temps.
    « Shaking Tokyo ». De Bong Joon-Ho.
    Contrairement à Léo Carax, j'ai un excellent à priori sur Joon-Ho, réalisateur de « Memories of murder » et Monika n'est pas en reste avec son appréciation de « Barking Dogs never bites ». Ici, malgré le sujet pris dans une relative crudité et une simplicité de film d'auteur indé, la sauce prend rapidement, pour finir avec un message simple et poétiquement raconté.
    Évidemment, c'est simpliste, facile par moment, mais la réalisation est magnifique, la photo superbe, l'idée bien tournée, hyper contemporaine, que du bonheur si l'on n'est pas trop exigeant. Et c'est sans doute le « court » métrage qui correspond le plus au type de formatage que l'on attendait de ce type de mix, les deux autres travaux des Français se plongeant dans de trop nombreuses idées et sont un peu longs.
    Vivement que les distributeurs nous donnent en pâture d'autres films de ce réalisateur coréen qui doit avoir quelques perles ces 4 dernières années.
    En tout cas, le monde et la langue japonaise, si proches par le cinéma qui hante Paris, nous semble encore plus cohérents avec ces trois courts métrages qui restent une sympathique découverte de la capitale Tokyo, vue par de petites fenêtres.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 7 janvier 2012
    Postulat 1:la ville rend invisible.Postulat 2:Le sauvage peut sourdre à tout moment dans la ville.Postulat 3: Il faut s'exclure de la ville.
    lorenzo fly
    lorenzo fly

    22 abonnés 813 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juin 2011
    3 courts métrage réunis pour faire un film, le principe est pas mal. L'avantage est d'avoir une diversité cinématographique et beaucoup de liberté prise par les réalisateurs. Les deux premières histoires sont moyennes mais valent le coup d'œil, la troisième sort du lot et est une vrai réussite. Du vrai cinéma que je conseille (au moins une fois).
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 mai 2011
    Trois courts métrages de trois réalisateurs différents. Le premier "Interior Design" est plutôt intéressant, bien réalisé, notamment dans sa dernière partie, mais ce court métrage de Gondry reste plutôt anecdotique.
    On enchaîne donc avec "Merde" de Leos Carax. Alors d'accord c'est sans doute le plus innovant, le plus critique, et donc le plus risqué. Mais ça n'en fait pas pour autant un bon court métrage pour plusieurs raisons. Peu d'idée de cinéma, des acteurs qui surjouent et le propos nébuleux devient vite lourd. Mon véritable coup de coeur reste le dernier court de ce film "Shaking Tokyo" réalisé par Bong Joon Ho cinéaste Coréen auteur de The Host et Memories of Murder. Ce court propose une mise en scène superbe, d'une fluidité exemplaire dans un espace pourtant exiguë. Deux personnages très touchant et une vision de Tokyo vraiment dérangeante. Au final trois court métrage plus ou moins réussi mais le segment de Bong est clairement au dessus.
    Julien D
    Julien D

    60 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 avril 2011
    Il ne sera pas très original de dire que ce film, comme tous les films à sketches, est très inégal. A tel point que la qualité générale de celui-ci fait figure de grand huit. Le premier métrage de Michel Gondry est un pur bijou à la fois simple et inventif, mais aussi très poétique (comme souvent chez Gondry...). Le second, signé Leos Carax est amusant les dix premières minutes, puis s'enlise dans un univers pseudo-auteurisant hermétique et surtout chiant comme la pluie. Ce segment s'intitule "Merde" et mérite bien son nom, même s'il n'est pas dénué de quelques bonnes idées, hélas largement insuffisantes. La dernière partie, réalisée par Bong Joon-Ho confirme tout le bien que je pensais du cinéaste. Le film est très bien écrit et brillamment réalisé, et relève ainsi le niveau du long métrage. Pour résumer : Gondry 5/5, Carax 1,5/5, Joon-Ho 4/5 = 3,5/5.
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 114 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mars 2011
    Trois réalisateurs, trois styles différents pour une même folie commune. Si certains sujets s'en sortent mieux que d'autres (notamment celui de Mr. Merde) avec un magnétisme débordant, l'ensemble réussira à convaincre même les plus sceptiques grâce à une photographie soignée,une atmosphère envoûtante, une créativité certaine et des acteurs hauts en couleurs.
    Starwealther
    Starwealther

    76 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 janvier 2011
    Un bon film fait par trois réalisateurs talentueux, petite préférence pour le dernier court métrage sur cet homme replié dans sa maison pendant 10 ans! J'ai trouvé que c'était très original et artistique, il fallait déjà trouvé cette histoire de chaise, de Mr Merde et d'Hikikomori. Malgré l'inventivité dont fait preuve Carax c'est néanmoins le court métrage que j'aime le moins. Du bon cinéma, de l'originalité, c'est bien agréable!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 novembre 2010
    3 courts métrages étranges sur Tokyo. Le premier de Gondry nous rappelle qu'avec un thème impose, le réalisateur français est capable de filmer magnifiquement et avec toute la créativité qui le caractérise. Toujours aussi onirique mais toujours aussi bon. Leos Carax se barre lui dans une histoire absurde et noire, dont on a peine a comprendre la portée et le rapport direct avec la ville de Tokyo.
    Enfin le dernier de Joon-ho Bong est un pur chef-d'œuvre, qui justifierait à lui seul de voir ce Tokyo! Basé sur l'histoire d'un hikikomori qui tombe amoureux en croisant par erreur le regard d'un livreuse, le court est un délice de finesse dans l'image et dans la mise en scène.
    Bref, au fond assez cohérent et bien mené, Tokyo! est un film fortement conseillé.
    Lucille T.
    Lucille T.

    38 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 octobre 2010
    Hallucinant, adj : qui a une grande puissance d'évocation.

    Association d'images comprenant trois courts métrages :
    « Interior Design » de Michel Gondry ; « Merde » de Leos Carax et « Shaking Tokyo » de Bong Joon-ho,
    tout juste hallu-ci-nant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 mai 2012
    Poétique et surréaliste, sombre et empreint d'optimisme, ce Tokyo! caractéristique d'une culture ambivalente montre trois visions semblables de la mégalopole. Sans surprise, la presse française n'aura retenu que "Merde", le chapitre du Français, bon mais moins réussi.
    Yetcha
    Yetcha

    881 abonnés 4 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 août 2010
    Un exercice de trois moyens métrages qui pointent les travers de la société japonaise par des extrapolations fantasmagoriques. Sentiment d'inutilité dans le société, rejet par l'extermination ou la mise à l'écart, puis l'isolement des individus qui ont implosés dans cet univers stricte et ultra régulé. A lire au second degré pour vraiment apprécier la qualité de l'oeuvre. Trop intellectuelle???
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