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    Tokyo!
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    Thomas Lesta
    Thomas Lesta

    44 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2008
    C'est absurde, original, et au final assez plaisant.
    Y Leca
    Y Leca

    30 abonnés 991 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 novembre 2024
    Le film de Gondry ne casse pas trois barreaux à une chaise, celui de Carax est pire avec Lavant qui s'enfonce dans le laid, le racisme et les borborygmes avec un Balmer égaré. Seul Bong Joon-ho vaut le détour en abordant - et en multipliant- la solitude des hikikomoris. Décidément les films a sketches ont toujours des déchets.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    36 abonnés 2 367 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 décembre 2023
    Trois cinéastes réalisent chacun un sujet à Tokyo, décor exotique déterminant et propice aux intrigues étranges, pour ne pas dire déroutantes. Pas sûr qu'on sorte du film plus instruit sur la société japonaise.
    Michel Gondry ouvre le bal avec l'histoire d'un jeune couple japonais dont l'homme est un cinéaste amateur à la recherche d'un logement. On pourrait croire que Gondry invoque la crise du logement à Tokyo ...Mais, fidèle à son univers fantasmagorique, sont sujet prend une tournure irrationnelle en imageant le sentiment d'inutilité et de transparence qu'éprouve l'amie du cinéaste. Vient ensuite le sujet de Leos Carax, plus spectaculaire et expresionniste. Avec un ahurissant Denis Lavant, créature hirsute et répugnante surgie des égouts de la ville et terrorisant les passants. Arrêté, défendu par un avocat français (JF. Balmer) qui parle la même langue inconnue et affiche, de façon cocasse, les mêmes stigmates que celui que le Japon a baptisé Monsieur Merde!, le personnage de Denis Lavant semble incarner un anté-christ à la fois burlesque et effrayant.
    Pour finir, Bong Joon-Ho raconte la brève histoire d'un japonais enfermé, en ermite citadin, dans son appartement depuis dix ans et qui, épris d'une livreuse de pizzas, se décide enfin à sortir en ville.
    Le dessein que poursuivent les trois auteurs n'est pas précisément , comme dit plus haut, lumineux. Heureusement qu'entre les deux sujets plutôt indifférents de Gondry et Bong Joon-Ho, Leos Carax glisse une farce noire, tout en truculence et incongruités.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 201 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 février 2011
    Tokyo ! est un concept de trois courts-métrages réalisé par trois cinéastes tous très différents les uns des autres. Ainsi on retrouve Michel Gondry avec Interior Design où il nous conte l’histoire d’un jeune couple qui cherche à s’installer à Tokyo et dont la jeune femme trouvera sa raison de vivre en se transformant en chaise !
    Le second opus est réalisé quant à lui part Leos Carax avec Merde et sème la terreur dans la ville de Tokyo avec "La Créature des égouts". Un film très particulier auquel tout le monde ne devrait pas adhérer !
    Enfin, le troisième et dernier, c’est Joon-ho Bong avec Shaking Tokyo, où le réalisateur nous offre une réflexion sur la solitude (les hikikomoris, sont des hommes et des femmes qui se coupent volontairement de la société, ils vivent reclus chez eux et ne sortent jamais).
    Trois courts-métrages très particuliers qui nous dévoilent chacun une vision différente de la ville de Tokyo. Comme toujours, il y a des œuvres plus réussies que d’autres, le film n’échappe pas à la règle et c’est Michel Gondry qui séduit le plus (entre poésie et rêve), quand à Leos Carax, il questionne et déroute à la fois.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 064 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2008
    Un bon film, les trois segments peuvent paraître inégal… en même temps face à merde, comment ne peut ont pas trouver les deux autres un peu fade, le dernier est un peu longuet et le premier est assez bon, on se laisse porter dans cette ville inhospitalière. Ici il ne s'agit pas de dire Tokio c'est génial, on la montre comme une ville qu'on a pas envie d'habiter. Le Tokio de merde est absolument génial, si au début je trouvais ça presque grotesque, au fur et à mesure que le film avance j'ai été scotché à l'écran, je ne pouvais détourner les yeux… donc je dirai 4 pour merde, 3 pour interior design et 2 pour shaking tokio.
    velocio
    velocio

    1 302 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2008
    Pour tout dire, c'est un peu à reculons que j'étais allé voir ce film qui faisait partie, cette année, de la sélection cannoise Un Certain Regard. En fait, ne m'attirait a priori que le volet Leo Carax : 9 ans après "Pola X", enfin quelque chose à voir de cet ex-génie du cinéma français ! Car "Tokyo", en fait, ce sont 3 films de 30 à 35 minutes, le premier réalisé par Michel Gondry, le suivant par Carax et le dernier par Joon-Ho Bong. Et bien, les 3 films sont tous intéressants. Tous les 3 présentent en point commun, à part Tokyo, un rapport au fantastique, genre qui, d'habitude, n'est pas vraiment ma tasse de thé. Et bien ici, ça passe très bien. Le film de Gondry rajoute à un film "réalisto-fantastique" une pointe d'humour parfaitement dosée. Celui de Carax fait plus dans le loufoque, avec son histoire de monstre des égouts interprété, bien entendu, par Denis Lavant. Globalement, on y trouve de très bonnes choses mais aussi quelques longueurs. Quant au volet Joon-Ho Bong, c'est un film plein de sensibilité sur un monde futur dans lequel personne ne sort plus jamais de chez lui. Une bonne surprise, ce film en 3 volets.
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 octobre 2008
    Le court métrage de Michel Gondry, s'il permet de retrouver son univers décalé et étrange, comporte des longueurs en dépit d'une séquence de transformation insolite. Le second volet montre un Carax curieusement fantaisiste, mais la lourdeur du propos en fait le "sketch" le moins réussi. C'est l'auteur de "The Host" qui remporte la palme dans une troisième partie angoissante et oppressante.
    Fabrice G
    Fabrice G

    117 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 août 2010
    Trois films en un, trois réalisateurs pour une ville : Tokyo ! Malheureusement, comme souvent avec les œuvres collectives, je n’ai pas eu le même engouement pour chacun des segments. Michel Gondry, Leos Carax et Bong Joon-Ho ont fait le choix commun de raconter des histoires où le fantastique et l’onirique font à chaque fois apparition mais traitent leurs sujets de façon très différente. La première histoire, Interior Design (***), est des trois ma préférée, Gondry raconte l’histoire d’un couple qui vient s’installer dans la capitale nippone. Lui rêve de devenir réalisateur, elle, est complètement paumée et ne trouve pas de sens à sa vie… elle va finir par se transformer en chaise ! A la fois poétique, drôle et absurde ce segment est le plus attachant et est une mine d’idées farfelues, il vaut à lui seul le déplacement. Le second Merde (*) raconte l’histoire d’une créature nauséabonde vivant dans les égouts, ne sortant que pour terrifier les Tokyoïtes, mais qui va finir par être capturée et jugée. Celui-ci est le plus difficile d’accès, d’ailleurs, je n’ai pas vraiment accroché. Pourtant, il démarre plutôt bien, la présentation de la créature, interprétée par un Denis Lavant en très grande forme, est très réussie, mais la seconde partie est vite ennuyeuse et inintéressante. Enfin, le réalisateur de « The Host », réalise Shaking Tokyo (**), l’histoire d’un hikikomori (personne qui vit enfermée refusant tout contact avec le monde extérieur) qui finit par tomber amoureux d’une livreuse de pizzas cyborg. Celui-ci, sorte de conte romantico-apocalyptique, est plutôt agréable et bien foutu, et montre que le réalisateur est aussi à l’aise dans le genre que dans registre sentimental. « Tokyo ! » est donc une demie réussite, un triptyque un peu décevant mais qui brille par son éclectisme et son originalité.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juin 2014
    Créatif, inspiré, et tout sauf en panne d'idées, cet assemblage multinational de trois court-métrages sur la plus grande métropole au Monde (et à travers elle sur l'aliénation urbaine) est marquant, s'il n'est pas toujours plaisant. La ligne directrice me semble assez claire, montrer la monstruosité de la ville et étudier par un décalage savamment choisi la déformation qu'elle engendre. Mais si ils forment un ensemble cohérent, les trois courts sont assez hétéroclites tant en eux-mêmes qu'au niveau de leur qualité. Avec "Interior design", Michel Gondry met à contribution toute sa veine poétique et fantastique. Son travail témoigne d'un grand sens de la métaphore et me paraît très significatif. Si je dois me prêter au jeu de la note, un 2.5/5 devrait pourtant suffire, alors que "Merde", proposé cette fois par Leos Carax dont je dois absolument voir prochainement Holy Motors, récolte plutôt un 3/5 pour une oeuvre qui tire du grotesque une grande puissance symbolique. Faire du beau à partir du laid, voilà qui n'est pourtant pas facile. Mais Merde a beau être rendu inoubliable par le jeu de Denis Lavant, mon adhésion n'est pas aussi marquée que mon intérêt, la faute au décalage qui rend difficile d'entrer en résonance avec le métrage. Il en va un peu de même pour "Shaking Tokyo" (2.5/5), du coréen Bong Joon-Ho, qui abandonne son style "comédie noire" de toujours pour verser dans l'absurde, utilisé à bon escient mais là aussi à travers le sacrifice du réalisme (et de l'implication qu'il peur parvenir à provoquer) pour l'onirisme. Bref, une succession de court-métrages qui ont pour point commun de tout donner à leur sujet. Un objet un peu froid, mais du plus haut intérêt artistique.
    jeremie747
    jeremie747

    44 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juillet 2010
    Le premier film, celui de Michel Gondry, est comme toujours d'une inventivité remarquable, léger en apparence mais délivrant un message en fait plus profond sur le sens à donner à sa vie, le besoin d'être utile à quelque chose, le tout sur fond de crise du logement à Tokyo. Les dialogues sont bien écrits et les images assez belles. Le deuxième film, en revanche, est franchement médiocre. En appelant son film "Merde", Leos Carax fait un pied de nez assez puéril à on ne sait pas trop qui. Film sur l'exclusion qui part d'une idée intelligente, il souffre d'une forme lourde et ennuyeuse qui donne une impression de jouet stérile entre les mains d'un misanthrope un peu gâteux. J'ai dormi pendant le troisième film et n'ai donc pas d'avis sur la question mais l'impression d'ensemble de "Tokyo !" est que le format n'est pas très intéressant : trop long pour un court-métrage et trop court pour un long-métrage.
    Zbrah
    Zbrah

    45 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mai 2015
    Un projet comme "Tokyo !" interpelle forcément. La confrontation de trois points de vue sur une même ville étrangère peut donner lieu à des ambiances diamétralement opposées. Avec trois artistes à la personnalité bien marquée comme Michel Gondry, Leos Carax et Bong Joon-Ho, l'écart se trouve en effet être flagrant. Que ce soient à propos de leurs thématiques récurrentes, de leur traitement de l'image, des relations humaines ou même de leur nationalité, les trois hommes ont peu en commun. C'est pourquoi chaque film se doit d'être noté séparément, jugé à lui seul comme une oeuvre complète. Les trois fragments du film sont indépendants mais lient pourtant entre eux trois réalisateurs partageant leur amour pour l'une des plus belles villes du monde. spoiler: "Interior Design" de Michel Gondry : 7/10
    Dans "Interior Design", Michel Gondry insuffle son caractère rêveur, et ce même dans un environnement terne. Le court métrage commence comme commencerait n'importe quel drame nippon. C'est l'histoire d'un couple qui débarque à Tokyo avec des rêves plein la tête, mais sans le capital nécessaire à la réalisation de leurs envies. Ils n'ont pour bagages que leur amour et leurs rêves. C'est pourquoi les amants trouvent refuge chez une amie tokyoïte. Le film paraît comme un simple reflet de la vie japonaise d'aujourd'hui, avec ses joies et ses désillusions. Pêle-mêle on y retrouve les thèmes du chômage chez les jeunes, de la précarité de certains logements citadins, du spleen lié à une nouvelle vie... Bref, la vie n'est pas de tout repos, surtout pour la jeune femme. Après deux tiers classiques dans le fond, Gondry surprend en retrouvant ce qui fait sa plus grande force : sa douce folie. La transformation de la jeune femme, non dénuée d'une certaine beauté, est l'illustration de son mal-être, la concrétisation lui permettant de se sentir chez elle à Tokyo. Une jolie fin teintée de poésie et de mélancolie. spoiler: "Merde" de Leos Carax : 4/10
    Leos Carax ne fait rien comme tout le monde, comme l'atypique Holy Motors nous l'a entre-temps prouvé. Son "Merde" ne ressemble en rien à un hommage à la capitale japonaise. Des trois court-métrages composant "Tokyo !", celui de Carax est le plus provocant, et à mon sens celui le moins dans le thème. Plutôt qu'un film sur une ville et ses habitants, "Merde" est un film sur un personnage, un occidental perdu parmi des japonais, rendus étrangers dans leur propre pays. Leos Carax ramène même un français dans son film, ce qui n'est je pense absolument pas le but d'un tel projet. Bien qu'absolument génial et fascinant dans ses actions, Mr.Merde ne colle pas. Les dix premières minutes permettent de bien présenter le fou personnage, qui déambule dans les rues en accomplissant divers larcins. La séquence est avare de dialogues, mais riche en émotions. Et finalement le personnage phare de Leos Carax se fait attraper, le français débarque, et le réalisateur se sent obligé d'expliquer sa créature. Le court-métrage devient alors bavard, ridiculement long et inintéressant. L'intrigue aurait pu se dérouler n'importe où ; le maigre lien avec le Japon devient en effet de plus en plus infime. Leos Carax a une personnalité tellement forte qu'il se trouve incapable de réaliser un film sur commande lié à une ville. Enfant terrible qui refuse de se fier aux conventions ou réalisateur égoïste incapable de mettre de côté son ego pour mettre à l'honneur une culture ? spoiler: "Shaking Tokyo" de Bong Joon-Ho : 9/10 ?
    Peut-être est-ce dû au fait de la proximité de la Corée avec le Japon, mais Bong Joon-Ho me semble être celui qui a le plus capté l'essence de Tokyo, lorsque l'on retire la première impression que l'on peut en avoir en tant qu'étrangers avides de tourisme. "Shaking Tokyo" est beau, poétique, triste et émouvant. Il est les trente dernières minutes qui font oublier la médiocrité de "Merde", il est le segment qui fait passer "Interior Design" pour une fade oeuvre de commande. Doté d'une esthétique irréprochable, comme souvent pour les films sud-coréens, le court-métrage de Bong Joon-Ho représente le mal-être enfoui des japonais de très près, à travers les pensées d'un hikikomori, un homme ayant choisi de vivre en reclus de la société. L'homme est touchant, ses réflexions et sa façon de ranger ses affaires personnelles permettent de ressentir une certaine compassion pour lui, sans savoir ce par quoi il est passé. Son quotidien monotone est sublimé par la caméra de Bong Joon-Ho, par ses plans répétitifs et sa façon de mettre en valeur les doux éclats de rayons de soleil. Mais cela ne va pas durer. Un jour, alors qu'il commande son habituelle pizza du samedi, le regard de l'homme croise celui de la jolie livreuse, un tremblement de terre survient, et son quotidien change. Un film beau, tant sur le fond que la forme, une oeuvre complète qui touche directement en plein cœur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 juillet 2012
    "Interior Design" : une drôle d'idée, qui n'est certes pas sortie de l'esprit de Michel Gondry mais dont on ne voit pas qui d'autre aurait pu l'adapter à l'écran. Délicieusement absurde et poétique, mais aussi un peu vain. / "Merde" : Carax a toujours de quoi laisser perplexe, mais difficile de ne pas apprécier l'incroyable première sortie de Denis Lavant dans les rues de Tokyo. Le plus marquant des trois films, évidemment. Carax a tout fait pour... / "Shaking Tokyo" : c'est joli, il y a de belles idées, mais on reste un peu sur notre faim. Bong Joon-ho semble malheureusement le moins concerné des trois cinéastes, alors même qu'il est finalement le seul à vraiment s'intéresser à un fait de société typiquement japonais. / Il y a toujours du bon et du moins bon dans un film à sketches, et si aucun des trois moyens-métrages n'est raté, aucun n'est vraiment totalement réussi non plus. Cependant, "Tokyo!" évite cet insupportable côté carte postale consensuelle qu'ont "Paris, je t'aime" ou "New York, I love you". Gondry, Carax et Bong ont eu l'occasion de vraiment faire ce qu'ils voulaient et ils ne s'en sont pas privés : voilà une différence de taille avec les publicités touristiques sus-citées.
    JeffPage
    JeffPage

    39 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juillet 2012
    Film à sketchs de Michel Gondry, Leos Carax et Joon-ho Bong

    Interior Design de Michel Gondry :
    Le film nous raconte l'histoire d'un couple venus s'installer à Tokyo afin que le mari puisse mener une carriere de réalisateur. Abandonné peu à peu, la femme va subir une transformation des plus étranges.
    Avec ce film, Gondry nous livre un film à tendance surréalistes, très bien réalisé et qui nous montre une histoire de couple différente.

    Merde de Leos Carax
    Racontant l'histoire d'une créature étrange, Mr Merde, le film nous emmène dans la vie cet créature et son procès pour meurtre.
    Décevant d'un point de vue réalisation, le film à aux moins le mérite d'introduire un personnage culte du cinéma de Carax, Mr Merde, qui sera repris dans Holy Motors.
    De plus, on retrouve Denis Lavant qui interprète à merveille ce personnage dégoûtant et étrange.

    Shaking Tokyo de Bong Joon-ho
    Ce troisième segment nous raconte l'histoire d'un hikikomori, un homme vivant reclus chez lui, qui est sorti de sa vie lorsque la livreuse de pizza s'évanouie chez lui.
    Bine que l'histoire ne soit pas forcément passionnante, le film s'en sort grâce à une photographie jouant sur l'opposition entre l’intérieur et le monde extérieur ainsi que sur un éclairage magnifique lorsque le personnage sort de chez lui.
    Un joli film qui conclut bien cette oeuvre.

    Au final, ce film est plutôt sympathique bien que l’intérêt des histoires soit assez variable.
    Starwealther
    Starwealther

    74 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 janvier 2011
    Un bon film fait par trois réalisateurs talentueux, petite préférence pour le dernier court métrage sur cet homme replié dans sa maison pendant 10 ans! J'ai trouvé que c'était très original et artistique, il fallait déjà trouvé cette histoire de chaise, de Mr Merde et d'Hikikomori. Malgré l'inventivité dont fait preuve Carax c'est néanmoins le court métrage que j'aime le moins. Du bon cinéma, de l'originalité, c'est bien agréable!
    MC4815162342
    MC4815162342

    397 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 septembre 2014
    Tokyo!, un petit délire qui ne fait aucun mal et qui est même plutôt plaisant, à la base je l'ai regardé surtout pour le court métrage de Carax mais aimant aussi beaucoup Gondry j'ai préféré tout voir, et j'ai bien fait car les trois courts sont très différents et vraiment intéressants, si je devais les noter individuellement ça donnerait:
    -Interior Design de Michel Gondry 3,5/5
    -Merde de Leos Carax 4/5
    -Shaking Tokyo de Bong Joon-ho 3,5/5
    Donc vous l'aurez remarqué j'ai surtout retenu le Carax, furieux, malsain et dérangé comme j'aime, Lavant en Monsieur Merde est toujours aussi parfait.
    Le court de Gondry est lui aussi très intéressant et sa morale est génialement trouvée, le troisième court est bien foutu mais pas le plus intéressant à mon gout.
    Qu'ils soit inégaux ou pas il faut reconnaître qu'ils sont tous très bien maîtrisés et ingénieux, et de prendre comme thème Tokyo est vraiment une bonne idée.
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