Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Brazil
par Christophe Goffette
(...) le film est aussi une peinture mouvante et expressionniste, glissant elle-même progressivement d'une lumière réaliste au possible, vers des teintes surréalistes monochromes et agressives. Magnifique!...
La critique complète est disponible sur le site Brazil
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Un tourbillon vertigineux et cathartique, digne de Paradjanov en son temps, où plus personne n'a d'emprise, où chacun exorcise ses propres angoisses. Ce n'est plus un calvaire; c'est un éblouissement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Elle
par Françoise Delbecq
Un climat d'enfer rendu par une image léchée à l'extrême. On étouffe dans cette végétation (...) Emmanuelle Béart est parfaite.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Monde
par Jean-François Rauger
(...) Le réalisateur développe un sens de l'atmosphère extraordinaire, appuyé par l'intense interprétation d'Emmanuelle Béart.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Camille Brun
(...) tout cet univers manque certes un peu de finesse. Mais on y voit tout de même et surtout un travail fascinant sur l'image et le son. Un cinéma en marche.
Première
par Gael Gohlen
D'une maîtrise formelle hallucinante (...) portée par une actrice qui se met en danger dans chaque plan (...) cette claque confirme le talent radical de Du Welz.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Baignant dans une atmosphère oppressante, ce voyage sans retour (...) est portée par la composition d'Emmanuelle Béart. Totalement habitée, elle apporte à cette quête fantastique une intensité dramatique bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Fabrice Du Welz signe un film d'une grande beauté artistique mais souffrant d'un scénario inabouti.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
Mad Movies
par Alexandre Poncet
(...) Vinyan s'impose vite comme un poème sur la régression de l'homme, l'instinct et les émotions primitives prenant irrémédiablement le pas sur le vécu et la raison.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir sur le site www.studiomagazine.fr
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
20 Minutes
C'est mouillé, froid et frissonnant. Et ça manque un peu de rythme.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ciné Live
par Arnold
Voir le site cinelive.com
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaroscope
par La rédaction
(...) une aventure qui aurait pu être intéressante. Mais hélas, le réalisateur Fabrice du Welz a voulu mélanger les genres.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Libération
par La Rédaction
A mesure que le film avance le propos s'enlise dans une veine fantastique assez fastidieuse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
Un sujet fort torpillé par une mise en scène qui se perd dans les effets visuels et sonores.
Positif
par Philippe Rouyer
(...) la contemplation de ces belles images échoue à créer l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Transition délicate que Du Welz négocie avec peine, "Vinyan" n'échappant pas toujours au ridicule.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Partant pourtant d'une idée simple et belle -(...)- le film entretient un bluff permanent, une posture fièrement antipathique traînant sa petite brocante terroriste à la Gaspard Noé (...) pour ne laisser derrière lui qu'un tas de plans morts.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
du Weltz enchaîne les effets patapoufs à la Noé (...) masquant une fabuleuse incapacité à construire le moindre rudiment de séquence, à tenir le moindre moignon de récit.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Parisien
par Alain Grasset
(...) on s'ennuie ferme dans cet univers terrifiant où seuls survivent des enfants tueurs, les rares dialogues frôlent le ridicule, et on se demande comment Emmanuelle Béart a pu s'embarquer dans un tel enfer...
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
(...) L'autre fantasme du réalisateur était de faire son voyage au coeur des ténèbres; celui-ci ne mène qu'au coeur de la bêtise.
Télérama
par Jérémie Couston
L'épuisant déluge d'expérimentations sonores et visuelles transforme cette quête de vérité en pensum, où l'on se lasse de démêler le cauchemard de la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
(...) le film est aussi une peinture mouvante et expressionniste, glissant elle-même progressivement d'une lumière réaliste au possible, vers des teintes surréalistes monochromes et agressives. Magnifique!...
aVoir-aLire.com
Un tourbillon vertigineux et cathartique, digne de Paradjanov en son temps, où plus personne n'a d'emprise, où chacun exorcise ses propres angoisses. Ce n'est plus un calvaire; c'est un éblouissement.
Elle
Un climat d'enfer rendu par une image léchée à l'extrême. On étouffe dans cette végétation (...) Emmanuelle Béart est parfaite.
Le Monde
(...) Le réalisateur développe un sens de l'atmosphère extraordinaire, appuyé par l'intense interprétation d'Emmanuelle Béart.
MCinéma.com
(...) tout cet univers manque certes un peu de finesse. Mais on y voit tout de même et surtout un travail fascinant sur l'image et le son. Un cinéma en marche.
Première
D'une maîtrise formelle hallucinante (...) portée par une actrice qui se met en danger dans chaque plan (...) cette claque confirme le talent radical de Du Welz.
Télé 7 Jours
Baignant dans une atmosphère oppressante, ce voyage sans retour (...) est portée par la composition d'Emmanuelle Béart. Totalement habitée, elle apporte à cette quête fantastique une intensité dramatique bouleversante.
L'Ecran Fantastique
Fabrice Du Welz signe un film d'une grande beauté artistique mais souffrant d'un scénario inabouti.
Mad Movies
(...) Vinyan s'impose vite comme un poème sur la régression de l'homme, l'instinct et les émotions primitives prenant irrémédiablement le pas sur le vécu et la raison.
Studio Magazine
Voir sur le site www.studiomagazine.fr
20 Minutes
C'est mouillé, froid et frissonnant. Et ça manque un peu de rythme.
Ciné Live
Voir le site cinelive.com
Le Figaroscope
(...) une aventure qui aurait pu être intéressante. Mais hélas, le réalisateur Fabrice du Welz a voulu mélanger les genres.
Libération
A mesure que le film avance le propos s'enlise dans une veine fantastique assez fastidieuse.
Ouest France
Un sujet fort torpillé par une mise en scène qui se perd dans les effets visuels et sonores.
Positif
(...) la contemplation de ces belles images échoue à créer l'émotion.
TéléCinéObs
Transition délicate que Du Welz négocie avec peine, "Vinyan" n'échappant pas toujours au ridicule.
Cahiers du Cinéma
Partant pourtant d'une idée simple et belle -(...)- le film entretient un bluff permanent, une posture fièrement antipathique traînant sa petite brocante terroriste à la Gaspard Noé (...) pour ne laisser derrière lui qu'un tas de plans morts.
Chronic'art.com
du Weltz enchaîne les effets patapoufs à la Noé (...) masquant une fabuleuse incapacité à construire le moindre rudiment de séquence, à tenir le moindre moignon de récit.
Le Parisien
(...) on s'ennuie ferme dans cet univers terrifiant où seuls survivent des enfants tueurs, les rares dialogues frôlent le ridicule, et on se demande comment Emmanuelle Béart a pu s'embarquer dans un tel enfer...
Les Inrockuptibles
(...) L'autre fantasme du réalisateur était de faire son voyage au coeur des ténèbres; celui-ci ne mène qu'au coeur de la bêtise.
Télérama
L'épuisant déluge d'expérimentations sonores et visuelles transforme cette quête de vérité en pensum, où l'on se lasse de démêler le cauchemard de la réalité.