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    El cielo dividido
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    8 critiques spectateurs

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    Kinopoivre
    Kinopoivre

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    0,5
    Publiée le 8 novembre 2018
    Le générique de fin annonce fièrement que ce qu’on vient de voir est « un film authentiquement mexicain ». Selon moi, mieux aurait valu tenter de l’attribuer à un pays hostile au Mexique ! On a l’impression que le réalisateur a filmé des kilomètres de rushes, qu’il a voulu tout garder, et qu’il les a ensuite assemblés au hasard, ou par l’intermédiaire d’un ordinateur détraqué, comme le fit Lars von Trier pour son dernier navet.

    Le scénario ? Deux garçons lycéens, Jonas et Gerardo, s’aiment et se le prouvent sans arrêt. Mais, à force de les voir échanger des sourires niais, sans jamais prononcer un mot, et procéder à certaines activités annexes mais mal représentées (souvent, ces deux idiots gardent leur slip !), le spectateur en vient à souhaiter que la machine à générer du bonheur se grippe un tantinet. Cela ne tarde pas trop : comme dans la fable de La Fontaine, deux coqs vivaient en paix, puis un poulet survint. Mais à partir de là, on ne comprend plus rien : pourquoi, sur deux heures et vingt minutes, les ex-tourtereaux spoiler: se quittent-ils, pour se retrouver, se repousser, se sourire, se caresser, se repousser derechef, sans aucune logique, ni sur le plan des évènements, ni sur celui de l’avancée des sentiments ?
    À la mièvrerie a succédé l’obscurité, donc la prétention. Pour ne rien arranger, le troisième larron n’est pas très attrayant, donc l’attirance qu’il exerce sur les deux garçons, tantôt l’un, tantôt l’autre, reste un mystère. Que ne s’envoient-ils en l’air à trois, ce serait plus simple !

    Le tout est musiqué avec du violoncelle et du clavecin, comme dans les pires films français. Avec cela, une utilisation voyante de la caméra, qui tourne autour des personnages comme dans un film de Lelouch, et une voix off qui commente tout dans un style voulu poétique mais s’avérant ridicule. Répétons-le sans nous lasser, qui veut faire l’ange fait la bête.

    Cette œuvre inoubliable, sortie chez nous le 16–mai, a été présentée dans un tas de festivals, car elle a visiblement été fabriquée pour cela. Mais le public gay que l’on visait ne s’est pas bousculé.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 mai 2007
    Cela faisait bien longtemps que je ne m'etais pas auant ennuyé au cinéma. Ce film ne commprend quasiment pas de dialogues, une histoire d'une banalité incroyable et une absence de mise en scène qui fait cruellement défaut. En effet, la seule idée de mise en scène consiste à faire des plans à 360 degré pour passer d'une scène à une autre. Cette trouvaille qui fonctionne bien au début trouve vite ses limites car elle ne sert pas forcément le récit et est utilisée à toutes les sauces. Reste les comédiens, charmants qui dégagent suffisament de sensualité pour retenir l'attention les trente premières minutes.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 mars 2008
    Les dialogues tiennent sur une page de carnet de notes.Le splans sont longs, tres longs. Les ebats, soft, la lumiere, travaillée. Les deux jeunes hommes, bien de leur personne... Mais ça n'en fait pas pour autant un film, plutôt une banale et, au final, pretienteuse histoire de premier amour malheureux, version homo.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 mai 2007
    C'est clair que ce n'est pas un film pour tout le monde, mais la simplicité et le réalisme trash de l'amour gay est très bien raconté, loin de l'univers Brockeback Mountain.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 juin 2007
    Un vrai film de mise en scène dont les partis pris parfois très audacieux font de ce film un ovni cinématographique, en dépit d'un scénario plutôt conventionnel. En explorant la sexualité de ces jeunes adultes, fussent-ils homo ou non, le cinéaste mexicain renvoie à cette question universelle sur la pérennité de l'amour, les coups de foudre et conséquences. Si la forme peut agacer (un minimum de dialogues, une foison de panoramiques parfois gonflés), elle ne laisse pas le spectateur indifférent devant ces personnages dont on ne sait rien sinon qu'ils aiment et soufrent parfois d'aimer. Pour peu qu'on se laisse porter par le charme évident de ce film auquel les comédiens apportent fougue et sensualité, on passe deux heures vingt ailleurs et pourtant dans une histoire qui nous touche tous.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 mars 2012
    Des dialogues, je n'en ai pas vu la couleur. Histoire très banal du premier amour. Les plans énormément long. Je me suis ennuyer tout au long du film et c'est bien la première fois. Très déçut par ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 août 2013
    Le résumé du film m'a poussé à le regarder, mais alors quelle déception... ce film est d'une lenteur à n'en plus finir... c'est bien simple j'ai arrêté le film au bout d'une heure sur les 2h20... Des dialogues seraient les bienvenus pour nous aider à cerner les personnages (car ce n'est pas évident de comprendre certaines scènes) et crédibiliser le tout. Après, en point positif, les acteurs sont attachants comme intriguants et surtout, règne un climat, très romantique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 juillet 2007
    "El cielo dividido" est un film bouleversant.
    l'histoire de ces deux garçons ne le classe pas pour autant dans la catégorie fourre-tout "films gay", sa portée est universelle.
    Son écho demeure bien après la projection.
    Cela pourrait être l'histoire de deux filles, d'une fille et d'un garçon, d'un garçon et d'une fille.
    La lenteur de la narration est essentielle, elle permet de retrouver des sensations de ses propres sentiments vécus lors du premier amour.
    Le premier amour indélébile, celui qui détermine souvent notre vie affective à jamais.
    Le romantisme ( ça fait du bien), mais aussi les interrogations, la découverte de soi, l'amour qui posent les protagonistes au-delà des autres, font de ce film un feu.
    Loin du cynisme ambiant souvent trop affiché pour se défendre de l'amour, au risque souvent de passer à côté.
    Les quelques rares scènes qui se passent dans le milieu gay sont transcendées par cet amour,
    et la consommation de l'autre( comme dans les endroits hétéros d'ailleurs, les boites échangistes, les discothèques hétéros existent bien)
    est supplantée par cet amour absolu où on se fond dans l'autre, un délice et une souffrance.
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