Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Paris Match
par Christine Haas
Cette histoire de passion peut sembler banale, mais son approche est très originale (...) En signant cette oeuvre aussi narcissique qu'esthétiquement étourdissante, Julian Hernandez s'impose comme un nouvel auteur mexicain très singulier.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Des dialogues rares, une mise en scène sensuelle et une grande exigence formelle.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Dans un style visuel géométrique, d'une beauté et d'une grâce enivrantes, le cinéaste explore la passion adolescente dans ses moindres retranchements (...) Envoûtant et captivant, il (...) convie le spectateur à une fuite hors du temps et de sa réalité (...) à la fois jouissive et douloureuse dont on ressort le coeur plus lourd que léger.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par La rédaction
Les amours contrariées (...) sont fort bien filmées, mais le film souffre de redites qui torpillent l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
El Cielo divido est une demi réussite, même si on a d'emblée plutôt envie de le défendre.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) ce film chic et moderne, aux amples et fluides mouvements de caméra, ressemble plus à un très long clip musical (...) qu'à un drame construit.
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par La rédaction
Singulier objet filmique venu du Mexique (...) hypnotique, poétique, et minimal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Thomas Sotinel
L'ambition du réalisateur est claire : mettre en scène un poème lyrique où les plans sur les visages et les corps à peine sortis de l'adolescence( ...) remplaceraient l'expression verbale de la passion (...) Le film est long, au point de devenir interminable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Score
par Vincent Guignebert
EL CIELO DIVIDIDO est une ode à la langueur face à laquelle on peut opter, nous aussi, pour le regard en biais.
La critique complète est disponible sur le site Score
Paris Match
Cette histoire de passion peut sembler banale, mais son approche est très originale (...) En signant cette oeuvre aussi narcissique qu'esthétiquement étourdissante, Julian Hernandez s'impose comme un nouvel auteur mexicain très singulier.
TéléCinéObs
Des dialogues rares, une mise en scène sensuelle et une grande exigence formelle.
aVoir-aLire.com
Dans un style visuel géométrique, d'une beauté et d'une grâce enivrantes, le cinéaste explore la passion adolescente dans ses moindres retranchements (...) Envoûtant et captivant, il (...) convie le spectateur à une fuite hors du temps et de sa réalité (...) à la fois jouissive et douloureuse dont on ressort le coeur plus lourd que léger.
20 Minutes
Les amours contrariées (...) sont fort bien filmées, mais le film souffre de redites qui torpillent l'émotion.
Chronic'art.com
El Cielo divido est une demi réussite, même si on a d'emblée plutôt envie de le défendre.
L'Humanité
(...) ce film chic et moderne, aux amples et fluides mouvements de caméra, ressemble plus à un très long clip musical (...) qu'à un drame construit.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
Singulier objet filmique venu du Mexique (...) hypnotique, poétique, et minimal.
Le Monde
L'ambition du réalisateur est claire : mettre en scène un poème lyrique où les plans sur les visages et les corps à peine sortis de l'adolescence( ...) remplaceraient l'expression verbale de la passion (...) Le film est long, au point de devenir interminable.
Score
EL CIELO DIVIDIDO est une ode à la langueur face à laquelle on peut opter, nous aussi, pour le regard en biais.