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Vinz1
179 abonnés
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2,5
Publiée le 14 septembre 2021
Sympa si on n'a pas vu les précédents, sinon on a l'impression d'assister à une redite un peu lourdingue car manquant cruellement d'originalité ! Certes, les 1h45 passent relativement vite et ce n'est pas désagréable à visionner, mais le 1 était tellement drôle, qu'en comparaison, ce dernier volet paraît bien fade et donc moyen !
C'est vraiment du cinéma bas de gamme. Histoire cousue de fil blanc, gags éculés, caractères stéréotypés, etc, etc... Dieu que ce cinéma n'a rien à nous apporter !
ETROITE SURVEILLANCE. Stop au beau père. On a beau s'appelait De Niro, Ben Stiller et compagnie, à un moment faut arrêter. Rien ne fait plus rire. Ce troisième épisode ne sert strictement à rien. Vite aux oubliettes.
C'est un véritable plaisir de retrouver les familles Byrnes et Furniker pour ce dernier volet des aventures de Mon beau père et moi. Si bien sur quelques blagues sentent le réchauffé, la joie qu'ont les acteurs à se retrouver déteint sur notre moral et nous fait passer un agréable moment. Les acteurs ont vieillis, cela se ressent, 10 ans se sont écoulés depuis leur première aventure mais on assiste cette fois à un retournement de situation où Ben Stiller s'affirme devant un Robert de Niro dépassé avec un clin d’œil savoureux au parrain de ce même... De Niro !
Un peu lent au début, mais un rythme qui s'accélère au fur et à mesure que la fin approche. C'est bien mieux que les films pour lesquels c'est le contraire qui se produit. De Niro est toujours excellent, vraiment parfait dans le rôle du grand père. Les autres acteurs sont également imprégnés de leur personnage. On note aussi la noblesse, pas si enfouie que cela, du sens de cette série de films, à savoir : "la famille avant tout". L'absence de certains gags vus et revus et pas spécialement hilarant aurait sans doute favorisée l'éloge des critiques les plus sévères.
L'opus de trop! Autant le premier était sympa, autant le second se renouvelait avec Streisand et Hoffman, autant celui-ci tient du nanar insignifiant. Aucune originalité, des acteurs qui tournent en rond et des situations réchauffées pendant 100 minutes. A éviter pour garder un bon souvenir de Furniker!
Un épisode qui n'apporte rien de plus que les précédents opus, le film se résumant une fois de plus en une confrontation entre De Niro et Stiller. Ca sent donc le réchauffé mais malgré tout on sourit quand même encore parfois. Au final, cette comédie reste une distraction "acceptable" que l'on oubliera bien vite après l'avoir vu.
Une très mauvaise comédie,je m'attendais a mieux pour cette suite qui m'a décus dont l'humour n'est quasiment pas présent et les blagues sont plutot lourdes et sans interet . C'est la suite de trop qu'il ne fallait pas faire .Une comédie raté sans humour qui ne m'a pas fait rire ni sourire . Un vrai désastre a ne pas voir .
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2,5
Publiée le 27 avril 2013
Cette troisième mouture des aventures mouvementèes et loufoques de Greg Furniker alias Ben Stiller est la moins rèussie des trois! Peut-être parce que la franchise de "Meet the Parents" commence à tirer un peu sur la corde sensible du "dèjà vu". Au casting, on ne change pas une èquipe qui gagne, donc on prend donc les mêmes acteurs et on recommence! Les Furnicker d'un côtè (Ben Stiller, Teri Polo, Dustin Hoffman, Barbra Streisand), les Byrnes de l'autre (Robert de Niro, Blythe Danner). Avec de nouvelles recrues dans la franchise: la sexy Jessica Alba (histoire de faire monter le thermomètre), la sous-employèe Laura Dern et un vieux briscard du nom d'Harvey Keitel! C'est plaisant à suivre avec quelques gags amusants (la dinde de Thanksgiving qui vire au gore, la piscine à boules avec un clin d'oeil à "Jaws") mais bien en deçà des deux premiers volets...
Je m'attendais tellement à pire... C'est d'ailleurs sans doute cela qui explique ma relative indulgence avec ce « Mon beau-père et nous », loin d'être une bonne comédie, mais pas forcément une mauvaise non plus. Car je dois avouer en définitive ne pas avoir passé un si mauvais moment que cela devant cet humour pas franchement subtil mais plutôt efficace, et surtout à une opposition Ben Stiller-Robert De Niro toujours aussi plaisante. Si bien que même si ce nouvel épisode de la « trilogie Mon beau-père » est moins bon que le précédent qui était déjà nettement moins réussi que le premier, je n'ai en définitive pas passé un si désagréable moment que cela. Rien d'indispensable donc, loin de là, mais une comédie vaguement acceptable : allez, soyons indulgents...
Troisième et dernier opus de la saga initié par Jay Roach avec les hilarants Mon beau-père et moi (2000) suivis de Mon beau-père, mes parents et moi (2005).
On attendait avec une certaine impatience ce nouvel opus (même si rares sont les suites qui vaillent la peine), mais Jay Roach était trop occupé avec The Dinner (2010), le remake US du Dîner de cons (1998), c'est finalement Paul Weitz qui lui a succédé, ce qui ne nous a pas rassuré puisqu'on lui doit (entre autre) le teen-movie American Pie (1999) et le calamiteux L'Assistant du vampire (2009).
Au final, plus de peur que de mal avec Mon beau-père et nous (2010), puisque si le film est loin d’être aussi drôle & original que ses prédécesseurs, le film n’en reste pas moins sympathique et divertissant du début à la fin.
Et on ne boude surtout pas notre plaisir d’y retrouver Robert De Niro, Ben Stiller, Dustin Hoffman, Barbra Streisand, Owen Wilson & Laguine (le chat), aux côtés de nouvelles têtes (inattendues) telles que Harvey Keitel, Laura Dern et la surprenante (et sexy) Jessica Alba qui nous réserve une scène d’ivresse d’anthologie.
Alors certes, le rythme accuse quelques baisses de tension & l'humour y est aléatoire, mais n'en demandons pas tant, c'est déjà le troisième volet, il est donc normal que cela s'essouffle et que cette histoire se termine définitivement, avant de trop tirer sur la corde.
Ce troisième épisode des Little Fockers est franchement décevant et répétitif.Dans une sorte de melting-pop des meilleurs gags des 2 films de Jay Roach,Paul Weitz noie son prestigieux casting sous une avalanche de poncifs,de références inadéquates(Les Dents de la mer,le Parrain),et de gags au-dessous de la ceinture.Il est d'ailleurs marrant de constater que le film parle d'obession sexuelle,mais ne l'assume jamais.Cette comédie n'en parait que plus dépassée...Le principal ressort comique de "Mon beau-père et nous" repose plus que jamais sur la confrontation hilarante entre ben Stiller et Robert de Niro.2 styles d'humour.2 générations différentes.Malheureusement,guère d'étincelles ici,Papy Bob étant trop fatigué pour soutenir le duel,hormis lors d'une bagarre à une fête d'enfant.Laura dern et Harvey Keitel font chacun une apparition auto-parodique,alors que Jessica Alba,plus rigolote qu'on ne l'imagine,est toujours aussi craquante.La partie familiale est plutôt bien maîtrisée,et on avoue être content de retrouver des personnages que l'on connaît si bien.Mais il est grand temsp d'arrêter cette saga à la date de péremption expirée.
Il aurait mieux valu s'arrêter au deuxième opus... Dès la mention d'un comprimé pour aider les hommes avec leurs problèmes érectiles, on sait qu'on va avoir une pelletée de gags autour du pantalon, et bingo... Jamais fins, les gags sont plutôt lourdingues et vont d'une piqûre dans un organe masculin devant un petit garçon jusqu'à la pénible parodie du Parrain (on sait bien que De Niro a fait tous les rôles de mafieux possibles et imaginables, un seul gag aurait suffit à s'en moquer, mais on nous bassine avec Ben Stiller qui doit devenir le Don de la famille, épuisant). L'éviction des deux parents de Gaylord (les parents Furniker) retirent encore un peu plus de variété dans les gags, ils apportaient une certaine décomplexion dans le deuxième film, et ici tout tourne autour de l'intrigue lassante du Don... On est bien contents de les voir arriver in extremis à la fin, même pour deux minutes. Owen Wilson est ridicule dans son costume moulant bleu (et ne sert strictement à rien) lors du final, on se demande bien ce qu'il fait là (à part faire un coucou à son ami Stiller...). Les enfants sont transparents, tout comme Pam et sa mère, rien d'autre ne semble compter que le duo De Niro-Stiller, jouant très mal (pauvre De Niro, on est au niveau de Dirty Papy, très triste à voir pour un grand acteur comme lui...) et faisant des blagues scatophiles qui les font rire en cercle fermé. Vulgaire, redondant et ennuyeux.