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Un visiteur
3,0
Publiée le 29 août 2013
Pas mal ! Peut être pas le meilleur mais l'esprit est toujours le même donc c'est sympa. Ce qui change c'est que les rôles entre Ben Stiller commencent à s'inverser et que les enfants sont un peu la caricature de chaque famille. Le combat au milieu des jeux pour enfant est très sympa, c'est dommage qu'il n'est pas plus exploité cette idée car ca aurait pu être vraiment drôle
j'ai trouvé cet opus c'est basique et ne t'entends pas assez de choses comme ont pu le faire les deux premiers et peut-être le dernier mais je ne l'ai pas vu . pour le casting cela reste identique et le jour comme ils ont pu le faire habitude pour une histoire il est quelques bonne situation maiso par rapport à ce que m'a pu déjà voir. après les deux précédent aux puces avec tout de même un peu plus de punch même si ici on a pas le temps de s'ennuyer médecin rapport aux autres il manque quand même quelque chose donc je pense que ce n'était pas spécialement 1 épisode duty louer à travailler la mise en scène voleur en plus prudent et surtout avec le côté humour des précédents... bref dans la lignée des autre mais comme bien souvent dans les suites il manque petit truc... J espère que le suivant reprends les codes des autres. mais il reste tout de même quelques bonnes choses donc à défaut de trouver un autre programme cela se laisse regarder
Un troisième volet qui sent le réchauffé, dont les meilleurs moments sont gâchés par des scènes bien lourdes. Après, on se lasse pas des mimiques du génial De Niro, même s’il en fait des tonnes.
Après les succès de Mon beau-père et moi et de Mon beau-père, mes parents et moi, les relations entre Gaylor Furnicker (Focker en V.O.) et son redoutable beau-père se poursuivent dans un troisième volet. Mon beau-père et nous possède toujours un casting très imposant (on y retrouve pas moins que Robert De Niro, Ben Stiller, Owen Wilson, Jessica Alba, Harvey Keitel, Dustin Hoffman, Barbara Streisand et Laura Dern) mais la mise en scène n’est plus assurée par Jay Roach (qui reste cependant producteur) mais par Paul Weitz (connu surtout pour le premier American Pie). Cela signifierait-il que le réalisateur d’origine estimerait que le concept commence à s’essouffler ? En effet, le film reste très divertissant notamment grâce à son prestigieux casting mais les fous rires sont nettement moins nombreux et les gags sont très souvent axés sur la sexualité (le choix de Paul Weitz ne semble pas innocent). Pour le reste, l’ensemble est très classique et typique du cinéma comique américain des années 90 et 2000. Pas déplaisant mais pas marquant.
On reprend les mêmes et on recommence ! Il est assez rare que le troisième d'une série de trois films soit bon, ce qui est le cas ici. Les acteurs semblent prendre un vrai plaisir à reprendre leurs rôles. Les personnages ont bien évolué depuis le deuxième opus. L'arrivée d'Andi Garcia (Jessica Alba) - aucun lien - met le peu la pagaille qui fait redémarrer l'intrigue. Quant à Kevin Rawley (Owen Wilson), il mène une belle vie détendue, inspiré apparemment par Deepak Chopra qui fait une apparition. Les gags se succèdent à un bon rythme, parfois potaches, mais ça détend bien. Mention spéciale pour Robert De Niro et Ben Stiller qui n'ont clairement pas peur du ridicule. À voir après avoir vu les deux premiers pour apprécier la progression.
Comme toutes les suites il y a toujours un moment où ça s'essoufle ! Après deux premiers opus très sympas et plutôt bien foutus ce troisième est celui de trop. Toujours un excellent casting et un plaisir de revoir cette famille déjantée mais le scénario est beaucoup moins dense. Moins de surprises et un rythme plus aléatoire. Car malgré 2-3 scènes vraiment réussies (parallèle entre scène "orgiaque" avec Alba et bagarre avec De Niro) le film reste seulement "amusant". Une bonne comédie à l'américaine mais il est clairement temps de stopper la saga. 10/20
On sent que le filon de l'humour autour de la belle-famille commence à se tarir, ce troisième opus apparaissant plus faible que ses prédécesseurs. Néanmoins, "Little Fockers" propose des idées amusantes, malgré quelques plaisanteries sous la ceinture, et le tandem Robert De Niro / Ben Stiller fonctionne toujours. On retrouve également avec plaisir le reste de l'équipe des précédents volets. Dispensable mais pas désagréable.
Toujours un grand plaisir de retrouver ces familles de déjantées à qui il arrive tout un tas de situations cocasses. On y prend plaisir mais on oubliera aussi vite que les autres volets. On se rappelle que c'était sympa, mais pas moyen de retrouver une scène particulière dans sa tête. Ca donne au moins l'occasion de les revoir tous!
Le clan Focker ayant fait recettes au box office, les producteurs usent la formule jusqu’à la moelle. Mais là ça ne fonctionne plus du tout, on a quelques gags Trashs mais finalement conventionnels, les quiproquos sont forcés, le peu de nouvelles idées sont abandonnées presque aussitôt après avoir été lancées. Ben Stiller et Robert De Niro eux aussi se contentent du minimum, convaincus de l’aspect mercantile de la chose. Un épisode de trop qui vire au boulevard de bas étage.
Bon je n'étais déjà vraiment pas fan des deux premier mais là on touche le fond avec ce troisième et dernier opus de la trilogie "Mon beau-père", réalisé cette fois par Paul Weitz et sorti en 2010. Nous retrouvons donc cette fois Greg Focker, père de famille, ainsi que son beau-père évidemment qui se retrouvent afin de fêter l'anniversaire des enfants de Greg. Et c'est évidemment toujours la même chose, le beau-père, Jack, suspecte toujours Greg de tel ou tel truc (ici de tromper sa femme) et cherche donc à tout prix à faire éclater une vérité qui n'existe pas. Parce-que, évidemment, comme à chaque fois, Jack se fait des idées, ce qui créer de nouveaux quiproquos etc. Mais d'ailleurs, cette histoire d'adultère n'occupe en réalité qu'une petite partie du scénario. Jack ayant des problèmes cardiaques, il confie sa famille à Greg au cas où il devrait mourir. Une nouvelle fois donc, Greg va tout faire pour se montrer à la hauteur des exigences de son beau-père. Enfin voilà, force est de constater que le vieillissement des personnages est la seule nouveauté dans ce troisième opus qui n'apporte absolument rien aux deux premiers, le premier film se suffisant d'ailleurs amplement à lui-même. L'humour est également le même, c'est toujours aussi lourd, même si Ben Stiller s'est heureusement un peu calmé. Quelques scènes nous arracherons un sourire mais dans l'ensemble, le film nous paraitra bien long ! "Mon beau-père et nous" est donc indéniablement l'épisode moins réussi d'une trilogie qui ne l'est déjà pas vraiment !
Bon, ce film aura le mérite de mettre fin à cette trilogie qui aurait certainement du se cantonner à un seul film. Sans parler de nanar, le film est assez insipide et la saga à bout de souffle. Les blagues méta sur le rôle de parrain de la famille sont bien trop faciles pour être vraiment drôle. Si la recette marche encore un peu, c'est par la sympathie qu'inspire les personnages principaux et l'alchimie palpable entre Ben Stiller et Robert De Niro. Le film repose également sur une abondance de stars dans des rôles beaucoup trop tertiaires et peu (ou bien mal) exploités : Laura Dern, Harvey Keitel ou encore Jessica Alba. Le 1er film est plutôt rafraîchissant, il vaut mieux se contenter de regarder juste ce film-ci.
Après un excellent premier épisode et une suite un peu répétitive, je n’attendais plus franchement grand-chose de la saga "Mon beau-père et moi". C’est dire si la mise en chantier d’un nouvel opus m’a surpris… et, surtout, m’a laissé dubitatif quant à l’histoire qui pouvait encore être racontée. Les scénaristes hollywoodiens n’ayant pas de limites, on a donc droit à un troisième épisode censé mettre en avant les enfants Furniker et le rôle de père de ce pauvre Greg qui va devoir, une fois de plus, composer avec l’envahissante présence de son beau-père. Et, comme on pouvait le craindre, c’est bien évidemment l’affrontement entre les deux têtes d’affiches (Ben Stiller ultra-prévisible et Robert de Niro ultra-cabotin) qui est au centre du film… avec, au passage, une resucée de toutes les scènes auxquelles on a eu droit dans les deux premiers épisodes. On retrouve donc le repas qui finit mal, la perte de confiance de Jack envers son gendre, les confrontations entre les deux hommes basées sur un malentendu… mais également des gags bien plus lourdingues (la bataille dans la piscine à boules, la crise de la belle Andi Garcia, la scène du vomi…). C’est d’ailleurs ce ton bien plus lourd et poussif qu’on retiendra de ce dernier (?) épisode, qui s’explique par la faiblesse de son intrigue mais également par le changement de réalisateur (Jay Roach laissant la place à Paul Weitz). Malgré quelques dialogues amusants (le conseil donné à Jack concernant Google...) et quelques bons moments (notamment la prise de Viagra par Jack ponctuée d’une piqûre devant témoin), "Mon Beau-père et nous" est donc une suite dispensable, pour ne pas dire artificielle, à l’image du retour des anciens de la saga comme Teri Polo, Blythe Danner, Barbra Streisand ou Dustin Hoffman (non prévu à l’origine et qui a tourné ses scènes à la dernière minute), dont les prestations se limitent à quelques dialogues. Seul Owen Wilson voit son rôle considérablement étoffé et apporte un peu d’originalité à l’intrigue. Quant aux nouveaux venus, ils ne marqueront pas les esprits, que ce soit Jessica Alba en VRP déluré, Laura Dern en directrice d’école élitiste ou encore Harvey Keitel qui s’offre un face à face avec son vieux complice De Niro, qui s’avère très anecdotique. Quant aux enfants, ils auraient mérité un traitement bien plus soigné. La saga s’achève sur une note plus que moyenne qui amusera davantage les enfants que les parents…
On continue la mode « suite-remake-reboot » qui marche tant ces dernières années, par facilité bien sûr. Dernier en date, la famille Fockers. Certes le plaisir de revoir les comédiens est toujours présent (Stiller et De Niro en tête) mais on sent déjà plus la suite aux $$ brillants que le réel intérêt d’une fraîche comédie. Pour une fois dans ce genre de procédé de studio une histoire est là et donne un rythme agréable à défaut d’être innovant et ce du début à la fin. Les blagues sont toujours de mise mais avouons que si nous n’étions pas attachés aux personnages l’ensemble paraîtrait un peu plus fade. Reste une simple comédie avec le plaisir de retrouver l’ensemble des comédiens des opus précédents au grand complet. Hélas ils ne sont pas utilisés à bon escient, certains étant « posés » un peu là pour remplir l’affiche. Reste alors l’idée qu’il faudrait grandement arrêter la franchise, ainsi cette trilogie serait une des comédies les plus calibrées de ces dernières années. Si la fin n’était pas là ( ?) l’ensemble perdrait une fois de plus tout son sens.
Le troisième volet de la série des Focker avec un changement de réalisateur, Paul Weitz succédant à Jay Roach pour une comédie se situant quelques cinq années après le précédent. Disons que la qualité continue à baisser par rapport au deuxième épisode, lui-même plus faible que le premier et on aura presque tout dit. Le scénario est d’une faiblesse insigne, la réalisation très plate et le film repose comme les précédents sur les épaules des acteurs qui font ce qu’ils peuvent pour nous faire sourire de temps en temps…