Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Brazil
par Eric Coubard
Yolande Moreau est épatante en Séraphine fantasque, habitée et illuminée.(...). Le film de Martin Provost est simple et touchant, plein de sensibilité à fleur de peau.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
20 Minutes
(...) Son itinéraire de femme blessée est aussi fort que celui d'une Camille Claudel.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site cinelive.com
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Florence Ben Sadoun
Elle (Séraphine) revit aujourd'hui sous nos yeux ébahis par la grande poésie du jeu de Yolande Moreau, dans ce film aquarelle.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Séraphine n'est jamais plus réussi que quand recentré, concentré sur les rapports du duo improbable que composent Séraphine et Uhde, (...) qui en s'établissant comme le relais du spectateur, comme son témoin, leur donnent leur densité, et beaucoup de leur vérité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Marilyne Chaumont
(...) Provost rend un double hommage à l'autodidacte (...) : en retraçant sa destinée artistique (...) et en lui prêtant la voix, les gestes, la présence d'une Yolande Moreau humblement magnifique
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Domnique Borde
Avec simplicité et humilité, Martin Provost (...) évoque ce destin extraordinaire en posant entre les images l'éternelle question de la création : mouvement de l'âme ou expression de l'intelligence ?
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Metro
par Jennifer Lesieur
(...) Une incarnation en douceur, presque mystique, portée par la mise en scène aérée de Martin Provost, qui laisse longuement respirer ses plans, comme des tableaux vivants.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La rédaction
(...) rendez-vous dans les salles de cinéma (...) afin de partager, subtilement orchestrée par la mise en scène délicate de Martin Provost, la forte présence d'une Yolande Moreau pathétique.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Alain Spira
(...) le spectateur découvre, les larmes aux yeux, le destin et les oeuvres d'une artiste injustement oubliée (...) Inutile de vous mélanger les pinceaux, allez voir cette belle toile.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O'neill
Porttrait d'artiste, ce biopic ravive par la finesse de son approche un genre difficile.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir sur le site www.studiomagazine.fr
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Humble, à l'image de son héroïne, le film voit son parti pris de retenue se retourner contre lui en ce qui concerne le personnage de Uhde, trop sommairement esquissé. Il n'en conserve pas moins une grande force émotionnelle doublée d'une rare puissance esthétique,...
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Le film est sobre, épuré à l'extrême, un rien trop long (dommage!), mais tendu, humble, à l'écoute. Dénué de pathos, de sensiblerie, d'émotion facile.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Eugenio Renzi
Le seul problème de Séraphine serait un certain académisme. Prévost assume volontiers le ton et la démarche de l'historien de l'art. Cela dit, le film ne manque pas de qualités ni de finesse.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Bonne surprise que ce film que dont on aurait pu à bon droit se méfier. (...) mise en scène proprette, posée, calme, une pente académique dans ce qu'elle a de plus de louable - une simplicité.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Devant une caméra contemplative et qui prend son temps (parfois un peu trop), Yolande Moreau se glisse (...) dans les jupes d'un grand peintre méconnu, et rend, avec une sobriété qui fait sa force, toute la complexité d'une femme atypique...
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Avec Séraphine, Yolande Moreau donne toute sa mesure. C'est elle qui fait couver la tragédie (...) c'est elle qui met de la démesure dans cette histoire dite d'un ton mesuré, presque détaché.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
La performance (de Yolande Moreau) est éblouissante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Si les images sont belles, la mise en scène (...) empêche la fluidité de s'installer (...) Mais cela n'est pas de nature à entamer le réel élan éprouvé pour ce film d'une grande délicatesse qui rend hommage à une femme discrète au destin exceptionnel.
Première
par Didier Roth-Bettoni
En dehors d'une fin un peu trop didactique, le film est (...) magnifiquement servie par une extraordinaire Yolande Moreau (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Falila Gbadamassi
Ce biopic sur la foisonnante Séraphine de Senlis est d'une belle sobriété et consacre une fois de plus le travail d'incarnation de Yolande Moreau.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
La modernité en peinture dans un film qui inspire à peu près tout le contraire.
Brazil
Yolande Moreau est épatante en Séraphine fantasque, habitée et illuminée.(...). Le film de Martin Provost est simple et touchant, plein de sensibilité à fleur de peau.
20 Minutes
(...) Son itinéraire de femme blessée est aussi fort que celui d'une Camille Claudel.
Ciné Live
Voir le site cinelive.com
Elle
Elle (Séraphine) revit aujourd'hui sous nos yeux ébahis par la grande poésie du jeu de Yolande Moreau, dans ce film aquarelle.
L'Obs
Séraphine n'est jamais plus réussi que quand recentré, concentré sur les rapports du duo improbable que composent Séraphine et Uhde, (...) qui en s'établissant comme le relais du spectateur, comme son témoin, leur donnent leur densité, et beaucoup de leur vérité.
La Croix
(...) Provost rend un double hommage à l'autodidacte (...) : en retraçant sa destinée artistique (...) et en lui prêtant la voix, les gestes, la présence d'une Yolande Moreau humblement magnifique
Le Figaroscope
Avec simplicité et humilité, Martin Provost (...) évoque ce destin extraordinaire en posant entre les images l'éternelle question de la création : mouvement de l'âme ou expression de l'intelligence ?
Metro
(...) Une incarnation en douceur, presque mystique, portée par la mise en scène aérée de Martin Provost, qui laisse longuement respirer ses plans, comme des tableaux vivants.
Ouest France
(...) rendez-vous dans les salles de cinéma (...) afin de partager, subtilement orchestrée par la mise en scène délicate de Martin Provost, la forte présence d'une Yolande Moreau pathétique.
Paris Match
(...) le spectateur découvre, les larmes aux yeux, le destin et les oeuvres d'une artiste injustement oubliée (...) Inutile de vous mélanger les pinceaux, allez voir cette belle toile.
Positif
Porttrait d'artiste, ce biopic ravive par la finesse de son approche un genre difficile.
Studio Magazine
Voir sur le site www.studiomagazine.fr
TéléCinéObs
Humble, à l'image de son héroïne, le film voit son parti pris de retenue se retourner contre lui en ce qui concerne le personnage de Uhde, trop sommairement esquissé. Il n'en conserve pas moins une grande force émotionnelle doublée d'une rare puissance esthétique,...
Télérama
Le film est sobre, épuré à l'extrême, un rien trop long (dommage!), mais tendu, humble, à l'écoute. Dénué de pathos, de sensiblerie, d'émotion facile.
Cahiers du Cinéma
Le seul problème de Séraphine serait un certain académisme. Prévost assume volontiers le ton et la démarche de l'historien de l'art. Cela dit, le film ne manque pas de qualités ni de finesse.
Chronic'art.com
Bonne surprise que ce film que dont on aurait pu à bon droit se méfier. (...) mise en scène proprette, posée, calme, une pente académique dans ce qu'elle a de plus de louable - une simplicité.
Le Journal du Dimanche
Devant une caméra contemplative et qui prend son temps (parfois un peu trop), Yolande Moreau se glisse (...) dans les jupes d'un grand peintre méconnu, et rend, avec une sobriété qui fait sa force, toute la complexité d'une femme atypique...
Le Monde
Avec Séraphine, Yolande Moreau donne toute sa mesure. C'est elle qui fait couver la tragédie (...) c'est elle qui met de la démesure dans cette histoire dite d'un ton mesuré, presque détaché.
Le Parisien
La performance (de Yolande Moreau) est éblouissante.
MCinéma.com
Si les images sont belles, la mise en scène (...) empêche la fluidité de s'installer (...) Mais cela n'est pas de nature à entamer le réel élan éprouvé pour ce film d'une grande délicatesse qui rend hommage à une femme discrète au destin exceptionnel.
Première
En dehors d'une fin un peu trop didactique, le film est (...) magnifiquement servie par une extraordinaire Yolande Moreau (...)
aVoir-aLire.com
Ce biopic sur la foisonnante Séraphine de Senlis est d'une belle sobriété et consacre une fois de plus le travail d'incarnation de Yolande Moreau.
Les Inrockuptibles
La modernité en peinture dans un film qui inspire à peu près tout le contraire.