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bobmorane63
191 abonnés
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4,0
Publiée le 11 juin 2009
Un film que j'ai découvert lors de sa sortie en salles en 1997 et qui, 12 ans aprés, me fait toujours rire. Les origines religieuses ont beaucoup inspiré dans la vie de metteur en scène Thomas Gilou dans divers genres comme la communautée Africaine dans "Black Mic Mac" ou Musulmane comme "Rai" ou dernierement "Michou d'Auber". Cette fois, il s'attaque à la communautée des Juifs, peut etre sa plus grande réussite, et le succés est au rendez vous avec, notamment, des scènes anthologiques et des répliques cultes gravés dans la mémoire de pas mal d'amateurs de la comédie Française. Ce film aborde tout les mimiques des Juifs: argents, business, costards, mariages, religions, familles, embobinages, pechés à travers Eddie, le faux Juif et ses amis avec humour pour le plus grand plaisir. On passe un bon moment grace au jeu des acteurs dont certains s'en donnent à coeur joie comme Richard Anconina, Vincent Elbaz, José Garcia, Bruno Solo, Gilbert Melki, Amira Casar, Aure Atika, Richard Bohringer sans oublier le regretté Elie Kakou dont on fete cette année les 10 ans de sà disparition. Un film sympathique et amusant dont je ne me lasse jamais de revoir.
Il fut un temps où l'on cachait plutôt le fait d'être juif : dans ce film, c'est plutôt l'inverse. L'intrigue est grossière et sans vraiment d'intérêt, les gags très moyens, mais seulement voilà, cette histoire au petit budget affiche vraiment un casting de rêve, peuplé d'acteurs n'engendrant pas la tristesse ! Et Anconina nous fait une superbe démonstration de ses talents d'acteur. Même satisfecit pour Melki. Cela dit, je ne comprends pas que ce film, comportant pas mal d'erreurs de tournage, ait pu faire cinq millions d'entrées en France et avoir des épisodes suivants ! Mais reconnaissons-le : on ne s'ennuie pas une seconde malgré deux heures de projection. willycopresto
Deuxième film français au box-office de 1997, cette comédie réalisée par Thomas Gilou a rencontré un franc succès populaire. L’histoire prend place dans le quartier du Sentier à Paris, où la communauté juive tient l’industrie du textile. L’intégration dans ce microcosme d’un homme qui se fait passer pour un juif (Richard Anconina) permet de s’amuser de manière caricaturale des codes religieux, familiaux ou bien comportementaux de ce petit monde. La réussite du scénario repose sur la présence d’une galerie de personnages masculins hauts en couleurs (Gilbert Melki, Vincent Elbaz, José Garcia, Bruno Garcia, etc.). Bref, un divertissement truffé de scènes drôles.
Une comédie gentillette avec un scénario passable mais pas exceptionnel, des scènes qui font parfois sourire mais c’est globalement moyen. Quelques longueurs également. Bref passable mais il y a mieux.
Super comédie qui ouvre en beauté la trilogie La vérité si je mens. Drôle, satirique et intéressant sans oublier de conserver certaines tensions aux allures de thrillers. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 4/5
Après Rabbi Jacob et Levy & Goliath dans les années 80, voici la nouvelle comédie juive des années 90 ! Réalisé par Thomas Gilou (Black Mic-Mac), le long-métrage joue la carte des légers stéréotypes confrontés à la réalité agissant dans le Sentier, le célèbre quartier juif de Paris. C'est d'ailleurs ici que va se faire tabasser Eddie, simple loser sans le sou, puis sauver par un riche patron d'entreprise juif qui le prend pour un des siens. Se voyant offrir un poste dans l'entreprise, Eddie va conserver sa fausse identité et même tomber amoureux de la fille de son patron, quitte à y laisser ses plumes... Il va découvrir un monde sans pitié où la rivalité est omniprésente dans le milieu mais va également se lier d'amitié avec une bande de vieux amis du Sentier, tous plus soudés les uns que les autres : Dov le romantique (Vincent Elbaz, parfait), Ivan le paumé bosseur (Bruno Solo), Rafi l'exemple-type de la réussite (Elie Kakou, dans l'un de ses derniers rôles avant sa mort), Serge le loser mythomane (José Garcia dans le rôle qui l'a propulsé au rang de star française) et Patrick le richissime nabab (Gilbert Melki, tout en finesse). Tout ce petit monde complice et farceur va nous entraîner dans une mésaventure humaine à mourir de rire... Quiproquos juif/goy (non juif) à gogo, expressions atypiques hilarantes, situations comiques omniprésentes et petits passages dramatiques nous ramenant à la dure réalité font de La vérité si je mens! une comédie réussie qui non seulement éleva la révélation José Garcia mais devint immédiatement l'une des comédies les plus appréciées des Français. Culte.
Dans le quartier parisien du Sentier, Eddie, un chômeur opportuniste, profite du fait qu’on le croit de confession juive pour tenter sa chance. Thomas Gillou signe-là une agréable comédie, mais qui souffre toutefois d’un scénario un peu insipide et qui n’est d’ailleurs jamais aider par la banalité des histoires de cœur, à l’image de celle qui tourne autour des personnages joués par Vincent Elbaz et Aure Atika. L’atout majeur de « La Vérité si je mens ! » repose essentiellement sur l’alchimie de son casting masculin - les rôles féminins étant en retrait – et à leurs rôles certes caricaturaux mais haut en couleur. Un film plaisant avec son lot de scènes bien marrantes et de répliques devenues depuis cultes.
La vérité, on passe un bon et agréable moment dans le sentier. D'abord on est comme Anconnina, on se demande ce que l'on fait là puis on se laisse entrainer avec plaisir. Le deuxième "épisode" reste le meilleur.
J'adore ce film, le casting est tout simplement génial et exceptionnel, on rit du début à la fin, j'adore quand le chinois dit : t'as pas des zips. Mon personnage préféré reste Serge, c'est à dire José Garcia. Même si ce n'est pas le meilleur de la trilogie, ce film est quand même super. Un excellent film, 4.5/5.