Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Le Figaro
par Claude Baignères
Le résultat est brillantissime parce que le scénario avance au grand galop soutenu par un dialogue dont le côté folklorique et synthétique multiplie les formules révélatrices d’un immense besoin de réussite familiale et matérielle. Le Figaro, 30 avril 97
Cahiers du Cinéma
par Pascal Richou
(…) il y a encore un tribut au réel, même folklorisé, à payer, et surtout un bon goût et un talent minimum pour faire tenir dans l’image un grand nombre de personnages bien campés. Cahiers du cinéma 515, juillet/Août 97.
Libération
par Edouard Waintrop
Thomas Gilou poursuit son recensement des composantes de la pluriculturelle société française. Il le fait à sa manière, avec ses limites, celles de la comédie ethnique, mais avec un enjouement qui ne se dément jamais. Libération, 14 mai 97.
Positif
par Paul Louis Thirard
On dirait plutôt une petit comédie pour garnir la télévision un soir. Positif 436, juin 97.
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Les situations comiques sont usinées avec une régularité trop mécanique pour ne pas devenir prévisibles. Quant à la love story qui faufile l’intrigue, elle est d’une banalité insipide. Télérama, 30 avril 97
Le Figaro
Le résultat est brillantissime parce que le scénario avance au grand galop soutenu par un dialogue dont le côté folklorique et synthétique multiplie les formules révélatrices d’un immense besoin de réussite familiale et matérielle. Le Figaro, 30 avril 97
Cahiers du Cinéma
(…) il y a encore un tribut au réel, même folklorisé, à payer, et surtout un bon goût et un talent minimum pour faire tenir dans l’image un grand nombre de personnages bien campés. Cahiers du cinéma 515, juillet/Août 97.
Libération
Thomas Gilou poursuit son recensement des composantes de la pluriculturelle société française. Il le fait à sa manière, avec ses limites, celles de la comédie ethnique, mais avec un enjouement qui ne se dément jamais. Libération, 14 mai 97.
Positif
On dirait plutôt une petit comédie pour garnir la télévision un soir. Positif 436, juin 97.
Télérama
Les situations comiques sont usinées avec une régularité trop mécanique pour ne pas devenir prévisibles. Quant à la love story qui faufile l’intrigue, elle est d’une banalité insipide. Télérama, 30 avril 97