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1,0
Publiée le 9 septembre 2018
Rêver d'une baby-sitter comme Alicia Silverstone c'est possible mais ça attire beaucoup d'ennuis! Surtout pour la gente masculine! Prenez un blouson noir, un ètudiant binoclard et un père de famille alcoolo, et vous obtenez les trois personnages masculins de "The Babysitter", un direct-to-video qui n'a pas fait un pli en 1995 malgrè la prèsence de la sublime Alicia Silverstone! A la voir prendre un bain ou manger un pot de glace, on finirait par comprendre pourquoi Nicky Katt, Jeremy London et le regrettè JT Walsh (en très petite forme) pètent un câble! C'est donc sans conviction que Guy Ferland a rèalisè cette mauvaise sèrie B, sans le moindre suspense et, à l'èvidence, sous l'influence d'un fantasme difficilement accessible! Pas vraiment le traitement le mieux adaptè à une histoire qui ne dècolle jamais! Reste un suspense ennuyeux auquel un peu plus de folie èrotique n'aurait pas fait de mal! Les cinèphiles noteront toutefois la prèsence au gènèrique de Joel Schumacher à la production! Allez, à une soirèe pleine de possibilitès et de fantasmes...
L'idée de base est déjà pas terrible. Je ne sais même plus pourquoi je l'ai regardé! C'était vraiment vraiment pas terrible. Je ne vous le conseille pas!! L'histoire est tirée par les cheveux et pas très crédible.
Différents personnages tous plus imbéciles les uns que les autres fantasment sur une baby sitter interprétée par Alicia Silverstone. En nous montrant des protagonistes qui se font des films le réalisateur oublie d en faire un et la critique de la bourgeoisie américaine alcoolique et vulgaire pleine de frustration n est pas traitée. Du coup on s ennui ferme devant ce truc moche et sans intérêt.
Petit film sur les fantasmes de plusieurs personnes qui tournent autour d’une baby sitter, avec ceci c’était déjà compliqué de faire un bon film, mission non accompli. C’est pas jojo, pas de suspense ni d’action, ni d’erotisme. Bof bof