Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Critikat.com
par Matthieu Santelli
Voilà pourquoi le cinéma d’Ozu est terrassant, non pas pour ce qu’il montre de la dureté de la vie et des afflictions des personnages mais pour ce qu’il laisse entrevoir de la persistance de la noblesse des sentiments qui les animent malgré tout.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Emile Breton
Le Fils unique (1936) est peut-être le plus beau film d’Ozu. (...) [Son] art est ici à son comble et peut-être est-ce la proximité du cinéma muet, auquel il a déjà tant donné, la nécessité pour un réalisateur d’évoquer plus que de dire, qui donne au film sa force de suggestion.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Un des chefs-d'œuvre qu'Ozu a réalisé dans les années 1930, période où ses films étaient plus réalistes et moins redevables à une certaine ritualisation.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Olivier Séguret
La brutalité du contexte social n’a d’équivalent que la douceur des sentiments qui lient les personnages et qu’Ozu met en scène avec cette même ambivalence : son artisanat est si pointilleux qu’il touche à l’os sans cesser de caresser la peau.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Resté inédit en France, ce premier film parlant d’Ozu (1931) est un petit bijou néoréaliste avant l’heure.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Décrivant à petites touches la réalité d'un monde très humble, le film illustre avec pudeur les sentiments de deux protagonistes, leurs craintes et leurs espoirs en un avenir meilleur, l'amertume et la honte face au constat d'échec.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Axelle Ropert
C’est ce mystérieux "au nom de" qui donne toute sa profondeur au film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Samuel Douhaire
Une variation déchirante (...) sur le thème de la famille menacée par le temps qui passe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
Voilà pourquoi le cinéma d’Ozu est terrassant, non pas pour ce qu’il montre de la dureté de la vie et des afflictions des personnages mais pour ce qu’il laisse entrevoir de la persistance de la noblesse des sentiments qui les animent malgré tout.
L'Humanité
Le Fils unique (1936) est peut-être le plus beau film d’Ozu. (...) [Son] art est ici à son comble et peut-être est-ce la proximité du cinéma muet, auquel il a déjà tant donné, la nécessité pour un réalisateur d’évoquer plus que de dire, qui donne au film sa force de suggestion.
Les Fiches du Cinéma
Un des chefs-d'œuvre qu'Ozu a réalisé dans les années 1930, période où ses films étaient plus réalistes et moins redevables à une certaine ritualisation.
Libération
La brutalité du contexte social n’a d’équivalent que la douceur des sentiments qui lient les personnages et qu’Ozu met en scène avec cette même ambivalence : son artisanat est si pointilleux qu’il touche à l’os sans cesser de caresser la peau.
TéléCinéObs
Resté inédit en France, ce premier film parlant d’Ozu (1931) est un petit bijou néoréaliste avant l’heure.
La Croix
Décrivant à petites touches la réalité d'un monde très humble, le film illustre avec pudeur les sentiments de deux protagonistes, leurs craintes et leurs espoirs en un avenir meilleur, l'amertume et la honte face au constat d'échec.
Les Inrockuptibles
C’est ce mystérieux "au nom de" qui donne toute sa profondeur au film.
Télérama
Une variation déchirante (...) sur le thème de la famille menacée par le temps qui passe.