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lejeff64
2 abonnés
262 critiques
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2,0
Publiée le 12 mai 2017
Ce film souffre vraiment d'un manque criant de moyens! On a l'impression de voir un téléfilm ou un film série Z. Le réalisateur y est aussi pour beaucoup tant il manque de talent de mise en scène et ceci malgré un scénario plutôt original.... Brian Yuzna ta relève est assuré! Pour le reste , c'est très moyen et on a vraiment du mal à finir le film tant l'histoire est cousu de fil blanc et que passer 01h30 non stop à écouter des chansons plus ou moins réussi ça fatigue! Enfin un réalisateur qui porte bien son nom!
Un film complètement fou, fils illégitime des amours cinématographiques entre « Phantom of the paradise » et « The Rocky horror picture show » mais aussi petit frère de « Sin city » pour les passages en bande dessinée version Comics. Ce métrage ne constitue pas moins qu’une critique de la société et de ses apparats, du pouvoir, de la jalousie et des méfaits de la chirurgie esthétique sur fond d’opéra Glam Rock avec des personnages toujours en train de chanter leurs textes et leurs souffrances. Le métrage souffre de baisses de rythme fréquentes mais on lui pardonnera tant c’est du jamais vu à l’écran ! Paris Hilton est parfaite et auto-parodie la destinée des pauvres petites filles riches et oisives à merveille. Même s’il n’est pas non plus extraordinaire car semble trop brouillon, ce film constitue néanmoins un OVNI cinématographique, mais il en rebutera voire fatiguera certains, et on les comprendra ! C’est toutefois tellement à part que ça vaut le détour !
Très très bonne surprise, je ne suis pas fan de tout se qui est film musical, mais la tout est très bien fait les musiques prenante, les acteurs sont de très bonne facture (même hilton), tout est vraiment bien réalisé.
Comment aborder un film aussi particulier ? Une comédie musicale (jusque là ça va) de science-fiction (là ça se complique) dans un univers gothique et extrêmement sombre. Un drôle de mélange, qui bizarrement fonctionne très bien. Déjà parce que le scénario est original : un univers d'anticipation glauque où l'on loue des organes si les notre sont défectueux et lorsque que l'on a plus les moyens de les payer, un repo-man vient nous les reprendre en toute légalité. Non seulement c'est très bien écrit, mais en plus c'est loin d'être stupide car ce postulat nous renvoi directement à notre société moderne, à la puissance des grandes compagnies et la dérive de la chirurgie. Les personnages sont vraiment intéressants (même si certains sont volontairement grotesques) et sont très bien interprétés par un casting de choix (certains se plaignent de la présence de Paris Hilton, mais qui de mieux qu'une personne superficielle pour jouer un personnage superficiel ?). Et bien sûr, ils chantent merveilleusement bien, ce qui nous amène à la question suivante : Darren Lynn Bousman a t-il réussit à intégrer parfaitement l'aspect comédie musical à cet univers de science-fiction ? Pour moi oui, simplement car il joue parfaitement avec ces codes (les personnages chantent clairement dans la diégèse du film, par exemple le pilleur de tombes est repéré par les gardes car il chante trop fort) et ajoute à cela des compositions aux influences rock/métal de toute beauté, s'accordant à merveille avec l'univers du film. Ajoutons à cela une esthétique extrêmement particulière avec une sorte de surexposition à la lumière constante qui donne au film un aspect artificiel collant parfaitement à l'ambiance, et on obtient un petit bijou, pour peu que l'on ne soit pas effrayé à l'idée que 90% du film soit en chanson.
Après avoir « commis » Saw 2, 3 et 4, Darren Lynn Bousman laisse libre cours à son imagination débordante, dans un film apocalyptico-gothique d’un mauvais goût sans bornes, mais toutefois assumé. Il y a de bonnes idées en matière de mise en scène et dans la peinture de l’univers, mais ô grands dieux : pourquoi les acteurs ne la ferment-ils de temps en temps ?! L’omniprésence de dialogues « braillés » sur fond de musique rock gâche la majeure partie du film au spectateur non averti, qui du coup trouve le film interminable. Impossible d’enlever à Bousman son audace, mais il faut vraiment accrocher !!
Darren Lynn Bousman, à qui on doit Saw II, III & IV (2005/2006/2007) et plus récemment l’excellent Mother's Day (2010), avait fait une parenthèse entre deux Saw pour adapter le spectacle musical éponyme de Darren Smith & Terrance Zdunich. Il en résulte un immondice appelé Repo! The Genetic Opera (2008), budgété à plus de 8 millions de dollars, malgré une distribution intéressante à première vue : Paul Sorvino & Anthony Head (le "Giles" de la célèbre série télévisée Buffy contre les vampires - 1996/2003), on déchante rapidement lorsque l’on apprend la présence de la célèbre héritière (dénuée de talent) Paris Hilton. Niveau mise en scène, c’est l’overdose assurée, les couleurs saturés, le trop plein au niveau des décors, l’histoire et les dialogues niaiseux et le pire, l’interprétation des acteurs lorsqu’ils se mettent a chanter (soit l’intégralité du film !). Au final, il en devient rapidement difficile de se coltiner le film en entier, armez-vous de patience (ou de courage).
The Rocky Horror Picture Show a trouvé là son plus digne successeur, dommage seulement que ce Repo soit si inégal, tantôt un excellent film mais une très mauvaise comédie musicale, même dramatique, et tantôt l'inverse absolu. De même pour l'esthétique des images, fortement présente mais trop souvent imparfaite, car outrancièrement sombre et trop retravaillée, sur laquelle pourtant compte énormément le film, bien conscient de la médiocrité de ses compositions musicales, elles aussi hésitantes entre le génial et le minable, car trop souvent bâclées, conçues sans rimes ou sous un rythme saccadé, alors vraiment trop peu musical pour être agréable. Dommage que les défauts abondent et surpassent parfois les qualités, sans quoi ce film aurait mérité une bien meilleur note.
L'opéra-rock du 21ème siècle est arrivé ! L'histoire de ce Repo man maudit nous conduit tout droit dans une Amérique post-apocalyptique où l'homme est devenu une être déshumanisé et obsédé par l'apparence. Des chansons aux airs métal déjà cultes ! Le film, raconté sous forme d'un opéra en trois actes, nous conte l'émancipation de Shilo, la fille d'un repo man corrompu engagé par la société Geneco. Ce dernier à pour mission de récupérer les organes impayés directement à la source ! Une ambiance plus que macabre dans un décor typiquement gothique ! Terrance Zdunich est un génie, il signe avec l'aide de Darren Lynn Boussman (le réalisateur de la série Saw) un véritable chef d'oeuvre !!! Une révolution.
Très bonne surprise ce petit film assez unique. Très décalé et déjanté, présenté sous la forme d'une comédie musical, ce film nous ébloui par sa très bonne mise en scène ainsi qu'un visuel très agréable. Les personnages ont beaucoup de charisme, les musiques sont très sympathiques et l'intrique complétement folle. Idéal pour se détendre.
Très bon film cependant je trouve étonnant qu'Allociné n'est pas fait le rapprochement entre ce film et Repomen avec Jude Law...le fond de l'histoire étant similaire.
Si Hitler revenait un jour et qu’il voyait ce film il rassemblerait son armée rien que pour exterminer l’équipe qui a commit cette horreur et les goths en général. Et vous savez quoi ? Bah quand ce sera fait on lui donnera une médaille. Si les frères Lumière voyaient ce crime ils bruleraient leurs prototypes et nous nous contenterions encore de lanternes magiques, braves machines bien incapables de transmettre au monde le tas de gerbe qu’est « Repo ! The Genetic Opera ». C’est au-delà de la merde, c’est la fin de la civilisation.
Il faut supporter un flot véritablement interrompu de « chansons » dont la seule vague trace de musicalité est l’allongement insupportable de la dernière syllabe de chaque phrase (« prends tes medicameeeeeeeeents » « oui papaaaaaaaaaaa » « c’est bien ma filleeeeeeeeeeeeeee » « je t’aime papaaaaaaaaaaaaa »). A la fin du film aucun refrain ne reste, aucune rime, aucun couplet… Pour la bonne raison qu’il n’y en a pas : il vous faut imaginer des dialogues normaux (mais en plus merdiques) avec juste un tremolo faux et poussif sur la dernière syllabe ET C’EST TOUT. Dans l’ensemble du casting PERSONNE ne sait chanter ou n’a seulement une voix potable. Et derrière ça vous avez une « musique » commise par Yoshiki Hayashi de X-Japan qui suffirait à faire instantanément tomber en panne tout ascenseur qui se respecte.
Il parait que c’est un opéra, mais écoutez moi bien car je suis extrêmement sérieux : je suis quasiment certain que Mozart l’Opéra Rock est largement meilleur que ce coprolithe liquéfié, qu’il représente une insulte bien moins grave à ce genre que je défend bien que je ne l’aime pourtant pas. Oui, je n’aime pas l’opéra mais j’éprouve désormais une indéfectible sympathie pour ce genre si régulièrement bafoué par la chienlit et les pires rebuts de ce qui touche vaguement à la musique.
Vous en voulez encore ? Paris Hilton a un assez gros rôle au sein de cette chose et elle n’a même pas l’air spécialement mauvaise en surnageant dans cette mélasse fécale de bras cassés où barbotent une des tarlouzes de Skinny Puppy et Anthony Head (Giles dans Buffy).
Le scénario est tellement honteux que l’on se dit que les plot-holes sont dues à la miséricorde de la pauvre équipe de monteurs qui a viré quelques scènes pour alléger son fardeau. Leur geste salvateur suffit-il à les dédouaner d’avoir participé à cet acte de vandalisme ? Je ne pense pas, le droit de retrait ça existe merde ! Malgré tous ces vains efforts, l’histoire coule comme une diarrhée dans des décors en carton-pâte moches, épaulés par des images de synthèses même pas dignes d’un mauvais jeu vidéo de la dernière décennie.
Il n’y a que deux moments où l’on ne se sent pas agressé : quand le père tarte la chiure qui lui sert de progéniture et qui tient lieu d’héroïne ; et l’apparition furtive d’une DJ au glorieux faciès de dame-pipi. Cela représente exactement 4 secondes de répit au milieu de ces 97 minutes vomitives. Enfin vomitives, ce n’est pas le spectateur qui vomit, c’est cette chose qui se prétend film qui vomit sur les cinq sens des innocentes créatures qui ont eu le malheur d’appuyer sur Play.
En fait dans Ring, c’est ce sous-produit de dégénérescence avancée qui aurait dû servir de cassette qui tue. D’ici une semaine je vais passer un IRM complet pour voir l’étendu des dommages provoqués par ce condensé d’agression sensorielle. J’en ai vu pourtant des bouses, des films hideux, fauchés, mal foutus… Mais le cinéma d’exploitation philippin ou turque est à remettre dans un contexte et une vision du cinéma particulière avec ses contraintes propres. Repo ! n’a pas la moindre excuse. Si les merdes pouvaient chier, un gros plan fixe de deux heures sur leurs chiures serait plus supportable que de revoir ce monument de nullité qui nous fige dans une telle consternation qu’il n’est même pas possible de le prendre au second ou troisième degré.
Je pense que c’est le juste châtiment de Dieu, fait pour punir les goths (qui l’ont bien mérité) et les cinéphages trop curieux. J’aurais pu en vouloir aux deux fous qui m’ont entrainé dans ces 3/2 d’heure de souffrance, mais je pense que leur punition est venue d’elle-même… Je ne leur en tiendrai donc pas rigueur et leur fait part de ma sympathie et de mes vœux de prompt rétablissement.
Voila un film qui sort de l'ordinaire, Darren Lynn Bousman nous a Réalisé un petit chef d'œuvre. Je suis tomber sous le Charme de la voix d'Alexa Vega et sa fait plaisir de retrouvé Antony S Head.
Un film que je regarderais plusieurs fois sans hésitation.
Repo, The Genetic Opera est un très bon film vraiment spécial, c’est vrai mais c’est ce qui fait son charme.
Dans l’ensemble, le film est très bon malgré une première partie qui a un peu de mal à commencer et j’avais l’impression que le film ne savait pas trop où aller mais rattrapée par de très belles chansons qui nous attire notre attention sur le film. La deuxième partie est très convaincante car le film commence à se dévoiler et devient plus passionnante, et puis le Genetic Opera à la fin est tout simplement remarquable. Le film présente un très bon décor bien sombre et assez gothique ; qui est de même pour les belles tenues des jeunes femmes (Shilo, Mag et Amber). Le film en lui-même est donc très satisfaisant mais le problème vient finalement du fait qu’on lui donne un mauvais résumé car la problématique générale du film traite d’autre chose. Parlons maintenant des chansons qui sont vraiment très belles, voire certaines magnifiques (j’ai adoré les chansons de Shilo par exemple).Elles sont omniprésentes dans le film (toutes les 3 secondes il y en a une nouvelle) donc après il faut aimer ce genre de chansons car sinon pas la peine de regarder le film. Finalement, je dirais plutôt que c’est plus un défilé de chanson sur fond de film qu’un film avec beaucoup de chansons.
Pour conclure, Repo, The Genetic Opera est un très bon film, bien soigné et presque original, avec d’excellentes chansons. Je préviens tout de même qu’il risque de ne pas plaire à tout le monde et qu’il faut vraiment savoir à quoi s’attendre avant de se jetter dessus.