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Votre avis sur Victoria : les jeunes années d'une reine ?
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Elevée aux Sissi je n'ai pu ne pas aimer ce film sur la romanesque histoire d'amour entre Victoria et Albert.
Mais contrairement au précédents je trouve que cette fois ci l'Histoire, la vraie est bien plus respectée que dans le très suranné Jeunes années d'une reine avec Romy.
On perçoit le mauvais caractère de la reine Victoria assez soupe au lait en réalité ce qui lui a joué des tours à de moults reprises. Plus réaliste dans les costumes aussi.
L'ère Victorienne est une de mes périodes de prédilection et j'ai vraiment apprécié cette aproche plus proche de la réalité historique des faits, même si cela reste un film, sur ce qui est sans doute la plus jolie des vraie romance d'amour entre une reine et son épou.... combien d'exemple avons nous dans l'histoire de roi et reine épousant un être aimé et payé de retour et que seule la mort sépara ?
Mais contrairement au précédents je trouve que cette fois ci l'Histoire, la vraie est bien plus respectée que dans le très suranné Jeunes années d'une reine avec Romy.
On perçoit le mauvais caractère de la reine Victoria assez soupe au lait en réalité ce qui lui a joué des tours à de moults reprises. Plus réaliste dans les costumes aussi.
L'ère Victorienne est une de mes périodes de prédilection et j'ai vraiment apprécié cette aproche plus proche de la réalité historique des faits, même si cela reste un film, sur ce qui est sans doute la plus jolie des vraie romance d'amour entre une reine et son épou.... combien d'exemple avons nous dans l'histoire de roi et reine épousant un être aimé et payé de retour et que seule la mort sépara ?
Un film historique livrant une reconstitution classique de la jeunesse de la reine Victoria qui est un personnage important mais sans que l'histoire montrée soit très passionnante en se laissant toutefois regarder.
tixou0
Très bon remake du film d'Ernst Marischka (1954) qui signait là sa première collaboration avec Romy Schneider, bien meilleur que l'original. Ce n'est plus une sucrerie à l'autrichienne, mais une belle reconstitution (faits historiques avérés, décors et costumes somptueux, mise en scène ample) parfaitement défendue par d'excellents interprètes, notamment Emily Blunt (en jeune reine d'ailleurs beaucoup plus crédible au physique que Romy Schneider, trop jolie pour le rôle), Rupert Friend (plus talentueux qu'en "Chéri") et Paul Bettany, impressionnant en Lord Melbourne. Un somptueux livre d'images, pour toutes celles qui se sont rêvées en princesses, mais pas seulement : c'est aussi une réflexion intéressante et bien menée sur la solitude du pouvoir.
Un film sans grande surprise mais intéressant puisqu'il aborde le ressenti d'une jeune fille qui accède au trône à 18 ans à peine... Et pour une fois, une vraie histoire d'amour pour une reine, c'est rare...
Il est rare que les Américain ou Anglais ratent un biopic historique ,puisque c'est leur fort , mais la le sommeil , gagne .
Et même la belle Emily Blunt ne sauve pas le film du naufrage .
Et même la belle Emily Blunt ne sauve pas le film du naufrage .
La jeunesse de la reine qui marqua à jamais l'Angleterre. Les costumes et les décors sont magnifiques. Les acteurs sont beaux, c'est juste et c'est instructif laissez vous porter.
Les décors et les costumes sont magnifiques, Emily Blunt est superbe mais quel ennui!
C'est quand même étrange de lire toutes les critiques, secrets de tournages etc, sans qu'aucun ne mentionne le film avec Romy Schneider de E.Marischka, qui raconte exactement la même histoire (à savoir la jeunesse de Victoria, et non celle de Sissi) et qui s'intitule (en plus!) "les jeunes années d'une reine" !!! Donc pour moi ce film n'est vraiment pas original !
Belle reconstitution et belle romance. Ce n'est cependant pas excellent dans son déroulé : Un peu lent et superflus quant au destin de Victoria. On s'attend à un réel final, pas à un tel bâclage. Décevant dans son ensemble.
Ecrit par Julian Fellowes, scénariste oscarisé pour Gosford Park et créateur de la série phénomène Dowton Abbey, réaliser par Jean-Marc Vallé et s'attaquer à l'histoire de la reine Victoria et du Prince Albert : c'est vrai qu'on ne pouvait faire plus ambitieux en terme de projet ! Au final : le résultat s'avère de toute beauté.
Il est vrai que le long-métrage est une énorme claque visuelle, dans ses décors, ces costumes signée par la géniale Sandy Powell (déjà à l'œuvre sur Aviator, Le Retour de Mary Poppins, Cendrillon, La Favorite...) et en ce sens, il faut souligner que ce long-métrage à la fois intime et très publique bénéficie d'une reconstitution historique rarement aussi aboutie, sur un film d'époque. Mais plus encore, la photographie est à la fois naturelle, chaleureuse et éblouissante, la réalisation léchée et envoutante. Ce qui apporte encore plus de force à l'ensemble du long-métrage.
Le scénario est superbement bien écrit, détaillé, et précis sans jamais se perdre non plus dans trop de détails. Julian Fellowes a réussit à parfaitement doser romance, drame, histoire sans jamais perdre une seule seconde, ce qui constitue l'essence du film c'est à dire le portrait de la reine Victoria, une femme complexe ; colérique, amoureuse, rebelle, pleine de vie, de passion, d'espoir, féminisme, ce qui est pour moi un gage d'un beau travail. La bande son signée Ilan Eshkeri est l'une des plus belles, des plus sincères et des plus soignée que j'ai entendu jusqu'ici-ce compositeur a réussi à mettre en lumière par le biais des des notes et des accords, l'âme de la défunte reine.
Mais surtout le gros atout du film c'est la performance d'Emily Blunt qui crève l'écran de bout en bout. Comme beaucoup de rôles, celui-ci lui colle parfaitement à la peau. Jamais dans la caricature, ou la facilité : Blunt est sidérante de justesse face à un Rupert Friend, un peu effacé mais qui est lui aussi très juste dans son jeu, et donne une interprétation à défaut d'être incroyable, une performance sans fausse notes.
Découvert, il y a longtemps : ce remake du film avec Romy Schneider est ce qu'on a vu de plus aboutie, en terme de biopic historique ces dernières années.
Il est vrai que le long-métrage est une énorme claque visuelle, dans ses décors, ces costumes signée par la géniale Sandy Powell (déjà à l'œuvre sur Aviator, Le Retour de Mary Poppins, Cendrillon, La Favorite...) et en ce sens, il faut souligner que ce long-métrage à la fois intime et très publique bénéficie d'une reconstitution historique rarement aussi aboutie, sur un film d'époque. Mais plus encore, la photographie est à la fois naturelle, chaleureuse et éblouissante, la réalisation léchée et envoutante. Ce qui apporte encore plus de force à l'ensemble du long-métrage.
Le scénario est superbement bien écrit, détaillé, et précis sans jamais se perdre non plus dans trop de détails. Julian Fellowes a réussit à parfaitement doser romance, drame, histoire sans jamais perdre une seule seconde, ce qui constitue l'essence du film c'est à dire le portrait de la reine Victoria, une femme complexe ; colérique, amoureuse, rebelle, pleine de vie, de passion, d'espoir, féminisme, ce qui est pour moi un gage d'un beau travail. La bande son signée Ilan Eshkeri est l'une des plus belles, des plus sincères et des plus soignée que j'ai entendu jusqu'ici-ce compositeur a réussi à mettre en lumière par le biais des des notes et des accords, l'âme de la défunte reine.
Mais surtout le gros atout du film c'est la performance d'Emily Blunt qui crève l'écran de bout en bout. Comme beaucoup de rôles, celui-ci lui colle parfaitement à la peau. Jamais dans la caricature, ou la facilité : Blunt est sidérante de justesse face à un Rupert Friend, un peu effacé mais qui est lui aussi très juste dans son jeu, et donne une interprétation à défaut d'être incroyable, une performance sans fausse notes.
Découvert, il y a longtemps : ce remake du film avec Romy Schneider est ce qu'on a vu de plus aboutie, en terme de biopic historique ces dernières années.
Un film historique sur les débuts méconnus de la reine Victoria , il est surtout centré sur l'histoire d'amour et les coulisses de cette monarchie et c'est un peu dommage de ne pas nous montrer
la Grande -Bretagne industrielle et coloniale de l'époque , une réussite quand même .
la Grande -Bretagne industrielle et coloniale de l'époque , une réussite quand même .
Je m'attendais à un film gnangnan du genre téléfilm sur lady Diana et bien surprise j'ai trouvé le film très intéressant. Un complément du film "le discours d'un roi". Pour en savoir plus un peu sur le complexe système monarchique devant côtoyer la mise en place d'un premier ministre et le pouvoir royal qui s'étiole pour à la finale n'être plus qu'une tradition coutant très cher au peuple. L'image est soigné et pour moi le film est efficace.
J'ai adoré le film, l'histoire, le décor, le personnage. Je ne me suis pas ennuyer un seul instant, son parcours est remarquable.
Redzing
"The Young Victoria" évoque sans surprise les premières années de règne de la Reine Victoria. Qui était encore, en 2009, la souveraine britannique étant restée le plus longtemps sur le trône (Elizabeth II l'ayant battu depuis). On retrouve ainsi cette jeune femme intelligente et têtue, mais très inexpérimentée, que beaucoup tentent de contrôler. D'un côté son tuteur infâme, de l'autre le premier ministre sincère mais aussi arriviste, ou encore le Prince Albert, envoyé par son once Léopold pour la séduire, qui tombera réellement amoureux d'elle. Des intrigues politiques pas inintéressantes, mais dont les personnages sont dessinés à gros traits. Néanmoins, le film bénéficie de jolis costumes & décors (tournage effectué dans de nombreux domaines d'Angleterre). Et d'acteurs talentueux, entre Emily Blunt, Paul Bettany, ou Mark Strong (et en bonus, un méconnaissable Julian Glover en Wellington !). La mise en scène est globalement efficace, et s'attarde surtout sur la relation entre Victoria et Albert, dépeinte comme choupinette. Les amateurs de films d'époque et de comédie romantique seront sans doute ravis !
L'empire des sens. L'impératrice qui ne compte pas pour des prunes. Un film sur les rosbif par un caribou des temps moderne. Un grand cri d'amour et une lettre ouverte à son cher Albert. A cultiver.
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