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Un visiteur
2,5
Publiée le 18 septembre 2008
Bon petit film sur le thème du braquage de banque. Même si ce n'est pas vraiment neuf, le fait de revoir le Londres du début des années 70 est plaisant. J'ai passé un bon moment mais sans plus. Le coté corruption, sexe , politicien scandaleux et famille royale, et petit banditisme se mélange bien. A vois mais sans plus.
Jason Statham excellent comme l'ensemble du film. Une bande de malfrats à la petite semaine manipulés par les services très spéciaux de sa gracieuse majesté pour récupérer des "documents" compromettants. Tiré d'une histoire réelle, on se plonge dans le film avec intérêt. Mais tel est pris qui croyait prendre...
Un film sympathique tiré d'une histoire vraie mais qui à le gros défaut de faire trainer les choses en longueur. Certains aspects auraient pu être mieux dévoloppés (l'infiltration dans le milieu extrémiste black, les manigances et travers des services secret...) Peu mieux faire donc.
Sans surprise, Braquage à l’anglaise reste plus classique que jamais. Les clichés y sont à profusions et mal employés. L’univers d’époque et à peu prés bien recréer, les acteurs y évoluent tant bien que mal sans être intéressant. L’action est d’une lenteur effrayante et Roger Donaldson n’arrive pas à imposer un rythme à son film et en fait quelque chose d'indigeste et de désagréable.
Un film pour lequel j'ai failli plutôt filer à l'anglaise ! Car malgré le fait que cette histoire soit inspirée de faits réels, rien n'est crédible ! Même pas les personnages pour qui on ne s'attache pas un seul instant.
Ambiance années 70 garantie, intrigue très bien menée, sans sacs de noeuds (à l'inverse du très boursouflé Cash - même si la comparaison ne s'impose pas).
vous avez aimé Snatch, vous avez aimé Crimes, arnaques et botanique, vous allez aimer Braquages à l'anglaise. ils sont pathétiques, ils trouver un bon coup pour s'en sortir, et les ennuis commencent
Connaissant Jason Statham pour son côté castagneur, je découvre, après Snatch, un acteur puissant de réalité. Braquage à l'anglaise jouit d'un rythme efficace, jalonné par plusieurs rebondissements qui font de son scénario un petit bijoux. Le côté historique et la trame politique évacue toute superficialité qui pourrait peser sur un quelconque film de gangster. L'action est tout autant à son rendez-vous, de même qu'une certaine dose d'humour. Pourquoi ne pas lui donner quatre étoiles ? Parce que comme beaucoup de productions, une histoire pseudo-sentimentale et relativement dénuée d'intérêt entre les braqueurs s'immisce au milieu de la nervosité du film, sans pour autant que cela ne creuse la personnalité des protagonistes de notre affaire.
Si le "d'après une histoire vraie" n'est pas gage de réussite, il faut reconnaitre qu'en l'occurence c'est le cas. Il faut d'ailleurs avouer que ce "Braquage à l'anglaise" sait se faire vraiment plaisant durant 100 minutes, mis en scène efficacement et même assez habilement par un Roger Donaldson que l'on avait pas vu aussi inspiré depuis longtemps (peut-être tout simplement jamais inspiré.) Cela dit, la première partie, bien que très agréable, ne retrouve jamais le brio d'un "Ocean's 11", se contentant de l'élaboration d'un casque certes bien mené, mais qui manque peut-être un peu d'imagination et d'humour. Non, c'est bien cette seconde partie qui fait notre bonheur, tant elle parait incisive et palpitante, les enjeux comme le suspense étant alors plus que présent. Et il est donc vrai que pour le coup, cette "histoire vraie" rend le récit d'autant plus intense et assez passionnant. On pourra alors peut-être regretter certains aspects légèrement faciles, mais au fond qu'importe. Le divertissement est bien là, et même un peu plus que cela. Un bon cru.
Film synpathique et sans prétention. Tiré d'une histoire vraie ce qui explique le coté peu spectaculaire. A voir pour ceux qui aiment les films-documentaires ou lorsque la réalité prend le pas sur la fiction. Bons jeux d'acteurs mais avouons le, peu de suspens ....
Pour ma part, je préfère le divertissement, lorsqu'on nous montre des choses impossibles à voir une fois sorti de la salle de cinéma ou lorsqu'on nous plonge dans un monde bien différent du notre. Ma faible sensibilité au type de film "véridique" explique cette petite moyenne.