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Votre avis sur Rien que pour vos cheveux ?
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C’est du Adam Sandler, c’est une comédie américaine potache, bien lourde mais de temps en temps drôle, pour les amateurs du genre …
Zohan (Adam Sandler), le meilleur agent secret israélien (et mondial), n’en peut plus de passer sa vie à éliminer de méchants Palestiniens. Il ressent le besoin d’être plus en phase avec lui-même, d’être plus à l’écoute de son moi profond. Or quel est son rêve le plus ardent ? Devenir coiffeur pour dames. Israël ne lui permettant pas de se réaliser, il se fait passer pour mort et s’envole pour les États-Unis, le pays de tous les possibles. Cette comédie bouffonne et carnavalesque, souvent très drôle, parfois plus lourde, ne s’encombre pas de finesse dans un scénario qui bazarde le bon goût et la finesse au bazooka. Difficile de ne pas rire devant ce délire de 1h50 dans lequel finit même par apparaître Mariah Carey. Seul bémol : pour aborder le conflit israélo-palestinien avec tant de liberté et de folie, peut-être eût-il fallu intégrer davantage de scénaristes, d’acteurs, de techniciens...palestiniens.
Adam Sandler a une filmographie médiocre mais ce "You Don't Mess With The Zohan" est indéniablement une réussite, probablement le seul film de Sandler que j'ai apprécié jusqu'ici. Pourtant, les défauts ne manquent pas, entre une baisse de régime à mi-parcours
spoiler:
(l'identification de Zohan par les Palestiniens tardent)
, l'excès de vocabulaire israélien, quelques éléments mal utilisés spoiler: (le fait que Dalia soit la soeur de Phantom)
et des lourdeurs en tout genre spoiler: (son pénis qui bouge, le sexe avec les clientes, la mère de l'ami de Zohan)
, mais le scénario enchaîne globalement les bons gags spoiler: (les chiens dans l'avion, les pompes improbables, la conduite façon Taxi, le tic du "tout soyeux", le SAV du Hezbollah, l'affaire de la chèvre, la scène de frappe-pied à la Matrix 2, le pouvoir sonique, la couleur kaki, le houmous, l'accent)
et offre une parodie savoureuse des films d'espionnage spoiler: (explosions, cascades improbables, lunettes nocturnes donnant trop d'infos)
. En toile de fond, le script ridiculise intelligemment la starification spoiler: (Mariah Carey)
, les potiches spoiler: (la femme aux seins refaits)
et surtout le conflit israélo-palestinien spoiler: (2 communautés qui travaillent l'une face à l'autre à New-York et se regardent de travers pour rien; l'idiotie que l'Histoire empêche Zohan l'israélien et Dalia la palestinienne de s'aimer; ce sont les autres qui nourrissent ce conflit à des fins personnelles (comme Trump peut le faire à l'heure actuelle))
. Côté casting, Adam Sandler s'en donne à coeur joie, John Turturroest sans limites dans le rôle de Phantom et Emmanuelle Chriqui est l'atout autant charme qu'intelligence. Des messages forts au milieu d'un humour graveleux réussi, voilà qui résume bien ce "You Don't Mess With The Zohan" très divertissant.
, l'excès de vocabulaire israélien, quelques éléments mal utilisés spoiler: (le fait que Dalia soit la soeur de Phantom)
et des lourdeurs en tout genre spoiler: (son pénis qui bouge, le sexe avec les clientes, la mère de l'ami de Zohan)
, mais le scénario enchaîne globalement les bons gags spoiler: (les chiens dans l'avion, les pompes improbables, la conduite façon Taxi, le tic du "tout soyeux", le SAV du Hezbollah, l'affaire de la chèvre, la scène de frappe-pied à la Matrix 2, le pouvoir sonique, la couleur kaki, le houmous, l'accent)
et offre une parodie savoureuse des films d'espionnage spoiler: (explosions, cascades improbables, lunettes nocturnes donnant trop d'infos)
. En toile de fond, le script ridiculise intelligemment la starification spoiler: (Mariah Carey)
, les potiches spoiler: (la femme aux seins refaits)
et surtout le conflit israélo-palestinien spoiler: (2 communautés qui travaillent l'une face à l'autre à New-York et se regardent de travers pour rien; l'idiotie que l'Histoire empêche Zohan l'israélien et Dalia la palestinienne de s'aimer; ce sont les autres qui nourrissent ce conflit à des fins personnelles (comme Trump peut le faire à l'heure actuelle))
. Côté casting, Adam Sandler s'en donne à coeur joie, John Turturroest sans limites dans le rôle de Phantom et Emmanuelle Chriqui est l'atout autant charme qu'intelligence. Des messages forts au milieu d'un humour graveleux réussi, voilà qui résume bien ce "You Don't Mess With The Zohan" très divertissant.
Gros film avec des gags qui font pas mal à la tête mais qui peuvent nous décrocher de temps en temps la mâchoire, si on prend le tout au 3eme, voire 4eme degré. C'est exagéré, les situations sont abracabrantesques, et les personnages tous plus caricaturaux les uns que les autres. Sachant cela, on fini par passer un moment jouissif à suivre les aventures de ce clone de Chuck Norris, dont la voix suffit à envoyer un type au dessus des nuages.
C’est vraiment très très bête… mais ça fait rire. S’il est difficile d’être constant sur 1h45 en voulant faire un gag toutes les minutes, le rapport durée/amusement est bien supérieur à ce qu’offrent la plupart des comédies burlesques. Les scénaristes n’évitent aucun excès, abusent du mauvais goût, de l’insolence et de l’autodérision pour maintenir un rythme effréné. Si on peut qualifier ce film d’idiot, le message de fond qu’il véhicule (paix et tolérance) est loin de l’être. Et si l’humour pouvait aider à la réconciliation des peuples ?
Faire le film le plus débile possible pour dénoncer le conflit israelo-palestinien, voilà le pari audacieux et réussi avec brio par la bande à Judd Apatow. Au-delà de l'incroyable personnage du Zohan (Adam Sandler, excellent), agent secret priapique et gérontophile qui rêve de devenir coiffeur, le film croule sous une avalanche de gags ineptes et hilarants et une galerie de personnages tous plus cons les uns que les autres... Derrière, suinte l'idée intelligente que les peuples de ces pays ne peuvent pas vivre leurs rêves, pourtant simples, à cause d'une apparente obligation morale, sociale et historique de faire la guerre à ceux d'en face. Drôle, bête et rafraichissant !
Le générique ultra-vitaminé, drôle et vulgaire donne le ton. Mais attention, il ne s'agit pas ici d'un sous "Y a-t-il un pilote dans l'avion ?" ou "Hot Shots !" (malgré le titre français ridicule). L'histoire, inédite, dénonce l'absurdité du conflit israélo-palestinien. L'Amérique est présentée comme une terre d'accueil où tous les rêves sont possibles (ce qui peut se discuter...). L'action et la dérision masquent donc un sujet plus sérieux. Certaines scènes vont très loin comme lorsque
spoiler:
des enfants palestiniens lancent des cailloux à notre agent israélien (Intifada) qui en réponse sculpte les projectiles comme des ballons en forme d'animaux...
De même, le film tourne les terroristes en dérision en délivrant un message pacifique. Cependant, l'overdose d'humour gras et de situations scabreuses souvent en dessous de la ceinture peut lasser à la longue.
De même, le film tourne les terroristes en dérision en délivrant un message pacifique. Cependant, l'overdose d'humour gras et de situations scabreuses souvent en dessous de la ceinture peut lasser à la longue.
Poilant.Humour facile quand même.Bien l'apparition de Mariah CAREY.
Un gros délire sur la tolérance dont le message ne fait pas de mal. Pourtant en s'attaquant à ce thème, on pouvait s'attendre au pire mais au final on se retrouve devant une grosse comédie potache avec un A.Sandler au top. C'est drôle, pas toujours fin mais rafraichissant : du grand n'importe quoi.
Comédie très drôle qui permet d'aborder un sujet difficile avec humour. Très bon scénario qui joue distille tout au long du film des messages de tolérance.
Fruit de l'association Sandler / Apatow, une véritable bombe atomique, repoussant les limites du mauvais goût, bourrée de répliques cultes ("je suis raide pour toi") et de scènes anthologiques. Prenant comme toile de fond le conflit israelo-palestinien, l'ensemble se veut également un appel à l'amour entre les peuples et pointe du doigt une Amérique blanche raciste et snob, détestant tout ce qui n'est pas américain et voyant un terroriste derrière chaque accent oriental.
La critique d'une situation politique et d'un conflit qui perdure depuis trop longtemps comme le conflit israélo-palestinien ne se prête pas forcement à la comédie potache. C'est pourtant ce que tente de faire ce You don't mess with the Zohan et il y arrive plutôt bien.
Gags parfois bien gras et très souvent en dessous de la ceinture, subtilité pas vraiment de mise mais au final un film assez drôle qui joue sur les clichés de toutes les parties pour n'en épargner aucune.
Le film est donc surtout porté par Adam Sandler totalement déchainé, bien aidé par un John Turturo tout aussi délirant, ce qui n'est pas sans rappeler son personnage du Big Lebowski.
Malgré ces bons points, il faut bien reconnaitre que le scénario part un peu dans tous les sens même si l'essentiel se situe plus dans le comique de situation que dans la véritable histoire qui n'est qu'un prétexte à une succession de situations drôles pour la plupart.
Une comédie pas mémorable mais suffisamment sympathique grâce à sa galerie de personnages et son humour pleinement assumé.
Gags parfois bien gras et très souvent en dessous de la ceinture, subtilité pas vraiment de mise mais au final un film assez drôle qui joue sur les clichés de toutes les parties pour n'en épargner aucune.
Le film est donc surtout porté par Adam Sandler totalement déchainé, bien aidé par un John Turturo tout aussi délirant, ce qui n'est pas sans rappeler son personnage du Big Lebowski.
Malgré ces bons points, il faut bien reconnaitre que le scénario part un peu dans tous les sens même si l'essentiel se situe plus dans le comique de situation que dans la véritable histoire qui n'est qu'un prétexte à une succession de situations drôles pour la plupart.
Une comédie pas mémorable mais suffisamment sympathique grâce à sa galerie de personnages et son humour pleinement assumé.
Je tiens à prévenir toutes les personne voulant regarder un film un peu intelligent ou qui pose à réflexion, de passer leur chemin...
Pour les autres, qui comme moi, aiment de temps en temps (voir souvent) se poser devant un film bien drôle (avec ou sans potes) histoire de laisser le cerveau sur le banc ne serait ce qu'une heure ou deux...Alors vous, ne passez pas votre chemin !!!
Rien que pour vos cheveux et drôlement bon... et contrairement à ce que peuvent dire certaines personnes, on est en rien lassé des blagues qui s’enchaînent toutes plus lourdes les unes que les autres...
Rire garanti
Pour les autres, qui comme moi, aiment de temps en temps (voir souvent) se poser devant un film bien drôle (avec ou sans potes) histoire de laisser le cerveau sur le banc ne serait ce qu'une heure ou deux...Alors vous, ne passez pas votre chemin !!!
Rien que pour vos cheveux et drôlement bon... et contrairement à ce que peuvent dire certaines personnes, on est en rien lassé des blagues qui s’enchaînent toutes plus lourdes les unes que les autres...
Rire garanti
Complètement barré et exagéré, le film est avant tout porté par des acteurs supers (Adam Sandler et John Turturro). Difficile à vrai dire de résister à l'humour complètement déjanté et absurde du film, en bien ou en mal : ça passe ou ça casse. C'est débile et j'aime ça !
L'histoire d'un super agent du Mossad qui veut de la douceur en devenant coiffeur loin d'Israël.
Soyons clairs, ce film est un incroyable sac à vannes vulgaires, immondes, débiles et j'en passe, sans parler d'une obsession pour le sexe qui fait penser que seul un ado boutonneux aurait pu pondre le scénario. Sans parler du fait que le scénario prend le risque incroyable en 2008 de parler ouvertement du conflit Israélo Palestinien, toujours avec la même classe.
En un mot comme en cent, ce film est le monument que le cinéma a toujours voulu ériger au mauvais goût universel (enfin plutôt moyen oriental), sans jamais y arriver avec cette perfection presque enfantine sinon miraculeuse.
J'imagine qu'à chaque fois que le scénariste venait avec une idée encore plus osée que la précédente, il repartait avec un post-it « ne surtout pas oublier ! » collé par le réalisateur.
Vous l'aurez compris, si je prend autant de temps pour expliquer le principe, c'est qu'il y a au moins une qualité à cet OVNI salace, c'est sa drôlerie. C'est même sacrément drôle tellement c'est outrageant sur tous les sujets.
Bien sûr, il faut quand même avoir le cœur bien accroché, ou très « jeune », et un peu de connaissances sur les arabes et les juifs, puisque la caricature n'épargne personne, surtout pas le Hezbollah, qui est prétexte à une ou deux scènes hillarantes, quand on sait rire de tout, bien évidemment.
Il y a bien un léger passage à vide, mais ça repart bien vite, et la salle ressort avec le sourire bien scotché.
Un futur classique pour les amateurs de DVD qui détrônera bien des comédies pour ados un peu trop sages.
Soyons clairs, ce film est un incroyable sac à vannes vulgaires, immondes, débiles et j'en passe, sans parler d'une obsession pour le sexe qui fait penser que seul un ado boutonneux aurait pu pondre le scénario. Sans parler du fait que le scénario prend le risque incroyable en 2008 de parler ouvertement du conflit Israélo Palestinien, toujours avec la même classe.
En un mot comme en cent, ce film est le monument que le cinéma a toujours voulu ériger au mauvais goût universel (enfin plutôt moyen oriental), sans jamais y arriver avec cette perfection presque enfantine sinon miraculeuse.
J'imagine qu'à chaque fois que le scénariste venait avec une idée encore plus osée que la précédente, il repartait avec un post-it « ne surtout pas oublier ! » collé par le réalisateur.
Vous l'aurez compris, si je prend autant de temps pour expliquer le principe, c'est qu'il y a au moins une qualité à cet OVNI salace, c'est sa drôlerie. C'est même sacrément drôle tellement c'est outrageant sur tous les sujets.
Bien sûr, il faut quand même avoir le cœur bien accroché, ou très « jeune », et un peu de connaissances sur les arabes et les juifs, puisque la caricature n'épargne personne, surtout pas le Hezbollah, qui est prétexte à une ou deux scènes hillarantes, quand on sait rire de tout, bien évidemment.
Il y a bien un léger passage à vide, mais ça repart bien vite, et la salle ressort avec le sourire bien scotché.
Un futur classique pour les amateurs de DVD qui détrônera bien des comédies pour ados un peu trop sages.
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