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Un visiteur
5,0
Publiée le 22 avril 2009
Ca fait bien longtemps que je n'avais plus mis de note pour un film. Et bien avec "DON'T MESS WITH THE ZOHAN" (On ne rigole pas avec le Zohan) ...j'étais obligé de venir ici, de lire si j'étais pas le seul à avoir été plier en "6" pour cette excellente comédie! Je suis rassuré! Je ne suis pas le seul à avoir compris l'humour très second degré du film. Où on est juste là devant un ovni qui a été conçu pour nous faire "rigoler" ;) Bourrer d'effets spéciaux! Une version française enfin au niveau de la version original. Un méchant (John Turturro excellent en FANNTHOOOM) Franchement Adam Sadler est mortel en ancien Expert de la Mossad Israelienne "invincible" et "indestructible" mais surtout "obsédé" sexuel et sa coupe ahahaha! Avalon... le seul à y croire!! Nooon trop mortel comme film. Et pis, le conflit israelo- palestinien est traité avec tellement de recul que je tire mon chapeau au scénariste! C'est vrai qu'à l'étranger nous sommes tous des frères, pareil. Y a que dans ton propre pays que les rivalités existent! A voir absolument si tu sais ne pas te prendre au sérieux! (Ps: le tire francais est comme d'habitude, "tout pourri" )
Film moyen et pourtant j'adore adam sandler mais voila on voit un personnage loufoque et lourd avec une histoire malgré un peu orginal et quelque gag sympa mais sans plus.
SUPER Génial!! vu 5 fois!! les 2 premières j'ai cru que j'allais crever de rires dans la salle!!! à voir en V.O (plus de rires), vivement la sortie DVD et 1000 bravos pour la performance de Adams.....
Sorte de Rambo au rêve irréalisable de devenir coiffeur (si si). Zohan nous fait bien marrer faut le dire... Le film commence bien avec une course poursuite parodique réalisant les bons gags sans être vulgaire mais le film perd vite de son train d’enfer. En effet, tout s’essouffle en milieu de séance et se conclut par un final bien trop facile. Finalement passé la nouveauté, le film se plombe lui-même dans l’overdose de gags idiots. Tout ceci se conclut avec Happy End purement américain. Mouarf
Pas mal de mauvais goût dans ce film au titre pourtant bien sympathique et bien trouvé, faisant référence en outre à une de mes aventures préférées de James Bond. "Rien que pour vos cheveux" enfile en effets les gags potaches, lourdauds et désolants sous couvert de bons sentimens dégoulinants appelant à la nécessaire fraternisation israélo-palestinienne. Mais c'est bien trop peu et ça ne fait pas une expérience inoubliable. Je me demande quand même ce que sont venus faire des people comme John McEnroe ou Mariah Carey dans ce truc vaseux. Bizarrement, Mel Gibson semble en revanche ne pas avoir été invité à être de la partie. Mais à mon avis il doit plutôt s'en réjouir.
Faire le film le plus débile possible pour dénoncer le conflit israelo-palestinien, voilà le pari audacieux et réussi avec brio par la bande à Judd Apatow. Au-delà de l'incroyable personnage du Zohan (Adam Sandler, excellent), agent secret priapique et gérontophile qui rêve de devenir coiffeur, le film croule sous une avalanche de gags ineptes et hilarants et une galerie de personnages tous plus cons les uns que les autres... Derrière, suinte l'idée intelligente que les peuples de ces pays ne peuvent pas vivre leurs rêves, pourtant simples, à cause d'une apparente obligation morale, sociale et historique de faire la guerre à ceux d'en face. Drôle, bête et rafraichissant !
Comédie américaine bien sympathique avec de l'excellent Adam Sandler. On pose le cerveau et on rigole à toutes les conneries de l'acteur, avec en toile de fond une pseudo critique de l'intégration américaine de certaines minorités. Pas mal du tout.
La finesse de la traduction du film me laissait craindre le pire… Je n’ai pas été déçu, c’est capillo-tracté, lourd, douteux, ridicule, graveleux, avec un happy end dégoulinant de bons sentiments sur les rapports israélo palestiniens. Les pathétiques apparitions en Guest Stars de Mariah Carey, John McEnroe ou Henry Winkler dans leurs propres rôles, arrivent elles aussi comme des cheveux dans cette tiédasse soupe indigeste. A la réflexion, elles constituent peut-être le seul côté utile et éducatif du film en soulevant un débat de fond sur le thème « Grandeur et décadence des has been du Star-system. »