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    Cartouche
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    88 critiques spectateurs

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    ronny1
    ronny1

    36 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 août 2020
    Sorti un an après « Les trois mousquetaires » de Bernard Borderie, « Cartouche » adopte le même rythme westernien et les mêmes bagarres animées par un héros acrobate et épéiste avec le mobilier qui vole dans tous les coins. Très influencé par le cinéma américain, le réalisateur rencontra parfaitement le désir des producteurs Georges Dancigers et Alexandre Mnouchkine qui voulaient réitérer le succès de « Fanfan la tulipe » réalisé dix ans plus tôt. Il faut reconnaître que jusque là le fil de cape et d’épée européen, Riccardo Freda excepté, faisait preuve d’un statisme aussi aristocratique que pesant, comme « Le Capitan » d’André Hunebelle avec Jean Marais, sortit à peine deux ans plus tôt. De Broca d’emblée s’entoure des meilleurs : Christian Matras à la photographie, François de Lamothe au décors, Rosine Delamare aux costumes et Claude Carliez pour les bagarres. Conjointement le casting n’est pas en reste : Jean-Paul Belmondo, Claudia Cardinale, Jean Rochefort, Odile Versois, Philippe Lemaire, Marcel Dalio et Noël Roquevert. Pourtant le film de Boderie ne manquait pas d’arguments avec Mylène Demongeot et Perette Pradier. Mais, ici, la sensualité du couple Claudia Cardinale – Jean-Paul Belmondo, réuni un an plus tôt dans « Le mauvais chemin » (« La Viaccia ») de Mauro Bolignini, et l’ambigüité du personnage interprété avec finesse par Odile Versois font était clairement d’un niveau supérieur. Aidé à la fois de son fidèle complice Daniel Boulanger (dialoguiste de haute volée) et de Charles Spaak, gloire des années quarante et cinquante (chez Renoir entre autres), de Broca entremêle soigneusement comédie, drame et règlements de compte. Sur ce dernier point, traumatisé par son passage en Algérie, les scènes de guerre, au delà de leur côté burlesque, contiennent un portrait au vitriol de la stratégie militaire et des généraux qui vont avec. Quelques vérité également comme cette réflexion nihiliste sur un peuple qui ne pense qu’à se venger, ou cette dévaluation de l’or que le héros distribue comme des bonbons a des écoliers. Passé l’aspect comique de la première partie, la mort s’invite dans le déroulé, rendant le film de plus en plus mélancolique. La partition remarquable du grand Georges Delerue, accompagne avec une justesse exemplaire cette évolution. La fin de Vénus, la dernière phrase de Cartouche, replongent subitement le romanesque dans la réalité historique, quittant l’opérette pour l’opéra, le grand. Contrairement à Borderie qui tombera dans une paresse coupable (les deux « Pardaillan », trois des cinq « Angélique »), de Broca enchainera brillamment, à commencer deux ans plus tard avec « L’homme de Rio ».
    rocky6
    rocky6

    30 abonnés 1 720 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juin 2020
    Grand fan de Belmondo j'étais impatient de découvrir ce film. Malheureusement je suis resté sur ma faim. Ce film de cape et d'épée a fort vieilli et n'arrive pas à nous passionner. Dommage.
    Michael
    Michael

    20 abonnés 462 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mai 2020
    Film de cape et d épée tres bien fait. C est enjoué sans temps mort, on retrouve un Belmondo au sommet de sa forme, un Rochefort à ses débuts et une Claudia Cardinale inoubliable.
    Le film est sans temps mort, bien mis en scène, mais le scénario est parfois cousu de fil blanc et les scènes d action peu crédibles même si elles sont bien faites. De plus, il est dommage que le film prenne temps de liberté avec la réalité historique
    Alasky
    Alasky

    350 abonnés 3 406 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mai 2020
    Un film de cape et d'épée enjoué, rythmé, gai et coloré. Si on arrive à faire abstraction du côté très kitsch et daté du film, on tombe sous le charme de JP.Belmondo, en pleine forme, ici impeccable et attachant en bandit, de J.Rochefort sans sa moustache à ses débuts, et bien sûr de C.Cardinale sublime et inoubliable.
    tisma
    tisma

    292 abonnés 1 968 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2020
    Cartouche est un bon film dans lequel Jean-Paul Belmondo excelle. Le scénario est bon, la musique intéressante mais le film ne fait pas d'étincelles non plus.
    Stephenballade
    Stephenballade

    397 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2020
    S’il y a bien un film français qui méritait d’être restauré en 4K, c’est bien "Cartouche", le seul inconvénient étant de faire disparaître le grain de l’image qui trahissait le millésime 1962. Sinon, ce n’est que du bonheur à plus d’un niveau. Primo l’image en général, cette nouvelle technologie rendant plus nets les moments d’action. Secundo, la 4K permet de sublimer également la séquence finale, augmentant les contrastes entre les dorures du carrosse et la noirceur des profondeurs de la nuit (superbement animée par les torches). Tertio, le spectateur pourra profiter pleinement de la beauté des costumes. Comment ne pas être émerveillé par ces costumes d’un autre temps ? Comment ne pas être admiratif devant cet accord parfait de ces tenues de la tête aux pieds ? (Parfait ? Trop peut-être du côté des plus pauvres vêtus de guenilles ?) Comment la gente masculine ne peut-elle pas fondre devant ces décolletés étourdissants, ceux-là même qui mettaient en valeur les meilleurs atouts de ces dames sans que ce ne soit jamais vulgaire ? Disons pour résumer que d’une façon plus générale, la restauration rend ce long métrage encore plus flamboyant qu’il ne l’était déjà. Si vous voulez mon avis, Philippe de Broca a montré qu’il avait plus d’une cartouche dans son sac pour dégainer un tel film d’avantures. La preuve, il a su s’entourer des plus grands. D’abord le scénariste Daniel Boulanger (ou plutôt co-scénariste puisqu’il est venu seconder le cinéaste à l’écriture), à qui on devra par la suite "L’affaire Dominici" (avec Jean Gabin), "Police Python 357" (avec Yves Montand). Ensuite Georges Delerue, qui signe là une partition géniale, laquelle plonge le public tout de suite dans un temps révolu par le biais du générique du début, promu également comme machine à remonter le temps avec la présence des noms sous une calligraphie quasi disparue sur des supports eux aussi quasi disparus. Et puis il y a les acteurs. Evidemment, il y a les têtes d’affiche, occupées par un Jean-Paul Belmondo comme on l’aime (remuant, flamboyant, charmeur…) et une Claudia Cardinale plus belle que jamais, même en bohémienne. Rien de très étonnant quand on sait qu’elle a été élue la plus belle italienne de Tunis à seulement dix-sept ans… un concours de circonstances qui donnera le top départ à une sacrée filmographie curieusement restée sans récompenses notables hormis les trois reçues pour l’ensemble de sa carrière. Cachée sous son teint hâlée, on aimera la voir sourire tant elle s’illumine, surtout avec une dentition aussi parfaite. Mais… en ce temps-là, une bohémienne pouvait-elle avoir une dentition aussi parfaite ? Boaf, on s’en fout, au final ce n’est pas si important car qu’est-ce qu’elle est belle à regarder ! (Soupir…). Franchement, qu’est-ce que j’aurai aimé être à la place de Belmondo, ne serait-ce que pour avoir le droit d’embrasser cette magnifique italienne ! (double soupir…) Oui bon je sais que ce n’est que du cinéma mais… (triple soupir…). Ooooooh Steph, reprends-toi !! C’est vrai quoi, ce serait trop facile et vachement réducteur et donc malhonnête de ne parler que de ces deux acteurs principaux , même si on doit reconnaître que Belmondo porte le rythme et qu’il fait plus que se débrouiller dans le maniement des armes. En effet, on notera quelques seconds rôles succulents, à défaut surprenants. Je commence par deux noms qui deviendront des figures emblématiques des Grosses têtes sous l’ère Bouvard : Philippe Castelli qui fait une courte apparition en commissaire, et Jacques Balutin en moine nommé sous le drôle de patronyme Capucine. J’ai un regret concernant le rôle confié à Jacques Balutin, c’est qu’il ne soit pas davantage développé car selon moi, il y avait matière. Un peu comme Michael Curtiz et William Keighley l’avaient fait lors de "Les aventures de Robin des bois" en 1938 (punaise, ça ne nous rajeunit pas) avec l’impayable Frère Tuck. Je poursuis par les quelques apparitions de Paul Préboist, que j’ai failli ne pas reconnaître. Et par Odile Versois, dans le rôle d’Isabelle de Ferrussac. Un rôle utile au film pour nous amener la fin telle qu'on la découvre, mais aussi dans le sens que si j’avais été dans le film, j’aurai laissé volontiers cette dame à Belmondo pour que je m’occupe de Claudia… Raaaaah ça recommence ! Bon ça vaaaa, je rigoooole, j’étais même pas né à cette époque. Mais quand même… (nouveau soupir…). Bref ! Comment ne pas citer Jean Rochefort et Jess Hahn ? Avec Belmondo, ils vont former un excellent trio, copains comme cochons. L’alchimie a opéré entre les trois acteurs et ça se voit à l’écran, ce qui a permis d’intégrer aussi de l’humour par le ridicule de la situation (la guerre, avec entre autres leur tricornes déchiquetés pour donner d’étranges sculptures). A eux trois, on pouvait déjà parler du bon (Jean Rochefort), de la brute (Jess Hahn, bizarrement appelé ici « La douceur » et qui aurait pu par ailleurs occuper le rôle d’Obélix) et du truand (Bébel). Pour ce film, tout a été fait dans la plus grande facilité pour un divertissement populaire, mais c’est aussi à ce jour (c’est-à-dire à mon stade de découverte ou redécouverte) le film le plus abouti de Philippe de Broca que je connaisse. Une belle réussite venue couronner la première collaboration Bébel/de Broca qui a peut-être boosté les entrées enregistrées leur deuxième partenariat ("L’homme de Rio"). Alors certes, il y a comme un léger parfum de Robin des bois, de Zorro également avec la signature systématique des méfaits par une initiale. Après, tout n’est pas parfait. Certaines choses sont trop appuyées, comme les ronflements. On pourra reprocher aussi par moments un ton un peu trop théâtral. C'est souvent le lot des films qui ne se prennent pas trop au sérieux. Dans tous les cas, je ne me souvenais pas à quel point ce film était bon, de sa bonne qualité de divertissement. Après tout, on a un trio formidable, un peu d’humour, des costumes magnifiques, une direction artistique des plus réussies à travers les décors et accessoires, et de l’action. Que demander de plus au peuple ? Pour ma part, pendant près de deux heures, j’ai quitté le XXIème siècle. Et je me suis souvenu de termes aujourd’hui disparus, du genre « fariboles ».
    Fabien S.
    Fabien S.

    548 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2020
    Un très bon film de Philippe de Broca avec Jean Paul Belmondo dans le rôle de Cartouche. Un très bon rôle de composition.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    157 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 janvier 2020
    Cartouche, un film historique, d'aventure, de cape et d'épée. Une bonne distribution, avec un quatuor Belmondo, Cardinal, Jesse Beryle Hahn et Jean Rochefort, qui fait ici ne excellente prestation d'acteur.
    Réalisé par Philippe de Broca en 1962.
    Musique de Georges Delerue, décors, costumes, figurants, couleurs, cascades, du spectacle historique comme on savait le faire à l'époque.
    De l'aventure et de la romance pour ce récit qui adapte l'histoire de Louis Dominique Garthausen, dit "Cartouche" qui, du brigandage, passa à l'action politique en tenant tête au pouvoir royale et à la noblesse avec sa bande vers les années 1720. Cartouche, bandit populaire, malin, agile, provocant, téméraire, terriblement culotté et séducteur, sorte de Robin des Bois à la française, annonce un climat pré-révolutionnaire en ce début du 18ième siècle. De nombreuses chansons populaires relatent ses aventures.
    Un très beau film d'aventure sur fond historique de 2H.
    Du bon cinéma qui manque parfois.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    134 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2019
    Cartouche, le personnage historique, devient personnage de fiction dans la main de Philippe De Broca. Film phare du cape et d’épée, il réactualise le genre avec un Belmondo qui signe ses débuts dans le film populaire d’action de belle manière faisant presque oublier ses illustres prédécesseurs Gérard Philippe et Jean Marais. Moderne en diable, son Cartouche est un mix de Robin des Bois et de Fanfan la Tulipe. Voilà un film qui démarre en mode léger et pur spectacle et qui se bonifie au fur à mesure pour finir en tragédie déchirant les tripes dans un final romantique et mélodramatique. Le personnage Cartouche se complexifie le film avançant, débutant en Robin des Bois, cœur d’artichaut et séducteur dans l’âme ; il peut condamner la cause et son amour pour une femme à séduire ce qui en fait un personnage romanesque en diable. Une fin surprenante et loin des happy end dont on abreuve le public, courageuse, elle est surtout une fin des plus magnifiques du cinéma français. Et puis, ce couple magique et rayonnant brûlant la pellicule que Belmondo forme avec la sublime Claudia Cardinale reste un atout majeur de ce film. Et on peut ajouter tous les grands seconds couteaux de l’époque : Jean Rochefort, Noël Roquevert, Marcel Dalio, Jacques Balutin, Paul Préboist, Philippe Castelli,… Une belle référence des 60’s.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    Biertan64
    Biertan64

    49 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 septembre 2019
    Film d'aventures des années 60 avec beaucoup de péripéties, beaucoup de Belmondo en héros virevoltant, sautant, plongeant, voleur au grand coeur...et des acteurs jeunes de l'époque (Claudia Cardinale, Jess Hahn, Jean Rochefort...) . Le style et la mise en scène un peu vieillis sont malgré tout le témoignage d'une époque où le cinéma aimait bien les films de cape et d'épée, un genre un peu disparu aujourd'hui.
    Alligator 427
    Alligator 427

    25 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 septembre 2019
    Caricatural et un peu ridicule, Cartouche ne brille ni par son scénario, ni par ses dialogues. Les amoureux de Belmondo, Cardinale, Rochefort et autres en seront aussi pour leurs frais : ils sont bien peu mis en valeur.
    Ricco92
    Ricco92

    225 abonnés 2 150 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2019
    Classique des diffusions télévisées, Cartouche est le type même du film de cape et d’épée à la française des années 60. En effet, dès le début, on comprend que nous faisons face à un film de pur divertissement qui se moque du réalisme (l’attitude de Belmondo n’est volontairement pas crédible dans un monde réel). Il ne faudra donc pas chercher une adaptation fidèle à la vie de ce bandit du XVIIIème siècle mais un fantasme d’aventures où les voleurs sont des bandits aux grands cœurs et où le ton est très léger et humoristique. Il ne faut donc pas se choquer que la guerre soit traitée avec légèreté et que les costumes soient tous très propres. Il faut donc prendre le film pour ce qu’il est : à savoir un divertissement pur et dur avec un casting assez incroyable (on y retrouve Jean-Paul Belmondo, la sublime Claudia Cardinale, Jean Rochefort, Noël Roquevert, Jacques Balutin, Philippe Castelli, Paul Préboist ou Sim) qui n’hésite pas à traiter tout avec légèreté spoiler: (il fallait oser la réplique : "Eh, Monsieur le Maréchal, nous voilà !")
    et où l’action n’est jamais associée à la violence et se rapproche du cartoon. Il faut tout de même reconnaître que ce qui rend Cartouche important d’un point de vue historique, c’est l’idée de génie de choisir Jean-Paul Belmondo dans le rôle principal transformant ainsi un habitué de la Nouvelle Vague et de polars en héros de films d’action atteignant les sommets du box-office français. Ainsi, même si on peut ressentir la postsynchronisation sur certaines séquences et trouver que le film traîne un peu en longueur, Cartouche est un film assez divertissant qui a l’avantage d’être visible en famille. Il est surprenant qu’aucune suite y fut donnée alors que la fin pouvait en annoncer une.
    CH1218
    CH1218

    201 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 janvier 2019
    Ce film de cape et d’épée du cinéma populaire du début des années 60 marque la première des six collaborations de Philippe de Broca avec Jean-Paul Belmondo. Ce dernier y incarne avec panache Louis Dominique Garthausen, dit Cartouche, un brigand historique qui doit autant à Fanfan la Tulipe qu’à Robin des Bois. Il côtoie pour l’occasion de fidèles partenaires tel que Jean Rochefort, Jess Hahn ainsi qu’une Claudia Cardinale belle comme un cœur. Récréatif sans plus.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 2 décembre 2018
    Un film un peu simplet mais ou on prend plaisir à retrouver notre bebel nationale. Je l'ai trouvé personnellement un peu long même je vous recommande de le voir quand même si vous avez un soir de libre ! Bon film à tous
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    142 abonnés 3 074 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 septembre 2018
    De Broca savait faire du divertissement sans se prendre la tête avec un rendu humoristique d'un Belmondo dynamique accompagné de quelques acolytes. Lorsqu'il faut rentrer dans un peu plus de consistance attention ne pas trop en demander, il y a une romance mais sinon le Belmondo est gouailleur, charmeur mais pas très philosophe. Et l'on retombe assez vite dans les travers des films français de cette période relativement réactionnaires dans le fond sous des allures libertaires bien pensants. Très conformistes dans l'air du temps du type "l'histoire est faite par les vainqueurs" tout en ayant comme devanture une bonne moralité hérité de la charité chrétienne d'antan.
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