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    Cartouche
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    88 critiques spectateurs

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    Redzing
    Redzing

    1 080 abonnés 4 431 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 août 2015
    Au début du 18ème siècle, un bandit en fuite s'enrôle dans l'armée, et, en désertant, deviendra un célèbre brigand nommé Cartouche. Philippe de Broca s'inspire d'un personnage historique pour nous livrer un film d'aventures en forme de Robin des Bois à la française. Jean-Paul Belmondo, avec sa classe insolente et son jeu très physique (il réalise lui-même ses cascades), incarne ce bandit séducteur au grand sourire, face à de solides seconds rôles, et à la belle Claudia Cardinale. Le tout bénéficie d'une bonne reconstitution, avec des décors et costumes de qualité, et surtout d'une bonne dose d'humour. De Broca mêle habilement comédie pure, à la limite du burlesque, et affrontements dans le styles des grands succès de capes et d'épées. Même si le scénario manque parfois d'enjeu (on est plus proche d'une série d'aventures avec une conclusion en demi-teinte, plutôt que d'une épopée), "Cartouche" demeure un film très sympathique, qui n'a pas volé ses 3 millions d'entrée à l'époque.
    this is my movies
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    685 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 avril 2016
    C'est le film qui a scellé une des collaborations parmi les plus importantes du cinéma français populaire : J-P Belmondo sous la direction de P. De Broca avec D. Boulanger aux dialogues. S'appropriant le genre du film de capes et d'épées. Le début part pied au plancher, la narration allant très vite et les péripéties s'enchaînent tandis que l'on suit les 3 compères (Belmondo est assisté de J. Hahn et de J. Rochefort) avant de rencontrer la sculpturale Vénus, jouée par C. Cardinale. La suite, c'est un déchaînement anar digne de Robin des bois mais le film va aller plus loin puisque là où la plupart des autres se seraient arrêté ou bien auraient continué sur la même voie, lui explore la psychologie sombre de son perso, formant un triangle amoureux que j'ai trouvé un peu artificiel. La fin est sombre, très sombre, on change clairement de registre et quand le film s'achève, on se dit qu'il y avait matière à plus avec une voie qui aurait bousculer définitivement le genre (et qui l'aurait enterré aussi sans doute). Au final donc, un pur classique, avec un Bébel bondissant et virevoltant, des dialogues incisifs et une mise en scène pleine de panache. D'autres critiques sur
    Roub E.
    Roub E.

    920 abonnés 4 966 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2021
    Et bien je me suis bien amusé, Cartouche c’est du cinéma d’aventure populaire au sens noble du terme. Philippe De Broca fait avec ce Robin des Bois à la française un film enlevé, rythmé, léger (même si le final va s’avérer plus dramatique). Bien aidé en plus par la présence d’un couple magnifique à l’écran Claudia Cardinale et Jean-Paul Belmondo jouant eux aussi à fond la carte de l’aventure, de l’espièglerie et du glamour. Ils sont entourés de Jean Rochefort et de quelques seconds rôles typiques du cinéma français de l’époque. Bref c’est du divertissement qui a plutôt bien traversé le temps et qui se découvre encore avec plaisir.
    Hotinhere
    Hotinhere

    527 abonnés 4 923 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 octobre 2013
    Film qui s’inspire du personnage de Cartouche, célèbre brigand qui sévissait à Paris sous la Régence, et connu pour être généreux avec les pauvres. Un film d’aventure divertissant avec du panache, de somptueux costumes et décors naturels, des cascades virevoltantes exécutées par un Bébel au meilleur de sa forme.
    tisma
    tisma

    282 abonnés 1 933 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2020
    Cartouche est un bon film dans lequel Jean-Paul Belmondo excelle. Le scénario est bon, la musique intéressante mais le film ne fait pas d'étincelles non plus.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    125 abonnés 1 616 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2019
    Cartouche, le personnage historique, devient personnage de fiction dans la main de Philippe De Broca. Film phare du cape et d’épée, il réactualise le genre avec un Belmondo qui signe ses débuts dans le film populaire d’action de belle manière faisant presque oublier ses illustres prédécesseurs Gérard Philippe et Jean Marais. Moderne en diable, son Cartouche est un mix de Robin des Bois et de Fanfan la Tulipe. Voilà un film qui démarre en mode léger et pur spectacle et qui se bonifie au fur à mesure pour finir en tragédie déchirant les tripes dans un final romantique et mélodramatique. Le personnage Cartouche se complexifie le film avançant, débutant en Robin des Bois, cœur d’artichaut et séducteur dans l’âme ; il peut condamner la cause et son amour pour une femme à séduire ce qui en fait un personnage romanesque en diable. Une fin surprenante et loin des happy end dont on abreuve le public, courageuse, elle est surtout une fin des plus magnifiques du cinéma français. Et puis, ce couple magique et rayonnant brûlant la pellicule que Belmondo forme avec la sublime Claudia Cardinale reste un atout majeur de ce film. Et on peut ajouter tous les grands seconds couteaux de l’époque : Jean Rochefort, Noël Roquevert, Marcel Dalio, Jacques Balutin, Paul Préboist, Philippe Castelli,… Une belle référence des 60’s.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    83 abonnés 1 731 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juin 2022
    Classique du cap et d'épée, c'est la belle époque d'un Belmondo tout en jeunesse et d'un Rochefort sans moustache. Première partie fraîche rigolote et fun, deuxième partie moins inspirée et au rythme bancal. Un peu (beaucoup) vieilli mais un terrible charme kitsch.
    Xavier D
    Xavier D

    56 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 septembre 2021
    Le panache de Belmondo, la beauté de Cardinale et l'humour de Rocheford gatent ce film de cap et d'épée de Broca. Décors et costumes ainsi que la reconstitution d'une ancienne France est magnifique.
    Alligator 427
    Alligator 427

    25 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 septembre 2019
    Caricatural et un peu ridicule, Cartouche ne brille ni par son scénario, ni par ses dialogues. Les amoureux de Belmondo, Cardinale, Rochefort et autres en seront aussi pour leurs frais : ils sont bien peu mis en valeur.
    Fabios Om
    Fabios Om

    49 abonnés 1 268 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 septembre 2021
    Un film d aventure baser sur le célèbre cartouche (personnage tres reconnue en France même si il est assez similaire à Robin des bois ) D'ailleurs ce film a de nombreuse similitude avec le célèbre Robin des bois trop parfois aussi peut être même concept voler les riche pour donner au pauvre ( et finir par être plus riche que les deux qu'on vole et avoir le même défaut que l'on leur reproche ) saut qu'il est epoler par e compagnon et sangage dans l'armée. Il est courageux , séducteur, bagarreur, beau , voleur il est cartouche . Jean Paul Belmondo rien à dire comme toujours, c'est plutôt les dialogue et le scénario quelque peu fade par endroit qui est en bouche comme on dit ,on souhaite presque un remake moderne pour donner un coup de fouet et coup de neuf à cette histoire qui en a bien besoin .

    résumé : Bagarreur mais charmeur et avec un grand cœur, Cartouche vole la paye du régiment où il avait été enrôlé avec La Douceur et La Taupe, et, accompagnés de la charmante Vénus, ils arrivent à Paris où ils vont prendre le contrôle de la bande de Malichot. Ils détroussent les riches et les puissants avec une certaine bonne humeur, jusqu'à ce que Cartouche tombe amoureux de la femme du Lieutenant général de police, ce qui va lui faire prendre des risques de plus en plus grands. Un jour, lors d'une embuscade, Vénus se sacrifie pour sauver Cartouche et, après son enterrement, il décide avec sa bande de la venger.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 147 abonnés 4 159 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mai 2014
    Film de cape et d’épée mené à un rythme d’enfer par le duo De Broca/Belmondo qui aura quelques réussites du même acabit à son actif par la suite (en particulier à l’Homme de Rio, le reste étant plus anecdotique). Tout est là pour distraire le public et De Broca ne déroge pas aux deux grandes figures imposées du genre : action et fantaisie. Belmondo, chef de bande charismatique a plusieurs acolytes hauts en couleur. Jesse Hahn qui incarne le pendant de Portos pour les Mousquetaires ou de Frère Jean pour Robin des Bois apporte toute sa gouaille et sa candeur. De son côté Jean Rochefort un peu gêné aux entournures dans un type de rôle qui ne lui sied guère, incarne l’intello de la bande. Tout ce petit monde ne se prend pas au sérieux une seconde et vole d’aventures en aventures avec la plus grande légèreté. Mais un bon cape et d’épée ne peut être réussi sans la belle qui prendra le cœur du héros toujours prompt à défendre la veuve et l’orphelin. Ici se sera Claudia Cardinale, De Broca n’aurait pas pu à l’époque avoir meilleur goût et Belmondo validera le choix de son metteur en scène en nouant une idylle avec l'actrice. Mais le goût de la conquête du pouvoir sera le plus fort et Cartouche ne pourra s’empêcher de séduire une noble en la personne de la très froide mais très sensuelle Odile Versois comme si au final toutes ces bravades n’avaient eu pour but que de quitter les gens de son rang. Il s’y brûlera les ailes et finira par le payer de sa vie en se rendant à un rendez-vous galant piégé. Malgré tout le plaisir que l’on prend à ce film on ne peut que constater que Belmondo n’est pas Gérard Philippe et encore moins Errol Flynn. Mais dans le domaine il fait mieux que Delon dans La tulipe noire à qui il manquait le côté aérien et insouciant de l’emploi. A noter la présence toujours trop rare de l’impayable Noël Roquevert qui après s’être fait ridiculiser par Fanfan la Tulipe choisit de l’être aussi par Cartouche.
    Stephenballade
    Stephenballade

    386 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2020
    S’il y a bien un film français qui méritait d’être restauré en 4K, c’est bien "Cartouche", le seul inconvénient étant de faire disparaître le grain de l’image qui trahissait le millésime 1962. Sinon, ce n’est que du bonheur à plus d’un niveau. Primo l’image en général, cette nouvelle technologie rendant plus nets les moments d’action. Secundo, la 4K permet de sublimer également la séquence finale, augmentant les contrastes entre les dorures du carrosse et la noirceur des profondeurs de la nuit (superbement animée par les torches). Tertio, le spectateur pourra profiter pleinement de la beauté des costumes. Comment ne pas être émerveillé par ces costumes d’un autre temps ? Comment ne pas être admiratif devant cet accord parfait de ces tenues de la tête aux pieds ? (Parfait ? Trop peut-être du côté des plus pauvres vêtus de guenilles ?) Comment la gente masculine ne peut-elle pas fondre devant ces décolletés étourdissants, ceux-là même qui mettaient en valeur les meilleurs atouts de ces dames sans que ce ne soit jamais vulgaire ? Disons pour résumer que d’une façon plus générale, la restauration rend ce long métrage encore plus flamboyant qu’il ne l’était déjà. Si vous voulez mon avis, Philippe de Broca a montré qu’il avait plus d’une cartouche dans son sac pour dégainer un tel film d’avantures. La preuve, il a su s’entourer des plus grands. D’abord le scénariste Daniel Boulanger (ou plutôt co-scénariste puisqu’il est venu seconder le cinéaste à l’écriture), à qui on devra par la suite "L’affaire Dominici" (avec Jean Gabin), "Police Python 357" (avec Yves Montand). Ensuite Georges Delerue, qui signe là une partition géniale, laquelle plonge le public tout de suite dans un temps révolu par le biais du générique du début, promu également comme machine à remonter le temps avec la présence des noms sous une calligraphie quasi disparue sur des supports eux aussi quasi disparus. Et puis il y a les acteurs. Evidemment, il y a les têtes d’affiche, occupées par un Jean-Paul Belmondo comme on l’aime (remuant, flamboyant, charmeur…) et une Claudia Cardinale plus belle que jamais, même en bohémienne. Rien de très étonnant quand on sait qu’elle a été élue la plus belle italienne de Tunis à seulement dix-sept ans… un concours de circonstances qui donnera le top départ à une sacrée filmographie curieusement restée sans récompenses notables hormis les trois reçues pour l’ensemble de sa carrière. Cachée sous son teint hâlée, on aimera la voir sourire tant elle s’illumine, surtout avec une dentition aussi parfaite. Mais… en ce temps-là, une bohémienne pouvait-elle avoir une dentition aussi parfaite ? Boaf, on s’en fout, au final ce n’est pas si important car qu’est-ce qu’elle est belle à regarder ! (Soupir…). Franchement, qu’est-ce que j’aurai aimé être à la place de Belmondo, ne serait-ce que pour avoir le droit d’embrasser cette magnifique italienne ! (double soupir…) Oui bon je sais que ce n’est que du cinéma mais… (triple soupir…). Ooooooh Steph, reprends-toi !! C’est vrai quoi, ce serait trop facile et vachement réducteur et donc malhonnête de ne parler que de ces deux acteurs principaux , même si on doit reconnaître que Belmondo porte le rythme et qu’il fait plus que se débrouiller dans le maniement des armes. En effet, on notera quelques seconds rôles succulents, à défaut surprenants. Je commence par deux noms qui deviendront des figures emblématiques des Grosses têtes sous l’ère Bouvard : Philippe Castelli qui fait une courte apparition en commissaire, et Jacques Balutin en moine nommé sous le drôle de patronyme Capucine. J’ai un regret concernant le rôle confié à Jacques Balutin, c’est qu’il ne soit pas davantage développé car selon moi, il y avait matière. Un peu comme Michael Curtiz et William Keighley l’avaient fait lors de "Les aventures de Robin des bois" en 1938 (punaise, ça ne nous rajeunit pas) avec l’impayable Frère Tuck. Je poursuis par les quelques apparitions de Paul Préboist, que j’ai failli ne pas reconnaître. Et par Odile Versois, dans le rôle d’Isabelle de Ferrussac. Un rôle utile au film pour nous amener la fin telle qu'on la découvre, mais aussi dans le sens que si j’avais été dans le film, j’aurai laissé volontiers cette dame à Belmondo pour que je m’occupe de Claudia… Raaaaah ça recommence ! Bon ça vaaaa, je rigoooole, j’étais même pas né à cette époque. Mais quand même… (nouveau soupir…). Bref ! Comment ne pas citer Jean Rochefort et Jess Hahn ? Avec Belmondo, ils vont former un excellent trio, copains comme cochons. L’alchimie a opéré entre les trois acteurs et ça se voit à l’écran, ce qui a permis d’intégrer aussi de l’humour par le ridicule de la situation (la guerre, avec entre autres leur tricornes déchiquetés pour donner d’étranges sculptures). A eux trois, on pouvait déjà parler du bon (Jean Rochefort), de la brute (Jess Hahn, bizarrement appelé ici « La douceur » et qui aurait pu par ailleurs occuper le rôle d’Obélix) et du truand (Bébel). Pour ce film, tout a été fait dans la plus grande facilité pour un divertissement populaire, mais c’est aussi à ce jour (c’est-à-dire à mon stade de découverte ou redécouverte) le film le plus abouti de Philippe de Broca que je connaisse. Une belle réussite venue couronner la première collaboration Bébel/de Broca qui a peut-être boosté les entrées enregistrées leur deuxième partenariat ("L’homme de Rio"). Alors certes, il y a comme un léger parfum de Robin des bois, de Zorro également avec la signature systématique des méfaits par une initiale. Après, tout n’est pas parfait. Certaines choses sont trop appuyées, comme les ronflements. On pourra reprocher aussi par moments un ton un peu trop théâtral. C'est souvent le lot des films qui ne se prennent pas trop au sérieux. Dans tous les cas, je ne me souvenais pas à quel point ce film était bon, de sa bonne qualité de divertissement. Après tout, on a un trio formidable, un peu d’humour, des costumes magnifiques, une direction artistique des plus réussies à travers les décors et accessoires, et de l’action. Que demander de plus au peuple ? Pour ma part, pendant près de deux heures, j’ai quitté le XXIème siècle. Et je me suis souvenu de termes aujourd’hui disparus, du genre « fariboles ».
    Fabien S.
    Fabien S.

    532 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2020
    Un très bon film de Philippe de Broca avec Jean Paul Belmondo dans le rôle de Cartouche. Un très bon rôle de composition.
    CH1218
    CH1218

    191 abonnés 2 861 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 janvier 2019
    Ce film de cape et d’épée du cinéma populaire du début des années 60 marque la première des six collaborations de Philippe de Broca avec Jean-Paul Belmondo. Ce dernier y incarne avec panache Louis Dominique Garthausen, dit Cartouche, un brigand historique qui doit autant à Fanfan la Tulipe qu’à Robin des Bois. Il côtoie pour l’occasion de fidèles partenaires tel que Jean Rochefort, Jess Hahn ainsi qu’une Claudia Cardinale belle comme un cœur. Récréatif sans plus.
    ned123
    ned123

    149 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 janvier 2013
    J'ai vu un film... qui m'a transporté dans le temps et qui m'a fait savourer à nouveau ce film avec un Belmondo au top de sa forme. J'ai été séduit par l'ensemble des comédiens présents dans le casting. On rit beaucoup et on vibre avec le héros, dans ses combats, ses rencontres et ses amours... La réalisation de Philippe de Broca est vraiment maîtrisée, et on savoure les péripéties du personnage... Ce film est le reflet d'un certain cinéma français des années 60, avec un peu de contestation de l'ordre établi (ici, la police, l'armée, la noblesse en prennent pour leur grade), mais avec une certaine gouaille et un esprit revêche, aux répliques piquantes... et aux mots acides. Alors bien sûr, on peut dire que ce film a un côté un peu désuet, qu'il oscille entre le réalisme (la mort est présente) et la comédie pure et simple avec des scènes de confrontation drôles, qu'il manque de réalisme (et cela gêne qq peu la coloration du film), mais on passe un excellent moment.
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