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weihnachtsmann
Ils ont retrouvé 12 minutes de ce film.
C’est donc une rareté.
L’homme quitte l’université pour le monde du travail, désabusé déjà car s’estimant de grande valeur.
C’est déjà le thème de l’homme sérieux qui fait honneur à tous alors qu’il s’aperçoit que jouer dans le parc, voir des mais, rire, est tout aussi important !!
Un peu facétieux de la part d’Ozu.
C’est donc une rareté.
L’homme quitte l’université pour le monde du travail, désabusé déjà car s’estimant de grande valeur.
C’est déjà le thème de l’homme sérieux qui fait honneur à tous alors qu’il s’aperçoit que jouer dans le parc, voir des mais, rire, est tout aussi important !!
Un peu facétieux de la part d’Ozu.
Rèalisè en 1929, "J'ai été diplomé, mais..." fait partie des films perdus de Yasujirô Ozu! Seul douze petites minutes (en 16mmm original) de ce court-mètrage ont ètè prèservèes! Fraîchement diplômè de l'universitè, un jeune homme (et ami des enfants) cherche du travail! Aucun poste de libre si ce n'est un boulot de rèceptionniste! Le temps passe mais ne change pas, avec toujours le problème du chômage! En 2016, c'est plus que jamais le problème d'actualitè majeur! Un problème rèel, des moyens modestes, et une absence de prètention! Ozu montre la souffrance de son personnage principal avec une belle justesse! Tout pourtant n'est pas noir et le final
spoiler:
(cette femme qui regarde partir son mari en train pour son premier jour de travail)
, avec les prèmices du style d'Ozu, est très beau à voir! En coopèration avec le Musèe d'Art Contemporain de Tokyo et le Centre de la Cinèmatographie! Remercions les pour ce court qui renaît de ses cendres alors qu'on le croyait à jamais disparu! A noter que les intertitres et le gènèrique ont ètè rèèditès...
, avec les prèmices du style d'Ozu, est très beau à voir! En coopèration avec le Musèe d'Art Contemporain de Tokyo et le Centre de la Cinèmatographie! Remercions les pour ce court qui renaît de ses cendres alors qu'on le croyait à jamais disparu! A noter que les intertitres et le gènèrique ont ètè rèèditès...
Si de nombreux titres de la filmographie de YO, sont aujourd'hui perdu, certains ne le sont qu'en partie. C'est le cas de " j'ai été diplômé, mais..." opus de 71 minutes dont il ne reste que 11 minutes.
Un jeune homme fraîchement diplômé cherche du travail, sans en trouver.
La distribution permet de voir Kinuyo Tanaka dans le rôle d'une jeune femme qui cherche à aider son compagnon en travaillant dans un bar, les plans sur les trains, le monde du travail, la fréquentation des bars et la boisson.
Il est impossible d'évaluer sérieusement un film dont il ne reste très peu. Toutefois , les amateurs de la première période de la filmographie du maître japonais ne le manqueront pas.
" J'ai été diplômé, mais ..." fait partie des titres sociaux du cinéaste ( aspect que les tenants de la nouvelle vague japonaise oublieront parfois lors de leurs critiques son égard ) ou il expose un portrait de personnages confrontés à la dure réalité de l'existence.
Un jeune homme fraîchement diplômé cherche du travail, sans en trouver.
La distribution permet de voir Kinuyo Tanaka dans le rôle d'une jeune femme qui cherche à aider son compagnon en travaillant dans un bar, les plans sur les trains, le monde du travail, la fréquentation des bars et la boisson.
Il est impossible d'évaluer sérieusement un film dont il ne reste très peu. Toutefois , les amateurs de la première période de la filmographie du maître japonais ne le manqueront pas.
" J'ai été diplômé, mais ..." fait partie des titres sociaux du cinéaste ( aspect que les tenants de la nouvelle vague japonaise oublieront parfois lors de leurs critiques son égard ) ou il expose un portrait de personnages confrontés à la dure réalité de l'existence.
Long-métrage d'Ozu dont il ne reste plus qu'aujourd'hui à peine 10 minutes. Comme dans beaucoup des premières oeuvres du cinéaste, celui-ci faisait connaître son amour du cinéma du Pays de l'Oncle Sam en mettant bien en évidence l'affiche d'un film d'Harold Lloyd. Alors ces dix minutes nous montrent un jeune diplômé refuser un emploi car il est bien en-dessous de son niveau d'études, mais ne trouvant rien d'autre et jaloux que sa femme bosse et pas lui finalement il accepte le job. Très bien filmé, Ozu montrait déjà avec un laps de temps aussi court qu'il était à l'aise dans le cinéma social et dans la description des classes moyennes.