AlloCiné
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Votre avis sur Taken ?
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Un excellent film, avec de très belle scène d'action. Un peu emouvant et j'ai trouver le scénario assez original, le sujet est délicat mais très bien traité, et les acteurs son géniaux. Le film est très rythmé alors on ne s'ennui pas, je lui met un 5/5 sans hésiter.
Film d'action sur fond de trafic de femmes, traité a la "Jason Bourne". Ça ne fait pas dans la dentelle, mais on ne s'ennuie pas un instant. Un immense Liam Neeson qui porte tout le film, qui, sans être un chef d'oeuvre, reste un excellent divertissement.
Que le film soit bourré d'incohérences avec une structure narrative bancale passe encore, mais là où le film pèche c'est dans la misogynie et xénophobie du film. Je ne vais pas me lancer dans la critique de ce film raciste, (les français, les albanais et les égyptiens s'en prennent plein la tronche) mais plutôt dans le message insidieusement sexiste à travers la relation des femmes avec le héros. C'est bien simple aucun personnage féminin ne sort du paradigme vierge/épouse/prostituée. Il n'y a pas un seul personnage féminin qui ne soit pas stupide, usée ou abusée, ou utilisé par le héros lui-même pour retrouver sa fille. Quant au trafic de femmes lui-même, dans ce film, il ne s'agit pas de démanteler un réseau, ni même d'en faire une critique. Le héros tape du poing sur la table ou sur la tronche des "vilains" pour sauver et uniquement pour sauver sa fille, il arpente les divers bordels de Paris, les corps féminins drogués, usés et abusés sans sauver une seule prostituée excepté lorsqu'elle possède une information qui peut l'aider à continuer son enquête. Et HEUREUSEMENT que la fille du héros est encore vierge, l'honneur est sauf, hein, sinon elle aurait fini comme sa cousine adolescente chiante, plus vierge (donc une prostituée) donc plus de valeur. Bref, le patriarche à de nouveau la mainmise sur sa femme et sa fille, mais alors les prostituées de paris... on s'en fout, d'façons c'est même plus des femmes, encore moins des êtres humains. Film de m*****
Sadisme abject, radicalité crétine du propos, absence totale de contrepoids moral à la furieuse croisade vengeresse du père Neeson... Franchement, préférez-lui Commando. Plus drôle, plus sain !
Tout simplement grotesque...
La réalisation est toc, outrancière et tape-à-l’œil. Le montage se perd dans le dédale de la réalisation. L’interprétation caricaturale est d’une fadeur incommensurable : Liam Neeson, le grand acteur de "La Liste De Schindler" et de "Michael Collins" se déclare lui-même acteur fini, Famke Janssen prouve qu’elle a autant de charisme qu’une poignée de porte et Maggie Grace se ridiculise plus que jamais. Le récit n’avance qu’à travers les lieux communs (les américains éternelles victimes d’odieux trafics en Europe de l’Est). Pour sûr, TAKEN est un film d’action énergique. Mais finalement, énormément d’agitation mais aucune efficacité, c’est visuellement et auditivement très agressif. Le décor de Paris se prêtait pourtant à un usage ingénieux de la caméra… Mais Pierre Morel n’a d’yeux que pour son acteur/cabotin principal et éclipse les somptueux décors, dont l’utilisation pour servir l’intrigue paraissait simple et évidente. C’est hautement régressif, ça épuise sans même émouvoir, c’est nauséeux... Un navet indéfendable, impossible pour le spectateur to be ‘taken’ une seule seconde devant tant de bêtise. On recherche un film pour les prochains Razzie Awards ? Plus la peine, TAKEN semble tout à fait qualifié.
Consternant. Le magnifique Liam Neeson a été kidnappé par ce voyou de Besoon. Résultat: un "Chuck Norris". Aucune vraisemblance dans cet absolu nanar nourri des clichés les plus pitoyables, voire les plus nauséabonds -ah bin oui, ces maquereaux de l'Est, ces émirs pervers qui viennent se ravitailler à Paris et ôter le pain de la bouche de nos maffieux..!. Pour tronches pleines d'eau qui aiment les films de bagarre.
GyzmoCA
(Avril 2013) - Note 4* - Un film d action de l usine 'bessonienne'. Liam Nessom est bon dans ce rôle de pro de la traque. On peut lutter contre les ricains pour ce genre de film d action à 100%. Merci Luc de te battre avec ton Europa
Juin 2015) - Note 3.5 - J'ai revu ce film avant de me faire Taken 3, il permet de passer un bon moment mais le 4* était quand même surévalué.
Juin 2015) - Note 3.5 - J'ai revu ce film avant de me faire Taken 3, il permet de passer un bon moment mais le 4* était quand même surévalué.
Caine78
J'ai envie de dire que le pire, c'est que c'est efficace... Car je serais malhonnête en écrivant que je me suis réellement ennuyé devant ce « Taken » dynamique et assez convaincant au niveau de l'action. Reste que le fond, lui, est affligeant. Comment peut-on au XXIème siècle écrire de telles inepties, tailler de manière aussi grossière des vrais bons méchants venus de l'Est et faire l'apologie de l'auto-défense de manière aussi piteuse ? Il faudrait vraiment poser la question à Luc Besson et Pierre Morel parce qu'à ce niveau de bêtise, cela en devient vraiment inquiétant. Dommage pour Liam Neeson, qui avait l'air d'y croire et pour l'aspect purement divertissant car lui, remplit de manière indiscutable son contrat. Comme quoi, être efficace peut limiter les dégâts, mais pas sauver entièrement un film ayant un trop fort passif scénaristique. Dispensable.
Un film d'action musclé très divertissant, bien écrit et qui traite d'un sujet assez intéressant et méconnu! en effet ce que montre ce film sur la prostitution n'est malheureusement pas que pure fiction! en tout cas je l'ai loué pour ce long week end du 15 août et je ne le regrette pas!
ROB ROY. Pauvres Albanais. Ils ne savent pas qu'il ne faut pas embeter le père Neeson. Touche pas à ma fille...
Un Français à la réalisation pour un pur concentré d'action et d'adrénaline! 1h30 de poursuites et de stress pour un résultat qui n'a pas su conquérir la critique mais qui a su comblé les attentes de ses spectateurs. Liam Neeson est extrêmement convaincant et porte un rôle qui lui sied à ravir. Une petite réussite qui ne peut que développer notre côté chauvin!
L'impression que j'ai eu pour cette énième production Besson, c'est une impression de déjà vu. Vous prenez Dolph Lundgren que vous remplacez ici par Liam Neeson, la société Nu Image par EuropaCorp, avec un budget multiplié par 10, une sortie au cinéma et non directement en vidéo et hop ! Vous avez Taken. Car finalement le scénario reste le même qu'un Van Damme ou un Lundgren. Un père de famille, ancien agent secret, qui va aller sauver sa fille enlevée par la mafia albanaise spécialisée dans la traite de jeunes femmes tout en dévissant au passage quelques cous. La presse a hurlé aux clichés et à l'auto-justice mais moi qui regarde pas mal de ces direct-to-dvd, je n'ai pas été dépaysé. Neeson n'est pas Seagal certes mais il arrive à être plus convaincant dans les scènes d'émotion. Quant à l'action, elle est efficace. De toute façon, on sait que Morel, Mégaton ou Leterrier assurent toujours à ce niveau là. Le film doit être pris pour un divertissement pop-corn et uniquement en tant que tel. Sinon bien sûr que c'est bourré de poncifs et irréaliste (Neeson doit décimer au moins la moitié de la communauté albanaise de Paris sans être spécialement inquiété par la police). Donc réglez bien votre cerveau avant la séance.
Vanté ça et là par moult amateurs d'actionneurs bourrins, je me devais moi aussi tôt ou tard de mater le fameux Taken produit par notre Luc Besson national et starring Liam Neeson.
Je ne sais pas vraiment à quoi je m'attendais mais il est clair qu'avec Europacorp. mieux valait ne pas mettre la barre trop haute!
Et pour cause!
Accumulations éhontées de n'importe quoi en tout genre, Taken a en effet tout du produit de con-sommation réalisé par Luc Besson (inutile d'incriminer le Yes man interchangeable Pierre Morel) le film étant le cirage de pompe pro yankee pitoyable du type prêt à tout pour s'attirer les faveurs des financiers Américains.
Interprété par un Liam Neeson à la démarche empotée au possible (Faut arrêter les conneries les mecs, le mec à 60 piges!!) l'histoire, malgré les rebondissements artificiels et les quelques artifices venus combler les lacunes d'un script anorexique, à tout du bon gros nanard pour beauf, entérinant les pires clichés racistes et impérialistes qui soient (quasiment que des arabo bougnoules à la tête de ce réseau de traite des blanches!
En cela, le film ne s'embarrasse d'aucune vraisemblance, tant sur le plan sociologique (c'est pas compliqué, le monde ENTIER parle anglais!) que sur le plan géopolitique (un agent secret U.S. seul qui débarque en France faire ce qu'il veut face à des services locaux se résumant à 5 types à tout péter!
Quand au pitch, plus ridicule tu meurs!
Parce que franchement, non seulement faut être sacrément malchanceux en tant que daron ultra parano pour avoir sa fille enlevée lors de son premier voyage à l'étranger, mais faut être sacrément débile pour pas voir clair dans le jeu d'une meuf de 30 berges, courant comme une tordue pour faire croire qu'elle en a 17! (en même temps, il on bien dit dans le film qu'il voyait pas sa fille souvent!
Pire encore, n'eut ce été le scénario écrit avec les pieds par Besson et son complice, voilà que super papa spoiler: assiste par téléphone interposé au kidnapping de sa fille, à qui il prodigue les quelques conseils avisés du spécialiste qu'il est (décrire un ravisseur qui forcément à des signes particuliers reconnaissables) pour faciliter sa recherche ultérieur et donc dérouler l'intrigue
(il est bleu, il a un caleçon et un bonnet blanc!
Là dessus, en deux temps trois mouvements, le type se retrouve spoiler: à Paname enquêtant dans l'appartement cossu du 16ème (visiblement aucun voisin pour avertir la police locale) dans lequel il entre par une fenêtre (les voleurs eux sont passés par la porte les doigts dans le nez!) allant jusqu'à se mettre lui aussi sous le lit pour revivre les Sensations style profileur
(heureusement qu'elle n'est pas allée faire caca entre temps!
Passant par l'aéroport pour mettre l spoiler: a main sur le type ayant pisté sa fille et son amie, Neeson fracasse tout sur place, volant un taxi pour poursuivre sur 150 mètres (à contre sens) le rabatteur qui se fera éclater par un camion puis repart tranquillement, semant les 2 seuls flics de Roissy en marchant pépère!
Bon la suite c'est pas vraiment mieux, le type remonte la piste lentement mais sûrement jusqu'à un réseau spoiler: de prostitution bénéficiant de la complicité des autorités Françaises (Auto flagellation) la copine étant morte d'overdose (bien fait pour sa gueule de toute façon c'était une crasseuse, dans le plus pur puritanisme hypocrite Américain) tandis que celle du héros a été transférée à de riches acheteurs, cette dernière étant vierge donc revendable à un meilleur prix (toujours par des acheteurs Bougnoules hein, si t'as pas compris le message jusque là)
.
On passera sur le pompage des films Hostel (Besson n'est de toute façon plus à un plagiat près) Neeson réussissant spoiler: à s'infiltrer dans les locaux d'une hôtel particulier dissimulant un réseau de nantis payant des fortunes pour de la chair fraiche exhibée derrière une vitre façon peep show (mais pourquoi la fille de Neeson se prête à ce jeu? T'as rien compris ou quoi elle est DROGUEE!) , élimine tout le monde les mains dans les poches pour se faire avoir comme un bleu par un type caché derrière une porte
(oh, c'est ballot!
Heureusement, le scénario a tout prévu, spoiler: même cette visse qui lâche au moment où Liam allait se faire buter v'là le coup de bol!), lui permettant de se défaire de ses agresseurs, de faire la course avec une Audi (ouais, ben je suis sûr que si ils étaient partis en même temps, il aurait pu gagner!) de poursuivre les ravisseurs en prenant les voies de berges Parisienne à contre sens (toujours sans être inquiété par le moindre flic!) saute sur le bateau, massacre toute cette vermine Arabe et retrouve sa fille saine et sauve, contente de voir son Papa venu la sauver
(attends un peu, tu m'as pas dit qu'elle était droguée tout à l'heure?
Un final en apothéose où tout ce beau monde spoiler: retourne aux states par vol régulier (Le mec a tué plein de ressortissants étrangers sans autorisations gouvernementales, dont certainement des mecs très haut placés pour qu'ils aient eu les moyens d'organiser des soirées pareilles avec la complicité des autorités locales, sans aucun incident diplomatique, aucune conséquence, rien ,nada!) la fille s'étant visiblement remise sans problème de l'expérience traumatisante vécue
.
Du coup, spoiler: super Papa la ramène chez la Pop star du début (ouais j'en ai pas parlé mais était ce vraiment nécessaire?) qui lui demande si elle veut toujours devenir une chanteuse (non en fait, je veux être prostituée maintenant que j'ai un peu d'expérience!)
le film se concluant sur cette touche finale d'abrutissement généralisé, apparemment la marque de fabrique d'une boite de production du seul Français ayant réussit à s'imposer à Hollywood...C'est dire si c'est rassurant!
Heureusement que je me suis bien marré quand même!
Je ne sais pas vraiment à quoi je m'attendais mais il est clair qu'avec Europacorp. mieux valait ne pas mettre la barre trop haute!
Et pour cause!
Accumulations éhontées de n'importe quoi en tout genre, Taken a en effet tout du produit de con-sommation réalisé par Luc Besson (inutile d'incriminer le Yes man interchangeable Pierre Morel) le film étant le cirage de pompe pro yankee pitoyable du type prêt à tout pour s'attirer les faveurs des financiers Américains.
Interprété par un Liam Neeson à la démarche empotée au possible (Faut arrêter les conneries les mecs, le mec à 60 piges!!) l'histoire, malgré les rebondissements artificiels et les quelques artifices venus combler les lacunes d'un script anorexique, à tout du bon gros nanard pour beauf, entérinant les pires clichés racistes et impérialistes qui soient (quasiment que des arabo bougnoules à la tête de ce réseau de traite des blanches!
En cela, le film ne s'embarrasse d'aucune vraisemblance, tant sur le plan sociologique (c'est pas compliqué, le monde ENTIER parle anglais!) que sur le plan géopolitique (un agent secret U.S. seul qui débarque en France faire ce qu'il veut face à des services locaux se résumant à 5 types à tout péter!
Quand au pitch, plus ridicule tu meurs!
Parce que franchement, non seulement faut être sacrément malchanceux en tant que daron ultra parano pour avoir sa fille enlevée lors de son premier voyage à l'étranger, mais faut être sacrément débile pour pas voir clair dans le jeu d'une meuf de 30 berges, courant comme une tordue pour faire croire qu'elle en a 17! (en même temps, il on bien dit dans le film qu'il voyait pas sa fille souvent!
Pire encore, n'eut ce été le scénario écrit avec les pieds par Besson et son complice, voilà que super papa spoiler: assiste par téléphone interposé au kidnapping de sa fille, à qui il prodigue les quelques conseils avisés du spécialiste qu'il est (décrire un ravisseur qui forcément à des signes particuliers reconnaissables) pour faciliter sa recherche ultérieur et donc dérouler l'intrigue
(il est bleu, il a un caleçon et un bonnet blanc!
Là dessus, en deux temps trois mouvements, le type se retrouve spoiler: à Paname enquêtant dans l'appartement cossu du 16ème (visiblement aucun voisin pour avertir la police locale) dans lequel il entre par une fenêtre (les voleurs eux sont passés par la porte les doigts dans le nez!) allant jusqu'à se mettre lui aussi sous le lit pour revivre les Sensations style profileur
(heureusement qu'elle n'est pas allée faire caca entre temps!
Passant par l'aéroport pour mettre l spoiler: a main sur le type ayant pisté sa fille et son amie, Neeson fracasse tout sur place, volant un taxi pour poursuivre sur 150 mètres (à contre sens) le rabatteur qui se fera éclater par un camion puis repart tranquillement, semant les 2 seuls flics de Roissy en marchant pépère!
Bon la suite c'est pas vraiment mieux, le type remonte la piste lentement mais sûrement jusqu'à un réseau spoiler: de prostitution bénéficiant de la complicité des autorités Françaises (Auto flagellation) la copine étant morte d'overdose (bien fait pour sa gueule de toute façon c'était une crasseuse, dans le plus pur puritanisme hypocrite Américain) tandis que celle du héros a été transférée à de riches acheteurs, cette dernière étant vierge donc revendable à un meilleur prix (toujours par des acheteurs Bougnoules hein, si t'as pas compris le message jusque là)
.
On passera sur le pompage des films Hostel (Besson n'est de toute façon plus à un plagiat près) Neeson réussissant spoiler: à s'infiltrer dans les locaux d'une hôtel particulier dissimulant un réseau de nantis payant des fortunes pour de la chair fraiche exhibée derrière une vitre façon peep show (mais pourquoi la fille de Neeson se prête à ce jeu? T'as rien compris ou quoi elle est DROGUEE!) , élimine tout le monde les mains dans les poches pour se faire avoir comme un bleu par un type caché derrière une porte
(oh, c'est ballot!
Heureusement, le scénario a tout prévu, spoiler: même cette visse qui lâche au moment où Liam allait se faire buter v'là le coup de bol!), lui permettant de se défaire de ses agresseurs, de faire la course avec une Audi (ouais, ben je suis sûr que si ils étaient partis en même temps, il aurait pu gagner!) de poursuivre les ravisseurs en prenant les voies de berges Parisienne à contre sens (toujours sans être inquiété par le moindre flic!) saute sur le bateau, massacre toute cette vermine Arabe et retrouve sa fille saine et sauve, contente de voir son Papa venu la sauver
(attends un peu, tu m'as pas dit qu'elle était droguée tout à l'heure?
Un final en apothéose où tout ce beau monde spoiler: retourne aux states par vol régulier (Le mec a tué plein de ressortissants étrangers sans autorisations gouvernementales, dont certainement des mecs très haut placés pour qu'ils aient eu les moyens d'organiser des soirées pareilles avec la complicité des autorités locales, sans aucun incident diplomatique, aucune conséquence, rien ,nada!) la fille s'étant visiblement remise sans problème de l'expérience traumatisante vécue
.
Du coup, spoiler: super Papa la ramène chez la Pop star du début (ouais j'en ai pas parlé mais était ce vraiment nécessaire?) qui lui demande si elle veut toujours devenir une chanteuse (non en fait, je veux être prostituée maintenant que j'ai un peu d'expérience!)
le film se concluant sur cette touche finale d'abrutissement généralisé, apparemment la marque de fabrique d'une boite de production du seul Français ayant réussit à s'imposer à Hollywood...C'est dire si c'est rassurant!
Heureusement que je me suis bien marré quand même!
Un thriller explosif !
Taken fait partie de ces rares films d'actions français comprenant des acteurs américains. Fait encore plus rare, le film fut descendu par la presse lors de la sortie, mais fut sauvé par les critiques élogieuses des spectateurs. Que vaut-il réellement ?
Scénario à la fois banal, une histoire d'enlèvement, qui est ne montre pas tout son visage et qui cache une bonne partie de ses atouts. Il est donc question d'un enlèvement vécu en direct au téléphone par le père de la victime. Manque de bol pour les ravisseurs car Bryan, le père en question, n'est autre qu'un ancien membre des services secrets américains habitué à gérer ce genre de situations. Et c'est là qu'est toute la subtilité du scénario, on ne s'attend vraiment pas a voir le père courir après sa fille. Déjà petit problème, elle est à Paris et il est à Los Angeles, mais rien ne résiste à un ancien membre des forces secrètes américaines. Le scénario soulève bien des questions délicates comme par exemple les enlèvements à l'étranger ou encore les réseaux de proxénétisme et de prostitution notamment dans les pays de l'Est. Le réalisateur Pierre Morel a réussi à mettre en avant les qualités scénaristiques de son film par le biais de scènes d'actions surprenantes et parfois bien sanglantes. Pas novatrice, ni même très recherchées, on nous sert des fusillades prenantes, des tortures invraisemblables ainsi que des courses poursuites endiablées dans le rues de Paris. Même si la surenchère est de mise, on ne peut que ce prendre au jeu et voir Bryan massacrer en toute beauté les membres de ce réseau afin de retrouver sa fille est un régal !
Côte casting on a le plaisir de retrouver l'immense Liam Neeson, dans le rôle de Bryan, et qui nous livre une interprétation froide et impeccable. À la fois méchant avec ses victimes et attendrissants avec sa fille, il va tout faire pour libérer sa fille du joug de ses ravisseurs malintentionnés. Dans le rôle de la fille nous avons le plaisir de voir Maggie Grace qui, bien que peu visible, s'en tire très bien dans son rôle.
La mise en scène est très bonne, mêlant à la fois rythme et cascades virevoltantes, le film offre des séquences prenantes et crédibles. Le tout est appuyé par des effets spéciaux léger mais efficace et une utilisation convenable des musiques. Le réalisateur arrive aussi à bien filmer les scènes de combat au corps à corps ainsi que les fusillades.
______________________________________________________________
Les + : l'histoire, Liam Neeson, la course-poursuite en voiture et les scènes d'actions
Les - : un peu court (1h25
La presse n'a, semble-t-il, pas compris les atouts indéniables de Taken. Offrant une histoire terrible sur les enlèvements et le proxénétisme, mais aussi sur la volonté d'un père de vouloir retrouver sa fille, on ce prend facilement au jeu. Le film accumule les bons points et apporte de nouvelles idées au genre du thriller-vengeance-action. Une perle rare ça c'est sûr !
Taken fait partie de ces rares films d'actions français comprenant des acteurs américains. Fait encore plus rare, le film fut descendu par la presse lors de la sortie, mais fut sauvé par les critiques élogieuses des spectateurs. Que vaut-il réellement ?
Scénario à la fois banal, une histoire d'enlèvement, qui est ne montre pas tout son visage et qui cache une bonne partie de ses atouts. Il est donc question d'un enlèvement vécu en direct au téléphone par le père de la victime. Manque de bol pour les ravisseurs car Bryan, le père en question, n'est autre qu'un ancien membre des services secrets américains habitué à gérer ce genre de situations. Et c'est là qu'est toute la subtilité du scénario, on ne s'attend vraiment pas a voir le père courir après sa fille. Déjà petit problème, elle est à Paris et il est à Los Angeles, mais rien ne résiste à un ancien membre des forces secrètes américaines. Le scénario soulève bien des questions délicates comme par exemple les enlèvements à l'étranger ou encore les réseaux de proxénétisme et de prostitution notamment dans les pays de l'Est. Le réalisateur Pierre Morel a réussi à mettre en avant les qualités scénaristiques de son film par le biais de scènes d'actions surprenantes et parfois bien sanglantes. Pas novatrice, ni même très recherchées, on nous sert des fusillades prenantes, des tortures invraisemblables ainsi que des courses poursuites endiablées dans le rues de Paris. Même si la surenchère est de mise, on ne peut que ce prendre au jeu et voir Bryan massacrer en toute beauté les membres de ce réseau afin de retrouver sa fille est un régal !
Côte casting on a le plaisir de retrouver l'immense Liam Neeson, dans le rôle de Bryan, et qui nous livre une interprétation froide et impeccable. À la fois méchant avec ses victimes et attendrissants avec sa fille, il va tout faire pour libérer sa fille du joug de ses ravisseurs malintentionnés. Dans le rôle de la fille nous avons le plaisir de voir Maggie Grace qui, bien que peu visible, s'en tire très bien dans son rôle.
La mise en scène est très bonne, mêlant à la fois rythme et cascades virevoltantes, le film offre des séquences prenantes et crédibles. Le tout est appuyé par des effets spéciaux léger mais efficace et une utilisation convenable des musiques. Le réalisateur arrive aussi à bien filmer les scènes de combat au corps à corps ainsi que les fusillades.
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Les + : l'histoire, Liam Neeson, la course-poursuite en voiture et les scènes d'actions
Les - : un peu court (1h25
La presse n'a, semble-t-il, pas compris les atouts indéniables de Taken. Offrant une histoire terrible sur les enlèvements et le proxénétisme, mais aussi sur la volonté d'un père de vouloir retrouver sa fille, on ce prend facilement au jeu. Le film accumule les bons points et apporte de nouvelles idées au genre du thriller-vengeance-action. Une perle rare ça c'est sûr !
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