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Un visiteur
0,5
Publiée le 8 octobre 2008
Si je puis me permettre, je ne suis pas du tout fan de W.Allen. Et en ce qui concerne son dernier long métrage, je l'ai vu à Cannes et s'est d'une nullité incroyable! Il nous a mis une bonne brochette d'acteurs sur un sujet sans intérêt, et nous a pondu un film populaire et avant tout commercial. Heureusement qu'il n'était pas en compétition j'aurai été très déçu de le voir remporter un quelconque prix... Mais il ne s'agit ici que de mon avis...
Woody Allen est incontestablement le meilleur pour filmer simplement les choses les plus profondes de la vie. Une oeuvre, plus profonde qu'il n'y parait, servie par un quatuor central d'acteurs sublimes, Javier Bardem très touchant, Penelope Cruz géniale, Scarlett Johansson et Rebecca Hall magnifiques. La photographie magnifie vraiment la réflexion philosophique des personnages. Terriblement charmeur. J'adore.
M. Woody Allen, je capitule, me rends, mets ma crosse en l'air. Je crois que jamais, je n'avais vu de telles platitudes ainsi compilées pour un film aussi long et dénué d'intérêt. Je ne vais pas m'éterniser dessus, mais Vicky Cristina Barcelona n'est qu'une succession de clichés et de l'exploration mélodramatique - a un tel point que ça en devient spécieux- des conceptions de l'amour diamétralement opposées, passionnant non ? M. Woody Allen, épargnez nous l'injure de votre incommensurable bêtise.
Woody Allen se prête au ménage à trois en réunissant Javier Bardem, Pénolpe Cruz et sa muse Scarlett Johansson !!! Avec la participation de Rebecca Hall de la mimi-série Parade's End avec Benedict Cummbertach "Sherlock" !!! Un chef d'oeuvre !!! Un bijou du cinéma américiain !!!
peut-être un des tout meilleur de Woody Allen. rafraîchissant, émerveillant, exaltant, bourré d'énergie, de spontanéité, de volupté. le film est juste. le réal' est formidable. le casting géniaux. tout les ingrédients pour que sa fonctionne!
J'ai été triste de ne pas aimer le film. Dés le début la voix off m'a déplu. Le reste du film est long et les histoires d'amour ne m'ont pas intéressées. Les personnages ne sont pas attachants. Dommage.
Je n'arrive pas à croire les critiques! Ce film est un navet! Ormis peneloppe et Johanson il n'y a rien, il ne se passe rien! Les scènes sont longues on sourit à peine! SVP n'allez pas le voir!!
Quelle merveilleuse sensation de liberté,que d'oser, laisser en plan Vicky Christina & Co & leurs problèmes d' intellos, empétrés dans leur libido de bourges névrosés, à la W.Allen of course !?,APRES UNE HEURE DE PROJECTION . Mettre un terme à l'ennui, s'autoriser le mépris vis à vis d'une critique dithyrambique de la presse ! SORTIR ! Retrouver dehors la température, merveilleusement douce, & la lumière radieuse de ce début d'automne. OUF! Grand Merci à Monsieur Woody Allen, son cinéma atteint désormais une telle insignifiance qu'il nous permet de retrouver le plaisir de nous surprendre à dire : "je m'en moque "; au prix d'une place de cinéma, certes, mais à chacun le sien. On l'apprécie d'autant , que ça n'arrive, que très rarement dans une vie de cinéphile. Heureusement !?
Troisième et dernière grande romance de 2008, «Vicky Cristina Barcelona» (Espagne/USA, 2008) de Woody Allen repose sur le même principe que «La frontière de l’aube» et «Two Lovers» : un homme est arraché entre une idylle conventionnelle et l’amour fou. Si la thématique devient mélodramatique chez Garrel et surtout Gray, elle est l’occasion chez Allen d’une fête des sentiments et des rages dignes de Lorca. Les nombreux fondus qui relient les champs contre champs permettent d’unir, dans un style poétique voire érotique, les visages et leurs désirs. L’union des deux êtres ne s’accomplit pas par le sexe mais par les syntagmes du cinéma. La petite lutte des intentions que se livrent les femmes pour l’amour du bel Antonio (Javier Bardem, masculin, viril et sensible) passent très peu par les dialogues. Pourtant fin dialoguiste, à en gorger ses films comme dans «Manhattan Murder Mystery», Woody Allen aspire à la sagesse et filme Barcelone comme la peinture de Goya, avec la même subtilité des traits et employant le même geste d’une fuite vers l’abstraction. Cette abstraction est conduite par, outre les fondus, des revirements continuels de situation. Entre Vicky, Cristina et Maria Elena, Antonio change d’amour et se déplace de femmes en femmes, non pas en les utilisant comme des corps jetables mais en distribuant ses sentiments dans une volonté de générosité. Chacune des trois femmes sont de même caractère, aimant tantôt Antonio, tantôt le méprisant, le haïssant indépendamment de ses sentiments à lui. Allen est, souvent à juste titre, loué pour la légèreté gracile de son cinéma. «Vicky Cristina Barcelona» atteint cette légèreté, aussi belle qu’une pointe d’Isadora Duncan. La limite à cette esthétique parnassienne est qu’elle situe Allen dans une tour d’ivoire qui l’aveugle des conditions bien prosaïques et miséreuses des hommes. Et s’il y a du Lorca chez Allen, ce n’est pas par la tragédie de son naturalisme mais plutôt par le drame des sentiments des personnages.
Certainement le meilleur Woody Allen depuis des années. Une suite de sketches réjouissants où Allen excelle dans la mise en scène, la direction et la façon de filmer des acteurs qui n'en finissent pas de crever l'écran. Voilà pour les points positifs, et c'est déjà beaucoup. Au rayon des regrets, je rangerai néanmoins le propos faiblard du film : le marivaudage d'une paire d'oisives pintades Américaines en villégiature dans une Catalogne de carte postale écrasée sous le poids des clichés, ça intéresse quelqu'un ?
Une vision aseptisée de l’Europe forme un écrin kitsch à une énième étude du sentiment amoureux par Woody Allen. Le pitch : mademoiselle-qui-va-se-marier-avec-le-type-bien-sous tout-rapport-succombe au peintre-charmeur-irrésistible-impétueux-et-beau-comme-un-astre comme y succombe plus tard sa copine ouverte-à-de-nouvelles-expériences-et-aventureuse. Relation qui se trouve pimentée par l’irruption de l’ex femme du Don Juan, Penelope Cruz, excellente dans son rôle de latin girl explosive dévorée par la passion (et particulièrement drôle). Le film ? Grosses ficelles, bla-bla éculé, portes ouvertes, lieux communs, clichés stocks comme : l’impossibilité du ménage à trois, le choix entre une vie rangée et la bohème, l’ennui de la bourgeoise vieillissante, le matérialisme américain face à l’authenticité européenne, etc… Des stéréotypes alignés comme les quilles du bowling ; pas complètement dénués de fondement comme tous les stéréotypes, mais des stéréotypes tout de même. Pas de strike, les boules dans la rigole ce soir. Une étoile pour Pénélope, deux éventuellement, on ne s'ennuie pas tout à fait.
je ne me suis jamais autant emmerdé devant un film, rien de drole, rien d'interessant, on s'emmerde, et la fin est pourri, un film a éviter. De Woody Allen, mieux vaut voir SCOOP ou MATCH POINT, car Vicky Cristina Barcelona est vraiment un navet.
Pour un public clairement féminin. Difficile de rentrer dans l'histoire de ces deux femmes tellement leur aventure est ennuyante. Seul Le personnage de Pénélope Cruz est intéressant.
"Vicky Christina Barcelona" est sans aucun doute le plus mauvais film de Woody Allen. Son film, à l'image de son peintre bohème espagnol joué avec flegme par Javier Bardem, est prétentieux jusqu'au ravissement. Le film est creux, et est rendu soporifique par des dialogues approximatifs malgré sa durée de 1h35. On se demande mème comment Woody Allen à pû saboter une telle histoire, lorsque l'on sait l'énorme potentiel que possédait cette relation quadrangulaire. (Cruz/Bardem/Johansonn/Hall) Oubliez totalement les dialogues souvent désopilants qui ont fait la "pate allenienne", puisque ce film lorgne vers des textes sans relief et sans verve, pour s'auto-enmurer dans une certaine médiocrité fortement revendiquée. Les échanges entre les protagonistes sont des plus ennuyeux, et Javier Bardem campe un peintre imbu de son sens créatif jusqu'à la parodie. Ce nombrilisme de l'artiste "bohème" auto-satisfait est visible lors de sa 1ère rencontre avec Scarlett Johansson et Rebecca Hall, où ce peintre prétentieux invite sans complexe, ces demoiselles à coucher avec lui, en ayant rien d'autre à offrir à ces dames que son auto-satisfaction et sa belle estime de lui-mème, ne parlant que de lui et de sa relation avec son ex-femme. Identiquement, Allen invite le spectateur à venir s'ennuyer devant son film en pensant que le seul label "film de Woody Allen", pourra donner de l'intérêt à un film très vide, "déco-toc" et se la jouant très mal "cinéma espagnol". Pour finir, la psychologie des personnages m'a fait beaucoup rire puisque le peintre/Bardem n'est autre qu'une sorte de représentation de Woody lui-mème, se permettant de nous parler de lui sans avoir l'air de le faire. Ce fait étant aggravé par l'un des thèmes du film très pompeux et souvent abordé en philo : l'art sert à "parler" de soi et est nourrit par un vécu tortueux. (voir la relation triangulaire Bardem/Johansson/Hall)