Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Chronic'art.com
par Cédric Walter
(...) Garrel filme de plus en plus juste. Il est aujourd'hui le seul réalisateur français à savoir capter l'écoulement du temps, à faire sienne et prisonnière l'agitation des heures.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Evénement
par François Jonquet
En plaçant son film très près de la mort, Philippe Garrel nous entraîne dans des abîmes aussi désespérés qu'éblouissants.
L'Express
par Gilles Médioni
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Point
par Michel Pascal
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
par Gérard Lefort
Le Vent de la nuit indique le retour d'une comète déjà ancienne qui n'a rien perdu de sa luminescence. Ce qui a changé, c'est le ciel qu'elle traverse, plus bas, plus sombre (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Œuvre à combustion lente mais à tombeau ouvert, Le Vent de la nuit exhale l'insoutenable mélancolie des adieux. Il donne envie de crier à Philippe Garrel qu'on l'aime, qu'on attend son prochain film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Philippe Azoury
Film suicidaire ou beau, film suicidaire mais beau (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Olivier de Bruyn
La grande beauté du Vent de la Nuit (...) réside précisément dans cette alchimie curieuse et obsédante qui entraîne le cinéaste à enregistrer des moments en creux, suspendus, au-delà des dialogues, des situations, du contexte...
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Klika
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Louis Guichard
Pour reprendre une formule de Montherlant, le nouveau film de Philippe Garrel brille du sombre attrait des causes perdues.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Depuis longtemps, Garrel creuse un cinéma d'ombres et de nuit, sans souci des bonnes manières. Ce film est le comble de cette antigrammaire qui lui est propre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Stéphanie Lamome
(...) de sous-entendus inaudibles en plans sibyllins, Garrel donne la désagréable impression de ne s'adresser qu'à lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
(...) Garrel filme de plus en plus juste. Il est aujourd'hui le seul réalisateur français à savoir capter l'écoulement du temps, à faire sienne et prisonnière l'agitation des heures.
L'Evénement
En plaçant son film très près de la mort, Philippe Garrel nous entraîne dans des abîmes aussi désespérés qu'éblouissants.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Le Vent de la nuit indique le retour d'une comète déjà ancienne qui n'a rien perdu de sa luminescence. Ce qui a changé, c'est le ciel qu'elle traverse, plus bas, plus sombre (...)
Le Monde
Œuvre à combustion lente mais à tombeau ouvert, Le Vent de la nuit exhale l'insoutenable mélancolie des adieux. Il donne envie de crier à Philippe Garrel qu'on l'aime, qu'on attend son prochain film.
Les Inrockuptibles
Film suicidaire ou beau, film suicidaire mais beau (...)
Positif
La grande beauté du Vent de la Nuit (...) réside précisément dans cette alchimie curieuse et obsédante qui entraîne le cinéaste à enregistrer des moments en creux, suspendus, au-delà des dialogues, des situations, du contexte...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Pour reprendre une formule de Montherlant, le nouveau film de Philippe Garrel brille du sombre attrait des causes perdues.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Parisien
Depuis longtemps, Garrel creuse un cinéma d'ombres et de nuit, sans souci des bonnes manières. Ce film est le comble de cette antigrammaire qui lui est propre.
Première
(...) de sous-entendus inaudibles en plans sibyllins, Garrel donne la désagréable impression de ne s'adresser qu'à lui-même.