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wesleybodin
1 110 abonnés
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2,5
Publiée le 5 décembre 2008
Un film qui arrive à se démarquer grâce à un sujet intéressant et à une fin quasi inattendue. N'étant pas fan de Clovis Cornillac qui a, selon moi, saboté le personnage d'Astérix, je m'abstiendrai de tout commentaire désagréable sur son interprétation qui est néanmoins assez juste dans l'ensemble il faut bien le reconnaître. De manière générale, on ne passe pas un si mauvais moment que sa en regardant le film qui arrive à attirer l'attention du spectateur en général. Le nouveau protocole est un film ni bon ni mauvais qui pourra plaire au plus laxiste d'entre nous.
Très bon thriller ou clovis cornnilac nous montre qu'il peut endosser tout les roles . Marie josée croze joue tres bien . Quelques moment durant le film ou on pige pas tout . La fin est vraiment toute simple , mais sinon le scenario est tres bien ficele
Le sujet traiter dans se film est sujet a polémique. Est-ce que les industriels de la santé nous rendent malades ou nous soignent. Les scénaristes non pas voulues tomber dans certain travers, donc on passe sont temps entre des vérités qui sont cassées dans la fouler. Donc, le film est très brouillé, sa part un peut n'importe ou. Heureusement que Clovis Cornillac et là, il sauve le film du naufrage.
Un bel effort du réalisateur pour faire de ce film un mélange de réflexion et d'action. Malheureusement l'équilibre entre les 2 n'y est pas et on tombe dans le "trop d'action". Du coup, on manque un peu d'explication et de profondeur. Il reste un film sympathique à regarder porté de bout en bout par un Clovis Cornillac toujours aussi bon (oui oui même en Asterix il était bon - c'était peut-être le seul d'ailleurs).
Dénonçant l'industrie pharmaceutique, ce thriller plutôt classique et bien mené se laisse regarder sans déplaisir. Clovis Cornillac et Marie-Josée Croze n'y sont pas pour rien.
Moyen. Je m’attendais à quelque chose de plus engagé… qui attaque à la fois complètement les groupes pharmaceutiques sans pour autant faire basculer dans la folie ou la paranoïa nos petits rebelles. D’autant plus que l’explication finale est à peine compréhensible tant elle est tirée par les cheveux (je précise que le titre du film est tiré de cette explication finale)… Le début est pas mal mais comme je viens de le dire, à la fin, çà pêche trop fort et trop brusquement pour que çà passe…
Un superbe film avec une histoire bien construite et une critique de la société de consommation pharmaceutique qui se développe à grand pas. On y retrouve un Cornillac toujours aussi bon acteur!
Ah que de chemin parcouru pour Clovis Cornillac depuis Brice de Nice, il semble devoir devenir le Depardieu de la prochaine décennie, tant au niveau du talent que de cette propension à accepter tous les rôles qu’on lui propose, quitte à friser le délit d’omniprésence. C’est souvent pour le meilleur, mais pas cette fois-ci. Son personnage de père révolté par la mort mystérieuse de son fils ne convainc pas, faute à des rictus continuels rendant le tout caricatural. Il n’est par ailleurs pas aidé par un scénario maladroit qui s’emmêle les pinceaux dans sa (louable) intention de départ qui était de dénoncer le business pharmaceutique. Le problème : la redondance du propos et une intrigue qui était déjà bouclée au bout d’une demi-heure pouvant se synthétiser en une formule : « On laisse mourir des gens pour faire plus de bénéfices ». À l’instar d’Une vérité qui dérange, et comme toujours dans ce cas-là, quand on traite un sujet à enjeu réel de manière lourde c’est l’effet inverse de celui recherché qui se produit : le désintérêt complet.
scènario pas toujours compréhensible, brouillon, embrouillé: on assiste à des scènes dont la logique ne saute pas aux yeux: Cornillac qui fonce avec son 4x4, fait des tonneaux là où son fils s'est tué en quittant la route: cela démontre quoi? placebo ou pas ? fils dépressif ou suicidaire? on se perd dans ce film qui reprend le thème déjà traité avec succès dans les films américains. on oubliera bien vite
Je suis parti pour voir ce film avec beaucoup d'enthousiasme et j'en ressort totalement dépité. J'ai vu partout Clovis Cornillac annoncéle retour du thriller politique avec des scènes d'actions superbes et au final rien ou presque. Tout ça n'a ni queue ni tête, on se demande qui est en tort, on ne croit plus en personne et l'action se résume à quelques poursuites. Je suis donc très déçu par ce film mais je mets une étoile pour quelques passages intéressants et surtout à la prestation encore une fois excellente de monsieur Clovis Cornillac.
Pour une fois qu’il y a un film ou j’apprécie Clovis Cornillac, j’en parle. Le film est haletant, avec un rythme soutenu et de bons acteurs. Je pense que l’histoire du film n’est pas loin de la réalité, voir en plein dedans. On se demande jusqu’à la fin si tout ceci est vrai, ou alors s’il se fait monter la tête par une journaliste. Bon film français.
La bande annonce me donner pas envie de le voir plus que ça. Finalement je penser savoir ce qui aller se passé et j'ai vraiment pas vu venir tout le long de film. l'histoire est bien c'est un bon film.
Scène d'ouverture et scène finale prennent en sandwich un mini thriller support de dénonciation. C'est sans doute là que la bât blesse: la petite histoire vosgienne est peu crédible, trop orientée et sa morale radicale très limite. Non on ne peut pas faire d'analogie entre Klaus Barbie et les directeurs de labo pharmaceutiques, si on le fait on s'égare et on dessert sa cause. Je mets de justesse la moyenne pour la qualité du jeu des acteurs et un rythme qui ne faiblit pas et qui est sans doute la vraie bonne surprise du film.
Le thème plutôt polémique en filigrane de l'intrigue apparaissait alléchant. Le film dénonce le peu de déontologie dont font preuve les grands laboratoires pharmaceutiques, qui porteraient plus d'intérêts à leur bénéfices qu'à soigner véritablement les populations malades mais souvent insolvables des pays du tiers monde. Ce thème récurrent de la toute puissance des multinationales prêtes à tout et sans scrupule vis-à-vis de la loi est ici une nouvelle fois proposé sous la forme d'un thriller ou l'on peut admirer un Clovis trés convainquant mener l'enquête sur la mort de son fils. Thomas Vincent aborde en plus de cela des sujets intéressants comme la théorie du complot, la paranoïa, et pour finir l'activisme. Beaucoup de choses à traiter donc, bien qu'au final, thriller oblige, les scènes de cavale et de poursuite prennent pas mal de temps sur toute la durée du film. Si on s'arrête aux détails de l'action pure et dure, l'oeuvre est pour moi inégale, voir maladroite par moment avec des scènes quelques fois tirées par les cheveux ou des sempiternelles facilités du scénario gâchant le plaisir. Non le point réussi du film n'est pas à chercher ici mais dans son dénouement final qui, sans rien dévoiler, démontre une originalité que les deux premiers tiers du film ne laissaient pas présager. Ainsi beaucoup plus intelligent qu'il n'y parait, les auteurs évitent le piège du manichéisme à l'hollywoodienne en nuançant de façon salvatrice leurs personnages. La fin peu cependant paraitre un peu confuse si on n'est pas 100% attentif. On peut d'ailleurs soit rien comprendre, soit en déduire plusieurs interprétations possible. L'ensemble est quand même souvent agréable et l'interprétation des 2 personnages principaux est particulièrement réussie. Reste que la sauce ne prend pas vraiment car on reste bloqué sur les scènes d'actions et l'incompréhension du père. Le sujet est moyennement bien traité. La chute finale étant ambigüe, celle-ci est mal amenée je trouve.