Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
5,0
Publiée le 17 octobre 2007
Si vous pensez, comme moi, que Tokyo Drift est une grosse daube et que de toute façon les films de bagnole en général sont pouraves, et bien regardez celui là parce qu’il en vaut vraiment la peine, ici pas de caisses qui ressemblent à des sapins de Noël avec des néons partout, pas de meufs tout droit sorties de clip de 50 cent, pas d’américains….ouf…juste des ados japonais qui vivent leur passion. Ce film est étonnant de simplicité et d’efficacité le tout accompagné d’une musique excellente qui colle parfaitement à l’ambiance des courses qui sont superbement réalisées.
Ce long-métrage de Wai Keung Lau et Alan Mak - réalisateurs de Infernal Affairs -, emmené par la star chinoise Jay Chou, est une adaptation live d'une série d'animation japonaise connue pour l'originalité de ses courses automobiles. Si les connaisseurs pourront déplorer un certain manque de fidélité quant au matériau originel, tous les amateurs de drift apprécieront assurément l'excellente qualité des scènes de course qui fort heureusement retranscrivent parfaitement la folie de l'anime. Un divertissement nettement supérieur à un Fast & Furious.
Initial D va à contre-courant des habituels films de bagnole. Ce qui était déjà le cas d'un autre film de caisses asiatique, Motorway. Il n'y a qu'un seul et unique circuit, la descente du mont Akina, et c'est un peu regrettable. J'aurais bien aimé avoir différents terrains. Initial D se concentre sur Takumi. Un pilote surdoué qui va devoir se confronter à des chauffeurs de plus en plus expérimentés. Jusqu'à même affronter de vrais coureurs professionnels. Hélas pour lui, il va composer avec un entourage toxique. Son père, notamment, défoncé du matin au soir. Son meilleur pote, un abruti notoire, est misogyne, sexiste, tout ce qu'on veut. Et pourtant, il plaît. Non, il ne doit compter que sur lui-même contrairement à l'esprit de la Famille que convoque régulièrement Toretto dans les Fast and Furious. Même la romance, passage obligé quand on est jeune, beau, qu'on a du talent et qu'on est dans un film de voitures, est complexe et laisse un goût amer dans la bouche. Ce n'est pas la beauté des voitures qui prime ou toutes les modifications qui leur sont apportées mais bien le talent pur des pilotes pour bien négocier les virages. Donc, là encore, pour ceux cherchant une alternative à ce qu'on voit d'habitude, moins beauf, moins spectaculaire, il y a Initial D.
Initial D and love. Ce manga a été adapté en dessin animé, jeu vidéo et film live. Andrew Lau à qui on lui doit trilogie culte Infernal Affairs, s'attaque à l'adaptation, et que il se trouve que le résultat est surprenant de fraîcheur, il fallait s'attendre à revoir une partie du casting retravailler avec ce réalisateur, comme Anthony Wong Chau-Sang tout simplement excellent et hilarant en père vendeur de tofu, puis Edison Chen qui depuis 2008 je le rappelle est au cœur d'un scandale, de quelques centaines de photos compromettantes de l'acteur, des photos publié sur le net, prises dans l'intimité avec sept actrices et chanteuses de Hong Kong, bref passons. J'en reviens au film, et c'est l'occasion aussi de redécouvrir la craquante Anna Suzuki (The Returner), ce qui est surprenant dans Initial D, c'est un Fast and Furious sans le bourrin, le récit est bien mieux, c'est beaucoup plus léger, l'histoire est fluide, une bande-son agréablement entrainante, une réalisation sobre et tantôt clipesque, les personnages attachant et au point même que parfois on oublie d'être devant un film de bagnole, dû à la romance qui se profil dans le film. Par contre je m'attendais pas à une fin un peu ambigu, je sais pas comment cela se termine précisément, m'enfin cela est stimulant. A voir pour passer un sacré moment de détente.
Tiré d'un célèbre manga, ce film regroupe tous les éléments d'un film classique (méchants, bon, élu, amour, déception et grosses voitures!). Se destinant plutôt à un public ado, il se laisse néanmoins agréablement regarder. C'est au final une belle réussite où le plaisir de voir des voitures en plein drift est jouissif. A noter que le cadrage est excellent et le montage ne se laisse pas embobiner dans les travers actuels du : trop de mouvements, trop de gros plans, trop de rapidité dans le travelling. On a bien le temps de tout voir et ça fait très très plaisir.
Pourtant pas très friand du genre manga-tuning je dois avouer que Initial D reste fidèle à l'esprit de l'anime et se paie le luxe d'une bande-son aux petits oignons ! Avis aux nostalgiques des 90's, on navigue entre les soucis amoureux et mécanique d'un ado qui se prend de passion pour l'AE86 de son père, ancien pilote. De nombreuses incohérences... C'est le prix pour conserver une part de "manga" dans un scénario convenu mais distrayant.
Une adaptation d'un manga culte qui aurait pu briller mais qui, à cause d'une mise en scène très limitée et des brisures de rythme pénible à la longue, ne fera pas date dans l'esprit de spectateurs. Restera quelques belles séquences mécaniques pour ne pas totalement nous plonger dans un sommeil aussi profond que salvateur.
On est ba sur du Fast and Furious, Initial D est une honnête série B, malgré son faible budget le réal a pris du plaisir a le réaliser et ca se voit, c'est fun et intimiste loin des grosses productions.
Bon au delà de ca on est pas non plus sur un grand film, les scènes de dialogues avec Natsuki devaient terroriser le réal car il les esquive au maximum quitte a faire un fade en pleine entrée de dialogue. Gros point noir sur la VF et surtout cette fin qui n'en n'est clairement pas une, le film ne se penche que sur une partie des mangas, et s’arrête en plein milieu d'un arc narratif. 3/5
Une excellente surprise, un bon film bien réalisé avec une petite touche de comique et des acteurs excellents. Les courses ont un bon rendu et les effets sont vraiment pas mal. Le scénario au top est fidèle au manga, un très bon film ! 4/5.
Excellente adaptation du manga. L'esprit a été parfaitement respecté. C'est beau à voir, les détails techniques sont toujours aussi croustillants, les ralentis et arrêts sur image donnent du dynamisme au film, la musique techno n'est pas trop soulante. Mais le côté fleur bleue est exaspérant, le numéro clownesque du meilleur ami du héros devient vite agaçant, et pour finir l'invincibilité du héros enlève du crédit au film. A recommander aux fans de la série et aux adolescents.
Encore un manga adapté en film ! Pourquoi s'en plaindrait-on du moment que le résultat est plaisant ? Ici, on se rapproche d'un "Fast and Furious", la frime en moins... Tout ceci est très divertissant et franchement bien filmé, malgré quelques effets de style "pour faire manga" pas franchement utiles et susceptibles d'ennuyer certains spectateurs. On retiendra surtout les scènes de drift nocturne; il faut dire qu'un parcours le long d'un volcan, ça change des courses sur le périphérique ou en pleine ville.
Un film pas mal fichu qui respecte bien le manga du même nom. On a grand plaisir à y retrouver la fameuse 86 et les courses en drift sont prenantes. Les fans ne seront pas déçus!