Initial D and love. Ce manga a été adapté en dessin animé, jeu vidéo et film live. Andrew Lau à qui on lui doit trilogie culte Infernal Affairs, s'attaque à l'adaptation, et que il se trouve que le résultat est surprenant de fraîcheur, il fallait s'attendre à revoir une partie du casting retravailler avec ce réalisateur, comme Anthony Wong Chau-Sang tout simplement excellent et hilarant en père vendeur de tofu, puis Edison Chen qui depuis 2008 je le rappelle est au cœur d'un scandale, de quelques centaines de photos compromettantes de l'acteur, des photos publié sur le net, prises dans l'intimité avec sept actrices et chanteuses de Hong Kong, bref passons. J'en reviens au film, et c'est l'occasion aussi de redécouvrir la craquante Anna Suzuki (The Returner), ce qui est surprenant dans Initial D, c'est un Fast and Furious sans le bourrin, le récit est bien mieux, c'est beaucoup plus léger, l'histoire est fluide, une bande-son agréablement entrainante, une réalisation sobre et tantôt clipesque, les personnages attachant et au point même que parfois on oublie d'être devant un film de bagnole, dû à la romance qui se profil dans le film. Par contre je m'attendais pas à une fin un peu ambigu, je sais pas comment cela se termine précisément, m'enfin cela est stimulant. A voir pour passer un sacré moment de détente.