Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
A travers ce labyrinthe de verre, To fait évoluer ses caméras avec une précision et une fluidité magistrales, une grâce et une élégance de chaque instant. Ici, pas un plan n’est anodin, encore moins laid.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
À l’heure où beaucoup de films sont plombés par leur esprit de sérieux, il est assez réjouissant de découvrir la légèreté du dernier film de Johnnie To.
L'Express
par Christophe Carrière
Passé vingt minutes, l'intrigue s'affine et donne lieu à un long métrage fascinant par sa singularité et sa maîtrise technique. En un mot : épatant.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Passant du polar à la comédie musicale, Johnny To y déploie la même virtuosité formelle et fait valser les dérives du capitalisme dans une farandole aussi farfelue qu’iconoclaste.
Ouest France
par Pierre Lunn
Le cinéaste critique le capitalisme outrancier dans un show ironique diablement réjouissant.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Par sa mise en scène inventive, aussi ludique et maîtrisée, Johnnie To transcende le genre du soap.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Voici
par Jérôme Saunier
Une comédie musicale kitsch en 3D, sur les ravages du capitalisme, par Johnnie To.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si les personnages et enjeux dramatiques sont un rien archétypaux, le film puise sa force dans sa beauté d'exécution.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
On aurait aimé que l’interprétation et la musique soient à la hauteur de ces idées prodigieuses. Ce n’est pas tout à fait le cas, et il arrive que – malgré l’élégance irréfutable de la mise en scène – "Office" soit pris d’une certaine raideur, qui empêche l’accomplissement du chef-d’oeuvre qu’annonçaient les premières séquences.
Paris Match
par Yannick Vely
Maître du polar hong-kongais, Johnnie To s'essaie à la comédie musicale pour un résultat inégal mais charmant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Benjamin Rozovas
À l’image, Johnnie To met le paquet. Il ne lésine pas sur les mouvements de caméra, filme ses grandes parades à la grue, en 3D, et sur d’immenses plateaux en verre escamotables. La richesse obscène de la production valant probablement comme ultime pied de nez aux autorités chinoises.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Les chansons elles-mêmes ne sont certainement pas mémorables, mais l’agréable façon avec laquelle elles sont mises en images fait des morceaux des véritables moments de respiration dans un scénario qui s’essouffle vite ; elles sauvent donc le film du statut de pensum verbeux et frileux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Benoît Smith
Le détachement professionnel bien connu de Johnnie To, tandis qu'il exécute son petit artisanat bien huilé et sans conséquence, se mue ici en désinvolture regrettable.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
L’action, tirée d’une pièce de théâtre, se passe dans une firme de cosmétiques, où viennent d’être engagés deux jeunes gens ambitieux. Mais si cette vue en coupe stylisée des amours et des magouilles dans ce monde impitoyable est exacerbée par la crise financière de 2008, elle reste froide et désincarnée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Malgré une prise de risque louable et une mise en scène notable, le nouveau Johnnie To s’enlise dans la romance et ennuie.
Libération
par Guillaume Tion
Autour du krach boursier de 2008, Johnnie To brode une fade comédie musicale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Hubert Niogret
Le décor de William Chang est superbe, mais froid et parfois trop stylisé pour faciliter la lecture de l'intrigue. Il aurait peut être fallu voir le film dans sa version 3D, dont tout le monde dit le plus grand bien, mais la presse parisienne ne l'a vu qu'en 2D.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Les tableaux chantés et dansés, vraiment naïfs, ne fonctionnent pas ; l’intrigue, qui manque de consistance, n’évolue pas. Sans parler de la 3D qui ne sert à rien.
Les Inrockuptibles
A travers ce labyrinthe de verre, To fait évoluer ses caméras avec une précision et une fluidité magistrales, une grâce et une élégance de chaque instant. Ici, pas un plan n’est anodin, encore moins laid.
Cahiers du Cinéma
À l’heure où beaucoup de films sont plombés par leur esprit de sérieux, il est assez réjouissant de découvrir la légèreté du dernier film de Johnnie To.
L'Express
Passé vingt minutes, l'intrigue s'affine et donne lieu à un long métrage fascinant par sa singularité et sa maîtrise technique. En un mot : épatant.
Le Dauphiné Libéré
Passant du polar à la comédie musicale, Johnny To y déploie la même virtuosité formelle et fait valser les dérives du capitalisme dans une farandole aussi farfelue qu’iconoclaste.
Ouest France
Le cinéaste critique le capitalisme outrancier dans un show ironique diablement réjouissant.
Studio Ciné Live
Par sa mise en scène inventive, aussi ludique et maîtrisée, Johnnie To transcende le genre du soap.
Voici
Une comédie musicale kitsch en 3D, sur les ravages du capitalisme, par Johnnie To.
L'Obs
Si les personnages et enjeux dramatiques sont un rien archétypaux, le film puise sa force dans sa beauté d'exécution.
Le Monde
On aurait aimé que l’interprétation et la musique soient à la hauteur de ces idées prodigieuses. Ce n’est pas tout à fait le cas, et il arrive que – malgré l’élégance irréfutable de la mise en scène – "Office" soit pris d’une certaine raideur, qui empêche l’accomplissement du chef-d’oeuvre qu’annonçaient les premières séquences.
Paris Match
Maître du polar hong-kongais, Johnnie To s'essaie à la comédie musicale pour un résultat inégal mais charmant.
Première
À l’image, Johnnie To met le paquet. Il ne lésine pas sur les mouvements de caméra, filme ses grandes parades à la grue, en 3D, et sur d’immenses plateaux en verre escamotables. La richesse obscène de la production valant probablement comme ultime pied de nez aux autorités chinoises.
aVoir-aLire.com
Les chansons elles-mêmes ne sont certainement pas mémorables, mais l’agréable façon avec laquelle elles sont mises en images fait des morceaux des véritables moments de respiration dans un scénario qui s’essouffle vite ; elles sauvent donc le film du statut de pensum verbeux et frileux.
Critikat.com
Le détachement professionnel bien connu de Johnnie To, tandis qu'il exécute son petit artisanat bien huilé et sans conséquence, se mue ici en désinvolture regrettable.
L'Humanité
L’action, tirée d’une pièce de théâtre, se passe dans une firme de cosmétiques, où viennent d’être engagés deux jeunes gens ambitieux. Mais si cette vue en coupe stylisée des amours et des magouilles dans ce monde impitoyable est exacerbée par la crise financière de 2008, elle reste froide et désincarnée.
Les Fiches du Cinéma
Malgré une prise de risque louable et une mise en scène notable, le nouveau Johnnie To s’enlise dans la romance et ennuie.
Libération
Autour du krach boursier de 2008, Johnnie To brode une fade comédie musicale.
Positif
Le décor de William Chang est superbe, mais froid et parfois trop stylisé pour faciliter la lecture de l'intrigue. Il aurait peut être fallu voir le film dans sa version 3D, dont tout le monde dit le plus grand bien, mais la presse parisienne ne l'a vu qu'en 2D.
Le Journal du Dimanche
Les tableaux chantés et dansés, vraiment naïfs, ne fonctionnent pas ; l’intrigue, qui manque de consistance, n’évolue pas. Sans parler de la 3D qui ne sert à rien.