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Fabios Om
52 abonnés
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3,5
Publiée le 17 août 2021
Un drame plutôt bien écrit intéressant , qui nous montre l'envers du décors des danseuses de balais ainsi que leur obsession qui peuvent être pousser a l'extrême jusqu a la folie parfois pour leur rôle ou leur spectacle de danse , leur entourage , et les pression des chorégraphe metteur en scène. Une Natalie portman convaincante dans ses rôle qui li va a la perfection , Mila Kunis et Vincent Cassel au top dans les rôles qui leur sont attribués. Trop de scène de danse parfois fait que le film ce perd en route a quelque reprise . Des scène sulfureuse et sexy même dans ce film , une histoire d'amour. Le film montre également les relation entre danseuse et leur guerre entre elle pour un rôle même si c'est pas assez mis en avant part moment . résumé : Nina est une très belle danseuse de ballet qui rêve d'obtenir le rôle de « reine des cygnes » dans le célèbre ballet Le Lac des cygnes de Piotr Ilitch Tchaïkovski. Thomas Leroy, le maître de ballet, choisit pour sa nouvelle mise en scène de ne choisir qu'une seule danseuse pour interpréter les deux rôles principaux : Odette, le cygne blanc, et sa jumelle Odile, le cygne noir. Thomas sait Nina parfaite pour danser le cygne blanc (la princesse Odette), mais doute de sa capacité à interpréter également son double maléfique car il pense Nina trop fragile pour danser le cygne noir (la sorcière Odile). Après avoir résisté aux avances de Thomas, Nina obtient le rôle de « reine des cygnes », au détriment de Veronica (Ksenia Solo), initialement choisie.
Black Swan suit la vie d'une file qui devient folle pour son rôle de la Reine des Cygnes, Natalie Portman est juste exceptionelle, son jeux d'acting et les musiques juste parfaites nous mettent dans le stress constant. La musique de Piotr Ilitch Tchaïkovski est une des plus belles chansons du monde c'est donc très très plaisant à écouter, un Thriller angoissant extrémement bien construit, un chef d'oeuvre
J'ai préservé un souvenir relativement marquant pour ce film, sans me souvenir réellement pourquoi. Dix ans après sa sortie, une mise à jour s'imposait. En faite, quand on a la caméra comme meilleur allier dans un film, forcément çà laisse une trace à part dans notre esprit. Personnage central du film, c'est elle qui donne les uppercuts, et qui nous révèle au grand jour cette dualité entre cygne noir et cygne blanc. Sous couvert d'une interprétation magistrale de Natalie Portman, elle (toujours la caméra) la suit, placée sur l'épaule du technicien, pour ressentir la cadence effrénée de ses pas, et de son obsession pour la perfection. Et parce que la danse se conjugue aisément avec la grâce sur grand écran, l'œuvre de Tchaïkovski se voit sublimée par cette version contemporaine et viscérale. Splendide. *TOP 10 FILM 2011*
Black Swan adopte en projet esthétique le parcours de métamorphose que suit Nina Sayers et compose une forme constamment à l’unisson de sa schizophrénie naissante. La façon qu’a Darren Aronofosky de croiser une approche quasi documentaire lorsqu’il s’agit des premières sélections, de l’introduction dans le milieu de la danse, et une tonalité fantastique qui contamine le premier jusqu’à prendre le pas sur lui, tel le cygne noir qui ne peut voir le jour et déployer ses ailes qu’en sacrifiant son double positif, change le film en un objet curieux et instable, baroque mais d’un baroque contemporain, à l’image de la relecture qu’offre le metteur en scène Thomas Leroy à l’œuvre de Tchaïkovski. Le cinéaste conçoit un mystère qu’il diffuse grâce à une atmosphère anxiogène, traduction à l’écran de la rivalité entre les danseuses et de la pression individuelle de chacune d’elles, adoptant par ailleurs une structure similaire au conte, notamment en ce qui concerne la marâtre possessive qui projette sur son enfant ses rêves et ses frustrations. Black Swan retranscrit à merveille la douleur physique et mentale d’une jeune ingénue condamnée à se dévoyer si elle souhaite incarner les deux cygnes à la fois ; la caméra d’Aronofosky multiplie les petits sévices inconfortables, de la peau arrachée du doigt à l’ongle qui se brise et blesse aussitôt le pied de la danseuse. C’est dire qu’il articule deux dimensions : une dimension métaphysique et symbolique, une dimension physique, à laquelle se raccorde Nina comme humaine et mortelle, contre laquelle elle doit lutter si elle veut atteindre « la perfection », maître mot qu’elle murmure avant de disparaître. Portée par la partition éblouissante de Clint Mansell, qui se livre à une réécriture du ballet de Tchaïkovski, Black Swan est une réussite pleine et entière, un pas de deux entre le bien et le mal, l’innocence et la corruption, qui se saisit de la danse comme d’un accélérateur de particules pour une artiste qui se donne corps et âme.
Black Swan, réalisé par Darren Aronofsky est un bijou de mise en scène et de jeu d'acteur. Le film va nous plonger dans l'univers du ballet, et donc, va aussi nous montrer les envers du décors de ce domaine. Natalie Portman est éblouissante dans ce rôle, elle incarne avec perfection son rôle de personnage torturé (oscar mérité de loin). Le casting secondaire ( Mina Kunis, Vincent Cassel,Barbara Hersey et Wynonna Ryder) est également très bon. Il va être intéressant (et assez effrayant) de voir le personnage principal sombré dans dans folie, le trouble de l'identité, la paranoïa et la schizophrénie, et tout ça, dans le but d'obtenir la perfection. Désir de perfection qui sera sublimé dans la grandiose scène finale qui est sûrement l'une des meilleures que j'ai jamais vu. De nombreuses scènes sont assez dérangeantes mais elles accentuent cette transformation. On peut faire le parallèle entre entre le conte du cygne noir et la réalité, notamment dans la rivalité avec sa remplaçante. Cette rivalité est aussi intéressante dans le sens où les deux, sont très opposées et que Lily va symboliser de nombreuses choses que Nina n'a pas et n'est pas. La mise en scène est somptueuse, usant de nombreux jeux d'ombres et de lumières de même que les musiques qui sont également magistrales et accompagnent le film merveilleusement. Un excellent film !
Remake de Showgirls en version ballet. Aronofsky use et abuse des gros plans sur le beau visage de lolita de Natalie Portman. Qui elle même abuse de son jeu de sourcils effarouché. Belle performance d'actrice néanmoins mais il est difficile de rentrer dans cette histoire de névrose conduisant à l'automutilation.
un film aussi bien noté, je m'attendait a quelque chose d'irréprochable sauf qu'en fait loin de là. ont suit une ballerine qui dance pendant la moitié du film, c'est super long c'est pas vraiment intéressant, puis rencontre une fille qui est (je crois j'en suis même pas sure) une vampiresse puis est attaqué par un vampire a la toute fin, ça dance encore et encore et voilà fin. grosse déception au vu de la note.
Film entre fantastique et étude psychologique avec une excellente Natalie Portman (qui est doublée pour toutes les scènes de danse).Vincent Cassel est un chorégraphe manipulateur.Il y a le thème du double.Influencé par Répulsion de Polanski et les Chaussons rouges de Michaël Powell.La manipulation maternelle est aussi abordée.Un monde de la danse classique cruel.Une dose de suggestion de lesbianisme.
Incroyable ! Au début on a peur pour l'héroïne, peur qu'elle se blesse, peur qu'elle n'y arrive pas. Puis, on est transporté dans le ballet fou du scénario, tout comme le prof le dit: "on se détend" et on se laisse aller sans crainte dans l'aventure. Plus l'atmosphère devient sombre et lourde et plus on s'abandonne en faisant confiance à la suite des évènements. Le réalisateur nous emporte et on lui fait confiance. Sublime !!!
Film magnifique longtemps j'ai hésité a le regarder mais j'ai vite vue que c'était un grand film des le debut, incroyable, original Natalie portman encore une foie une actrice qui montre tout sont talent exeptionel et notamment dans ce film ou elle joue très très bien et je parle même pas du charme et de la beauté de cette femme Excellent film dans mon top 20 !
Entre rivalité, jalousie, paranoïa et persécution, Black Swan raconte l'histoire de Nina, ballerine dans la troupe du New York City Ballet. Le personnage est interprété brillamment par la talentueuse Natalie Portman. Poétique et artistique !
très bon film, les acteurs jouent très bien, le parallèle entre le ballet du lac des cygnes et la psychologie du personnage principale est très bien amené avec une petite touche d'horreur. Nous ne mettons malheureusement pas 5 étoiles car nous avons trouvé qu'il y avais trop scène "chaude" qui n'apportait pour la plupart rien au film et pas mal d’éléments un peu trop prévisible. Soso et lilise
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1,5
Publiée le 7 avril 2021
Bien sûr Natalie Portman a le mérite d'avoir perdu cinq kilos et d'avoir appris quelques pas de danse mais son jeu d'actrice était plat. Pendant la majeure partie du film elle a joué Nina comme une femme naïve et frustrée ce que le rôle exigeait. Mais où était l'agressivité rédemptrice de Black Swan. Cela aurait été un défi pour l'action mais elle a été réduite à quelques scènes à la fin. Il n'y a pas plus de sophistication dans ce film . Ce n'est pas parce que Nina se fait pousser des ailes sur scène et que ses yeux deviennent rouges que cela en fait un chef-d'œuvre d'art et d'essai. Et la scène lesbienne fatiguée est si gratuite et franchement offensante. Oui un autre prédateur gay qui essaie d'emmener la bonne fille hétéro du côté obscur. Je crois que cette histoire aurait pu être racontée magnifiquement et tout n'est pas mauvais. La musique était bonne et certaines scènes de danse étaient crédibles. J'ai aussi aimé le travail de la caméra. Mais d'une manière ou d'une autre blâmons le scénariste et le réalisateur car tout se transforme en un cliché ennuyeux. Une mère rancunière qui pousse sa fille au bord du gouffre, une scène de sexe lesbien, le triangle amoureux avec un homme plus âgé. Plus personne ne peut raconter une histoire originale et c'est ennuyeux...
Ennuyeux, débile et prétentieux. A éviter. Ou alors faut considérer que de la daube puisse aussi faire partie de l'art, comme c'est souvent le cas à notre époque dans les milieux petits bourgeois, où on encense n'importe quoi. Le succès de ce film sur la danse, avec des images aberrantes (comme Vincent Cassel en tutu!), me parait digne des pires monstruosités de l'art contemporain.