Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Ciné Live
par Arnold
Voir le site cinelive.com
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) errance identitaire décrite avec humour, avec surtout un sens de l'ellipse et du contrepied dramatique qui atteste qu'Ariel Rotter est un cinéaste à surveiller de près.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) C'est l'excellent Julio Chavez qui confère à son personnage sa dimension terrienne, son poids existentiel, sa beauté intérieure (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Bruno Icher
El Otro est un délicat et émouvant exercice intime...
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Jean-Loup Bourget
(..) le film et son personnage sont aussi taciturnes qu'attentifs (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
La Croix
par Sophie Conrard
(...) ce film argentin évoque avec beaucoup de justesse ce désir de déposer les armes, cette peur de vivre qui peut s'emparer de chacun.
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Une expérience de pure attention à l'autre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Ouest France
par La Rédaction
Signée Ariel Rotter, un cinéaste argentin, une dérangeante réflexion sur le rapport à soi-même et aux autres.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir le site http://www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Artisan patient du décadrage, inventif à l'occasion (...) Ariel Rotter remplit sans bavure le contrat minimaliste. Pourtant (...) le gonflement d'une perturbation psychique en mystère existentiel laisse perplexe.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Humanité
par Vincent Ostria
On ne parvient pas réellement à s'attacher à cette aventure aléatoire, faute de la comprendre, ni à ses personnages inconsistants.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
EL OTRO est une expérience cinématographique à part entière (...) mais trop austère formellement.
TéléCinéObs
par Bernard Achour
(...) la neutralité complaisante (du film) fait obstacle à toute implication émotionnelle.
Télérama
par La rédaction
Hélas, la grâce mélancolique du début s'éclipse vite au profit d'une vertigineuse vacuité narrative.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
Voir le site cinelive.com
L'Obs
(...) errance identitaire décrite avec humour, avec surtout un sens de l'ellipse et du contrepied dramatique qui atteste qu'Ariel Rotter est un cinéaste à surveiller de près.
Le Monde
(...) C'est l'excellent Julio Chavez qui confère à son personnage sa dimension terrienne, son poids existentiel, sa beauté intérieure (...)
Libération
El Otro est un délicat et émouvant exercice intime...
Positif
(..) le film et son personnage sont aussi taciturnes qu'attentifs (...)
La Croix
(...) ce film argentin évoque avec beaucoup de justesse ce désir de déposer les armes, cette peur de vivre qui peut s'emparer de chacun.
Le Figaroscope
Une expérience de pure attention à l'autre.
Ouest France
Signée Ariel Rotter, un cinéaste argentin, une dérangeante réflexion sur le rapport à soi-même et aux autres.
Studio Magazine
Voir le site http://www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
Artisan patient du décadrage, inventif à l'occasion (...) Ariel Rotter remplit sans bavure le contrat minimaliste. Pourtant (...) le gonflement d'une perturbation psychique en mystère existentiel laisse perplexe.
L'Humanité
On ne parvient pas réellement à s'attacher à cette aventure aléatoire, faute de la comprendre, ni à ses personnages inconsistants.
MCinéma.com
EL OTRO est une expérience cinématographique à part entière (...) mais trop austère formellement.
TéléCinéObs
(...) la neutralité complaisante (du film) fait obstacle à toute implication émotionnelle.
Télérama
Hélas, la grâce mélancolique du début s'éclipse vite au profit d'une vertigineuse vacuité narrative.