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13 m² souffre comme beaucoup de films français contemporains d'un scénario faible et de répliques médiocres car pour être réussi le film doit se concentrer sur les 13 m² du titre. Alors que nos trois héros prenant tous les risques mangent du fast-food sous le nez de la police. Ce qui aurait pu être un huis-clos intéressant devient la énième histoire d'un braquage une bonne chose et qu'ils ne montrent pas l'attaque. Le jeune voyou n'est pas à féliciter quand on sait que l'un des agents de sécurité n'est autre que le frère de sa copine. Bérénice Bejo est strictement décorative et Thierry Lhermitte est gâché dans un rôle inexistant pour lui...
Barthélémy Grossman : un nom à retenir, celui d'un jeune cinéaste français de 23 ans faisant ses premiers pas en tant que metteur en scène de long-métrage à travers "13 m2", injustement distribué en quantité limitée. Le genre n'est pas nouveau, le sujet séduisant ou comment tourner un huis-clos à partir d'un traditionnel film de braquage. Le trio est constitué de jeunes assoifés par l'argent, basculant du côté de la violence dans l'optique d'une vie meilleure, ce qui donne des personnages percutants et naturels possédant un indéniable charisme. Ce qui marque avant tout dans cette oeuvre dynamique, c'est son excellente mise en scène, très inventive dans l'optique de palier les manques de moyens, jouant avec les attentes du spectateur, esthétisant parfois de façon très marquée certaines séquences mais effaçant à l'inverse d'autres à priori capitales pour l'intrigue (le braquage autour duquel tout tourne). Elle retransmet très bien toute la tension générée par la situation, renferme vraiment des protagonistes pris au piège, incapables de faire face à la réalité, se retrouvant devant leurs consciences sans parvenir forcément à surmonter les épreuves qu'ils endurent. Les références sont présentes, si bien qu'elles contribuent à une épreuve clichés-contre clichés, à savoir marquer un style personnel sans pour autant déroger aux règles. A ce petit jeu, Grossman manifeste une certaine insolence presque provocatrice devenant parfois sa faiblesse (il lui arrive de se renfermer dans quelques clichés). Le film a du punch, ne manque pas de caractère ni de rythme : très bien mené, il captive avec une aisance surprenante sans jamais lâcher sa cible. Grossman est un ambitieux, à la fois réalisateur, producteur, scénariste et interprète principal, il change de casquette avec plus ou moins de brio. Si le rôle de directeur lui va comme un gant et traduit un avenir prometteur, la bêtise de ses dialogues à tendance à laisser sceptique. A suivre.
Un bon polar sur des voyous de banlieue. Un braquage, une banlieue, des bandits de bons ingrédients pour un scénario un peu juste parfois. Mais la tansion vécue par ces malfaisants est captivante. La prise de conscience finale est d'un bon présage
Un polar sous forme de huit-clos banlieusard intéressant dans sa manière de percevoir les actions mais inégal en termes de réalisation.
Concernant d'un premier long-métrage, on peut dire que le pari est plutôt réussit et laisse présager un bel avenir à ce jeune acteur/réalisateur : Barthélémy Grossmann.
Concernant d'un premier long-métrage, on peut dire que le pari est plutôt réussit et laisse présager un bel avenir à ce jeune acteur/réalisateur : Barthélémy Grossmann.
A l'exception de quelques effets de styles inutiles et d'une fin hésitante et maladroite,le premier long de Barthélémy Grossmann est une belle surprise.Un bon film de genre,intelligent et prenant de A à Z.Grâce à des acteurs crédibles et des dialogues à la fois drôles et savoureux (passé l'insupportable temps d'adaptation au verlan de sa reum' chelou grave),son film tient entièrement la route.Bien construit,bien rythmé et joliment filmé,Grossmann fabrique,avec un budget dérisoire,un métrage véridique et réaliste,qui joue la carte de l'intimisme quand d'autres aurient préféré le sensationnalisme (quoiqu'avec les moyens du bord,il avait pas trop le choix!),et délivre un beau message émouvant sur le pouvoir de l'argent et les inégalités de richesse entre 'races'.En évitant aussi les clichés des banlieues (dont les décors participent à l'ambiance prisonnière du film) auquel il s'attaque tout du long en leurs faveurs,"13m²" parvient à un résultat passionné et passionnant,doublé de nombreuses références cinématographiques (le coffre de voiture à la Tarantino!!).Le scénario cède parfois à quelques facilités et certains personnages sont passés à la trappe (Thierry Lhermitte est odieusement transparent et inutile),mais l'étonnante quantité d'idées de mise en scène compensent ces importants défaults.Dynamique et juste,sans fausse pudeur ni voyeurisme,Grossmann signe un bon film maîtrisé et intelligent,d'une raffinerie pas toujours indéniable,mais qui,avouons-le,a le mérite de parler courageusement et jusqu'au bout.Bref,pour un premier long,c'est du bon!
Pour un premier long métrage, c'est tout de même une belle performance pour Barthélémy Grossmann. 13m² est un polar qui dégage une certaine simplicité, avec une volonté manifeste de bien faire. Le pitch est intéressant mais hélas maintes fois (très bien) exploité par le passé.
On arrive quelquepeu à se fondre dans l'équipe de braqueurs, mais de nombreuses maladresses sont à noter. Cet aspect "banlieue" qui a été souligné et grossi est parfois lourd. Les dialogues s'en ressentent beaucoup, tout comme certaines scènes.
Par ailleurs, on s'attend à un huis clos, or, on n'arrive pas à ressentir l'étouffement que l'on était en droit d'attendre d'une telle oeuvre.
L'absence de la scène de braquage laisse un gros manque personnellement. Même si ce passage, fait état d'un fond sonore qui apporte son effet, cela n'est pas suffisant.
Enfin, la fin est un peu brutale, et j'aurais apprécié qu'elle soit amené avec plus de travail, de détail, de tension..
Les remarques sont nombreuses, mais pour un premier travail de ce jeune réalisateur, on se doit de souligner qu'il est assez prometteur.
On arrive quelquepeu à se fondre dans l'équipe de braqueurs, mais de nombreuses maladresses sont à noter. Cet aspect "banlieue" qui a été souligné et grossi est parfois lourd. Les dialogues s'en ressentent beaucoup, tout comme certaines scènes.
Par ailleurs, on s'attend à un huis clos, or, on n'arrive pas à ressentir l'étouffement que l'on était en droit d'attendre d'une telle oeuvre.
L'absence de la scène de braquage laisse un gros manque personnellement. Même si ce passage, fait état d'un fond sonore qui apporte son effet, cela n'est pas suffisant.
Enfin, la fin est un peu brutale, et j'aurais apprécié qu'elle soit amené avec plus de travail, de détail, de tension..
Les remarques sont nombreuses, mais pour un premier travail de ce jeune réalisateur, on se doit de souligner qu'il est assez prometteur.
Trois amis braque un fourgon blindé, et pour se cacher vont vivre en promiscuité.
13m2 est un film qui est assez ennuyant, on reste sur notre faim, on s'attend à davantage de pression, mais les acteurs sont bons.
13m2 est un film qui est assez ennuyant, on reste sur notre faim, on s'attend à davantage de pression, mais les acteurs sont bons.
Pastiche ringard de film de gangsters
Une bonne dose d'action fait de ce film un bon thriller, et nous sommes bien dans l'ambiance triste de la banlieue où règlements de comptes s'enchaînent.
Mais le scénario est un peu ambigu et la fin est bizarre, c'est bien dommage !
Mais le scénario est un peu ambigu et la fin est bizarre, c'est bien dommage !
pour un premier film c'est pas trop mal, mais hélas il pèche un peu trop par sa simplicité, on dirait un long court-métrage à la fin trop prévisible, les trois acteurs principaux jouent tous trés bien ce qui sauve le film de son aridité, un jeune réalisateur à suivre
13m² est bien mince comme Son budget. Certes il faut être plus indulgent mais quand il ne se passe rien... . Un scénario plat : l'histoire basique de trois jeunes qui veulent s'en sortir (argent facile) et qui découvrent avec stupeur que cela ne va leur apporter que malheur. Ce que je trouve désolant c'est l'attitude des acteurs qui semblent lire leur texte au lieu de le vivre. Seul bon point l'ambiance du 8 clos travaillé.
Maladroit certes mais il faut bien commencer.
Maladroit certes mais il faut bien commencer.
Bon petit polar sans prétentions truffé de bonnes séquences qui mérite d’être vu.
un film qui fout la trouille, très bien fait et très bien joué (un peu moins par l'actrice qui joue la copine et surtout l'acteur qui joue le collègue du frère), le huis clos marche comme sur des roulettes... par contre faut arrêter de prendre les gens pour des cons : le budget n'est surement pas aussi léger que beaucoup veule le croire,
Les acteurs sont particulièrement convaincant, très bon film.
Un excellent drame aux allures de thriller qui aurait mérité une plus grande couverture médiatique. Une très bonne surprise. A voir.
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