Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Pas mauvais, ce Lucky Luke, mais le film de James Huth ne fera pas date dans l'histoire du western non plus. La faute à une direction d'acteurs relâchée, où chaque comédien donne l'impression de tourner son propre film dans son coin.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le début du film fonctionne (...) Dans le deuxième tiers, le fil de l'histoire accroche les épérons de L.L. On décroche vaguement (...) jusqu'à sa petite surprise finale... On sort de là plutôt admiratif, mais vaguement perplexe aussi.
Le résultat est un film à grand spectacle qui divisera sans doute. Nous l'avons trouvé romantique, avec de vraies touches d'humour et plein de l'amour évident que son réalisateur porte au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Un Lucky Luke sans ces compagnons obligés, ça devient bien fade et transparent. l'ennui et l'indifférence s'installent plus sûrement que le rire et le dépaysement.
Pas d'angoisse, ce "western camembert" aux décors stylés, dégaine bien dans la catégorie divertissement familial. (...) Si Lucky Dujardin fait mouche en sombre héros, le rythme en dents de scie, lui, frôle parfois le goudron et les plumes.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Le script, très filandreux, se contente de juxtaposer des situations stéréotypées qui ne sont que prétexte à faire grimacer les acteurs dans des attitudes surconnotés.
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) l'approche qu'il choisit [James Huth] - faire de Lucky Luke un héros hanté par le meurtre de ses parents et en proie à l'introspection - plombe un film par ailleurs à peu près totalement dépourvu de souffle et de gags.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
On s'attend à rire. On attendra longtemps. (...) Il faut un talent aussi grand que celui de Frank Miller pour obtenir, en faisant endosser à des être de chair et d'os les traits caricaturaux de personnages de BD, que ceux-ci fassent éclore de vrais personnages. James Huth n'en a pas tant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) plus qu'un naufrage : un sabordage à quai. (...) Le plus tragique, ce sont les efforts démesurés et les moyens déployés pour arracher deux sourires à l'heure.
(...) la raison du désastre est dans le scénario caricatural et sans inspiration, les personnages secondaires baclés (...), un rythme qui se voudrait galop et qui n'est qu'un trop, un trop de tout et, surtout, de rien.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Metro
Visuellement superbe, le film mélange action et humour absurde avec bonheur, porté par l'enthousiasme évident de ses protagonistes. Une réussite.
20 Minutes
Pas mauvais, ce Lucky Luke, mais le film de James Huth ne fera pas date dans l'histoire du western non plus. La faute à une direction d'acteurs relâchée, où chaque comédien donne l'impression de tourner son propre film dans son coin.
Filmsactu
Un divertissement sortant des sentiers battus.
L'Express
www.lexpress.fr
La Croix
Lucky Luke est une fascinante réussite visuelle. (...) Sans ses colts et avec des rêves de mariage, le héros (...) risque de déconcerter.
Le Figaroscope
Le costume de Lucky Luke lui va comme un gant. Il était fait pour lui. Jean Dujardin est droit dans ses bottes camarguaises râpées.
Le Journal du Dimanche
Le début du film fonctionne (...) Dans le deuxième tiers, le fil de l'histoire accroche les épérons de L.L. On décroche vaguement (...) jusqu'à sa petite surprise finale... On sort de là plutôt admiratif, mais vaguement perplexe aussi.
Le Parisien
Le résultat est un film à grand spectacle qui divisera sans doute. Nous l'avons trouvé romantique, avec de vraies touches d'humour et plein de l'amour évident que son réalisateur porte au cinéma.
Le Point
Voir le site du Point
Marianne
Un gros film gentil, riche et plat, très éloigné de la BD, qui accumule les citations en guise de références (...).
Ouest France
Un Lucky Luke sans ces compagnons obligés, ça devient bien fade et transparent. l'ennui et l'indifférence s'installent plus sûrement que le rire et le dépaysement.
Première
(...) les fans de la BD vont crier au sacrilège, les enfants s'ennuyer et les ados tout juste se marrer à deux vannes.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
Pas d'angoisse, ce "western camembert" aux décors stylés, dégaine bien dans la catégorie divertissement familial. (...) Si Lucky Dujardin fait mouche en sombre héros, le rythme en dents de scie, lui, frôle parfois le goudron et les plumes.
Chronic'art.com
Huth ne parvient à aucun instant à trouver un équilibre entre énergie du cartoon, truculence du western-spaghetti et comédie calibrée.
Dvdrama
(...) un scénario décevant et lourdingue à peine rehaussé par une belle mise en images. Lucky Luke, au cinéma, reste un rêve inachevé.
Les Inrockuptibles
Le film empile les références mais passe à côté de l'univers de Morris et Goscinny. Même pas drôle.
Positif
Le script, très filandreux, se contente de juxtaposer des situations stéréotypées qui ne sont que prétexte à faire grimacer les acteurs dans des attitudes surconnotés.
TéléCinéObs
(...) l'approche qu'il choisit [James Huth] - faire de Lucky Luke un héros hanté par le meurtre de ses parents et en proie à l'introspection - plombe un film par ailleurs à peu près totalement dépourvu de souffle et de gags.
Télérama
c'est un western ravioli : la pâte est bonne, mais la farce est (un peu) lourde.
Le Monde
On s'attend à rire. On attendra longtemps. (...) Il faut un talent aussi grand que celui de Frank Miller pour obtenir, en faisant endosser à des être de chair et d'os les traits caricaturaux de personnages de BD, que ceux-ci fassent éclore de vrais personnages. James Huth n'en a pas tant.
Libération
(...) plus qu'un naufrage : un sabordage à quai. (...) Le plus tragique, ce sont les efforts démesurés et les moyens déployés pour arracher deux sourires à l'heure.
Paris Match
(...) la raison du désastre est dans le scénario caricatural et sans inspiration, les personnages secondaires baclés (...), un rythme qui se voudrait galop et qui n'est qu'un trop, un trop de tout et, surtout, de rien.