L'histoire: 3 bouffons de la banlieue qui ne foutent rien de la journee. Ils jouent avec des flingues, passent leur temps a s'insulter, se regardent le nombril, bref on s'emmerde pendant tout le long du film avec eux. Les dialogues: "Hey zy va bouffon", Ta gueule batard", "sur la vie de ma mere il dechire grave" oui je sais c'est limite comme dialogue mais il parait qu'il parle comme ca dans les banlieues... C'est soit-disant un film culte. J'ai du loupe un truc. Pour moi ca n'est qu'un gros navet!!!!
Une bombe cinématographique, sur une réalité terrible et dramatique, d'une jeunesse perdue entre haine et questionnement, interprété ici par un trio d'acteurs excellents !
Film culte. Un chef-d'œuvre qui a marqué une génération. Pas de cliché pour ce film traitant du malaise des banlieues, et pourtant d'autres réalisateurs s'y sont essayés sans succès. De la violence certes mais pas que, l'itinéraire semé d'embûches de trois lascars des cités, la peur du vide, l'absence de repères, on y trouve même de la poésie, à voir et revoir.
Un classique du cinéma Français tout simplement , un excellent casting , Vincent Cassel au top , une histoire sympa , des personnages pas spécialement attachant mais ils sont crédible . Une excellente mise en scene et aucun ennuie durant le film. A voir au moins une fois .
Un film coup de poing sur la dure réalité des jeunes de banlieue remarquablement interprété et mise en scene par Kassovitz. Les acteurs sont tous impeccables et le scénario est prenant du début à la fin. Une claque qui a déja plus de 15 ans et qui garde toujours son impact avec un Vincent Cassel impressionnant. Un classique.
il m'a bien gonflé ce film, en même temps j'avoue que c'est absolument pas le genre de films que j'aime et j'ai juste été le voir parce qu'1 des 2 copains qui m'accompagnaient voulait le voir et finalement il est le seul de nous 3 à avoir aimé le film . quand je suis sorti j'ai compris le titre du film, de savoir que j'avais payé, à l'époque un peu près 40 francs pour ça, j'avais "la haine " !
La Haine est la preuve en images de la critique social de notre société actuelle. Reprenant une journée quotidienne de petites racailles de banlieue heure par heure, ce film à su faire connaitre au grand jour le talent de Vincent Cassel qui est remarquable dans son rôle de Vinz. Ce film à su rester dans les mémoires pour plusieurs raison, celle de l'originalité d'avoir voulu réaliser le tout en noir et blanc et les dialogues qui sont savoureux au plus haut point. Ce film dénonce pas mal de points sombres autant dans les cités que dans les commissariats de police. Le final m'a laissé sur le cul, vraiment un bon suspens jusqu'au plan final.
le film n'est pas inintéressant, il traite d'un sujet délicat et il n'a pas pris une ride La temporalité du film se déroulant sur 24 heures ajoute une tension supplémentaire sur l'épopée de ces 3 racailles En revanche, même si les acteurs jouent plutôt bien, ils ne jouent pas justes
On voit bien que ces 3 acteurs ne sont pas issues des banlieues et l'accent et le vocabulaire en particulier de Cassel et du black Hubert sonnent faux
On ne transforme pas des comédiens issus d'un milieu aisé en caira
Il eu fallut pour cela engager des acteurs ou des jeunes de cités!
Donc le film sonne faux et ne crédibilise pas le message où évidemment l'attitude des flics est poussée à l'extrême voire au ridicule
25 ans plus tard, La Haine de M. Kassovitz est toujours d'actualité, le ton a à peine changé, la désinvolture et l'ennui sont toujours partie prenante des cités, les violences policières et contre la police continuent, 25 ans plus tard, La Haine ressort et distribue toujours des claques. Ce noir et blanc, ce ton réaliste et cette tension continue n'ont pas pris une ride. La Haine a une timeline d'une journée, grosse journée, une journée de chaos, de rires, de violences et de philosophie, Kassovitz y dévoile sa vérité sur la cité avec bon nombre d'interrogations et beaucoup de choses à dire. On y suit le quotidien de 3 jeunes de la génération black/blanc/beurre au lendemain d'une nuit d'émeute suite à une bavure policière. Le ton est souvent léger entre ces trois "paumés" en mal de sensations, le parler "cité" agace mais est authentique et Kassovitz met un point d'honneur à donner le plus de réalisme possible à son métrage. Beaucoup de messages à saisir donc mais surtout la découverte de Vincent Cassel dans ce rôle culte taillé pour lui, il inonde l'écran de talent à chacune de ses apparitions et contribua énormément au succès du film à mon sens, Koundé et Taghmaoui sont bons également mais sans commune mesure avec lui. La mise en scène coup de point quand à elle nous laisse sans voix une fois l'heure et demie écoulée, cinématographiquement parlant, Kassovitz a fait un travail exemplaire, dommage que comme souvent avec lui, le fond soit à charge ... mais bon, c'est son point de vue et il le défend. La Haine agace, prend aux tripes et reste un monument des années 90, toujours plaisant et marquant à revoir. Une franche réussite.
Nous pensions voir un drame d'une heure trente sur la banlieue, n'hésitant pas à montrer la violence régnant dans les quartiers comme l'indique le label « Interdit aux moins de 12 ans » et le choix du noir et blanc. Finalement, "La Haine" ne ressemble pas du tout à ce qu'on pouvait attendre, ressemblant parfois plus à une comédie dans une cité. Et puis le film de Mathieu Kassovitz, qui avait obtenu un certain nombre de prix en son temps, ne reflète plus vraiment la brutalité existant dans la banlieue, les personnages étant plus des pitres que de réels caïds. On retiendra la prestation de Vincent Cassel pour son premier grand rôle, pour le reste le film ne présente désormais plus aucun intérêt. Si c'était une comédie, "La Haine" n'aurait pas été bon, mais c'est un drame et c'est probablement pire.