Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Thierry Jousse
« La Haine » a pour lui la force et l’énergie de porter le fer dans la plaie et, plus encore, de donner la parole à des personnages qui ne l’avaient guère prise jusqu’à présent, de faire le film à partir d’eux, avec eux, et de leur point de vue à eux. Cah
Les Inrockuptibles
par Olivier de Bruyn
(…) une belle subjectivité, redoublée d’un sens du cinéma qui range son auteur dans une tradition plutôt américaine –disons pour aller vite entre la densité physique, le sens du langage vernaculaire de Scorsese et le territoire suburbain, les arabesques s
Positif
par Claire Vassé
Kassovitz exploite cette veine du cinéma « qui a quelque chose à dire », quelque chose de réel, de vécu. Son sujet, brûlant et actuel, il le filme caméra au poing, en noir et blanc, les images sont parfois troubles. Quant aux acteurs (…) on se demande où
Le Figaro
par Marie-Noelle Tranchant
Vous qui entrez, laissez toute inconscience. Vous allez passer vingt-quatre heures survoltées avec un trio pluriethnique de copains d’une cité de banlieue. Le Figaro, 31 mai 95.
Libération
par Olivier Séguret
La Haine est un film réellement grave et c’est plutôt par la peau du cou que par la main que Kassovitz nous saisit, comme si c’était la seule manière de regarder la merde en face. (…) La Haine n’est pas haineux, loin d’être seulement un bon film, c’est su
Cahiers du Cinéma
« La Haine » a pour lui la force et l’énergie de porter le fer dans la plaie et, plus encore, de donner la parole à des personnages qui ne l’avaient guère prise jusqu’à présent, de faire le film à partir d’eux, avec eux, et de leur point de vue à eux. Cah
Les Inrockuptibles
(…) une belle subjectivité, redoublée d’un sens du cinéma qui range son auteur dans une tradition plutôt américaine –disons pour aller vite entre la densité physique, le sens du langage vernaculaire de Scorsese et le territoire suburbain, les arabesques s
Positif
Kassovitz exploite cette veine du cinéma « qui a quelque chose à dire », quelque chose de réel, de vécu. Son sujet, brûlant et actuel, il le filme caméra au poing, en noir et blanc, les images sont parfois troubles. Quant aux acteurs (…) on se demande où
Le Figaro
Vous qui entrez, laissez toute inconscience. Vous allez passer vingt-quatre heures survoltées avec un trio pluriethnique de copains d’une cité de banlieue. Le Figaro, 31 mai 95.
Libération
La Haine est un film réellement grave et c’est plutôt par la peau du cou que par la main que Kassovitz nous saisit, comme si c’était la seule manière de regarder la merde en face. (…) La Haine n’est pas haineux, loin d’être seulement un bon film, c’est su