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une gravité ressort de manière presque démesurée de ce drôle de blockbuster enfantin. C'est de cette énergie noire, plus encore que de sa folle cosmogonie digitale, que Le Dernier Maître de l'air tire sa plus belle carte.
A défaut de proposer une transposition fidèle, Shyamalan qui aime surprendre avec des combinaisons d'alchimiste en a juste emprunté les bases pour développer ses croyances dans le cadre d'un blockbuster, à la manière d'une expérimentation commerciale.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le savoir-faire du réalisateur n'est pas étranger à la réussite de l'entreprise, assise sur une mise en images en tout point impeccable, tirant le meilleur parti de paysages grandioses. (...) Le seul point faible de l'entreprise (...) s'avère son casting (...).
Bon, c'est parfois laid à gerber, certains acteurs jouent comme des quiches mal démoulées, et la 3D est - on commence à avoir l'habitude -, une grosse arnaque. Mais on s'en fout, on a retrouvé un peu du Shyamalan qu'on aime...
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Enfoui sous des couches de molles péripéties et une direction artistique d'un goût très moyen, le passage du déni à l'acceptation de ses émotions et de son potentiel — la grande affaire de Shyamalan — apparaît comme un grigri pendant à son cou par habitude, vidé de toute ferveur et de la moindre signification.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Une panoplie de bons sentiments consensuels habillée d'images qui, bricolées en 3 D au montage, n'ont pas toujours la féérie capable de faire rêver. (...) Pas de quoi nous transporter.
Les Inrockuptibles
Le maître du thriller retors s'essaie au conte d'arts martiaux gracieux, où se déploient en majesté ses obsessions cosmologiques.
Cahiers du Cinéma
une gravité ressort de manière presque démesurée de ce drôle de blockbuster enfantin. C'est de cette énergie noire, plus encore que de sa folle cosmogonie digitale, que Le Dernier Maître de l'air tire sa plus belle carte.
Excessif
A défaut de proposer une transposition fidèle, Shyamalan qui aime surprendre avec des combinaisons d'alchimiste en a juste emprunté les bases pour développer ses croyances dans le cadre d'un blockbuster, à la manière d'une expérimentation commerciale.
L'Ecran Fantastique
Le savoir-faire du réalisateur n'est pas étranger à la réussite de l'entreprise, assise sur une mise en images en tout point impeccable, tirant le meilleur parti de paysages grandioses. (...) Le seul point faible de l'entreprise (...) s'avère son casting (...).
Mad Movies
Bon, c'est parfois laid à gerber, certains acteurs jouent comme des quiches mal démoulées, et la 3D est - on commence à avoir l'habitude -, une grosse arnaque. Mais on s'en fout, on a retrouvé un peu du Shyamalan qu'on aime...
Critikat.com
Enfoui sous des couches de molles péripéties et une direction artistique d'un goût très moyen, le passage du déni à l'acceptation de ses émotions et de son potentiel — la grande affaire de Shyamalan — apparaît comme un grigri pendant à son cou par habitude, vidé de toute ferveur et de la moindre signification.
Ouest France
Une panoplie de bons sentiments consensuels habillée d'images qui, bricolées en 3 D au montage, n'ont pas toujours la féérie capable de faire rêver. (...) Pas de quoi nous transporter.
Télé 7 Jours
Seuls les effets spéciaux et les séquences de combat sauvent du K.O. technique.
L'Express
voir le site www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Les influences , comme Le Seigneur des anneaux ou Narnia, sont flagrantes. Mais ici, tout manque, le souffle épique comme la magie.
Le Monde
En voulant faire un film pour enfants, M. Night Shyamalan s'est égaré dans le double écueil de la mièvrerie, et de la laideur.
Le Parisien
L'histoire déconcerte par sa niaiserie, quelque part entre "Kung-Fu" et "le Bouddhisme pour les nuls".
Libération
Le résultat est désastreux et ce n'est pas le ton professoral des dialogues et l'hermétisme des situations qui sauvera cette affaire.
Positif
(...) le film n'offre même pas de satisfaction visuelle (...).
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
Avec La Jeune fille de l'eau, en 2008, on pensait que M. Night Shyamalan avait touché le fond. Erreur : il continue de creuser...