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un film sans budget et raté de bout en bout, scenario nul, image catastrophique, acteurs 0 et c'est filmé à la sauce école maternelle ....à éviter sauf pour les fans de Stallone
pas mal mais parle beaucoup action a la fin du film
Stallone en demi-hippie ne fait pas recette ici. le film est bavard, long, ennuyeux, en raison du manque de justification de son scénario bien maigre. On aurait encore accepté quelques idées bien charpentées sur la guerre au Viet Nam ou sur la société américaine des années 60, ce qui eût donné à cette entreprise un brin d'authenticité. Même pas. Nous avons-là des rebelles sans but et sans mobile. Le jeu d'acteurs ne casse pas la vaisselle, la réalisation non plus, la bande-son est sans relief, le montage approximatif... Les deux étoiles que nous donnons sont pour le témoignage social que ce film pourra offrir aux sociologues du futur.
En 1973, on peut voir Sylvester Stallone dans "No Place to Hide" (exploitè en vidèo en 1982 sous le titre de "Rebel", plus dans le ton du moment et incontestablement racoleur) de Robert Allen Schnitzler! Sly dècroche là l'un de ses premiers rôles importants et s'exprimait auprès de Anthony Page, Rebecca Grimes, Henry G. Sanders et Jed Mills! Pour "No Place to Hide", il est Jerry Savage, qui en 1969, fait partie d'un groupe de dangereux terroristes qui projettent de faire sauter un building sis au coeur de Manhattan! Mais la police veille! Dans ce mauvais film, le futur Rocky Balboa, tenue dèbraillèe et cheveux longs, tente de concilier son idèal d'extrèmiste et l'amour qu'il porte à une baba cool èvaporèe bien dans le ton de l'après 68! Le rôle de Sly ètait important mais le mètrage dès le dèpart avouait ses faiblesses et ne trouvait pas de distributeur! Tournè en 1973, il ne sera en salle qu'en 1975! Ce retard n'est naturellement pas là pour arranger les choses et le film passe totalement inaperçu, ce qui n'a rien de surprenant! V.F d'Alain Dorval et final rappelant "Le toubib" avec Alain Delon et Vèronique Jeannot! Les rêves de gloire de Sly ne sont heureusement plus très loin...
Après son légendaire film érotique, Party at Kitty and Stud’s, Sylvester Stallone s’était enfin fait un (petit) nom dans le cinéma tout public et put enfin faire un film tout public.
Ce fut No Place to Hide, réalisé par l’inconnu au bataillon Robert Allen Schnitzer (qui mérite de le rester tant sa réalisation est clinquante et anémique, alors qu’il n’a évidemment pas le budget pour) et scénarisé à six mains, ce qui est tout proprement scandaleux quant à la qualité finale du film. En effet, en plus d’avoir des acteurs médiocres (aucun n’a eu de véritable carrière derrière, si l’on omet bien évidemment Sylvester Stallone, particulièrement mauvais ici), le film est très mal écrit, avec une intrigue qui frôle la propagande altermondialiste, sans suspense ni même réel intérêt, avant de finir dans le plus grand cliché existant de la prise de conscience de notre héros, qui décide alors de fuir cette cause qui lui tenait pourtant tant à cœur. Les agents du FBI sont évidemment tous des salauds corrompus à la solde des politiciens et les altermondialistes des gars sympas un peu plus intelligents que les autres. De qui se moque-t-on ?
Seule la musique, d’un cheap insolent mais qui ressemble à celle de l’Italian Stallion justement, est à sauver dans cette catastrophe passée heureusement inaperçue. Il y a une justice dans le cinéma, messieurs dames.
Ce fut No Place to Hide, réalisé par l’inconnu au bataillon Robert Allen Schnitzer (qui mérite de le rester tant sa réalisation est clinquante et anémique, alors qu’il n’a évidemment pas le budget pour) et scénarisé à six mains, ce qui est tout proprement scandaleux quant à la qualité finale du film. En effet, en plus d’avoir des acteurs médiocres (aucun n’a eu de véritable carrière derrière, si l’on omet bien évidemment Sylvester Stallone, particulièrement mauvais ici), le film est très mal écrit, avec une intrigue qui frôle la propagande altermondialiste, sans suspense ni même réel intérêt, avant de finir dans le plus grand cliché existant de la prise de conscience de notre héros, qui décide alors de fuir cette cause qui lui tenait pourtant tant à cœur. Les agents du FBI sont évidemment tous des salauds corrompus à la solde des politiciens et les altermondialistes des gars sympas un peu plus intelligents que les autres. De qui se moque-t-on ?
Seule la musique, d’un cheap insolent mais qui ressemble à celle de l’Italian Stallion justement, est à sauver dans cette catastrophe passée heureusement inaperçue. Il y a une justice dans le cinéma, messieurs dames.
rien a ajouter par rapport aux autres avis, images et sons jeux des acteurs montage etc .... qualité médiocre dommage
un jour en faisant des courses un homme se retourne et me donne ce dvd l'ayant pas vu j'accepte volontier après l'avoir visionné lol a la fin je me suis dis que l'homme a bien fais de vouloir se débarrasser de ce film abject pas d'histoire,les acteurs sont tous nuls dont stallone,c'est mal filmé bref un nanar dont sylvestre stallone a le secret ^^
le montage est catastrophique, les scènes sont coupées n'importe comment. La réalisation est à vomir. Filmé avec une caméra amateur, Rebel est une souffrance pour les yeux. L'histoire ne tient pas debout, les dialogues sont ridicules et les prestations des acteurs (même Stallone) sont piteuses. En clair, ce film est un raté complet et pour voir les début de Stallone, regarder The Italian Stalione sont soft porno plutôt que ce navet.
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