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Votre avis sur Black Sheep ?
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Vous aimez rire, vous aimez l'absurde, le gore, la Nouvelle-Zélande et surtout ses moutons? Vous aimerez "Black Sheep". Même si le système lasse sur la fin, l'originalité de ce film casse tout; le comble pour un Néozélandais serait d'avoir la phobie des moutons puisque le pays possède plus de ces bêtes que d'habitants (60 mios ovina pour seulement 4,1 mios d'êtres humains!). Et bien mettez ce pauvre gars au milieu d'un troupeau atteint du syndrôme du "mouton-garou", ajouter des tripes et du sang qui tache et vous obtenez une des meilleures surprises du genre depuis bien longtemps. A découvrir!
Un peu déçu !!! Il est clair que je ne m’attendais pas à un chef d’œuvre, mais certaines critiques présentant « Black Sheep » comme un véritable hommage au film Gore néo-zélandais de l’époque, j’ai abordé ce film en pensant me bidonner pendant 1h30. Malheureusement, je me suis trompé … le film manque cruellement d’originalité et souffre de pas mal de longueurs. Pourtant le scénario été bien pensé pour ce genre de nanar, mais à trop vouloir s’inspirer des référence du genre, on finit par tomber sur un film sans âme. Le genre de film qui se regarde, mais qu’on aura déjà oublié 1h après la fin…
Excellent Films! Black Sheep est un bon exemple du film de genre/humour qui nous rapelerait presque Shaun Of The Dead. Les Néo Zélandais nous surprenne bien grace a cette production assez gore et melangeant l'humour. L'acteur principl gère bien son rôle (avec sa phobie des mouton^^), la réal. est pas mal, et on arrive bien a rentré dans le délire du réalisateur. c'est encore loin des tous premier Peter Jackson, mais on s'en approche. Un des points négatifs du film est que le ton n'est pass assez réguliers, et donc on a tendance a décroché à certains moments. Mais a part ca, Black Sheep reste avant tout un bon divertissement, a voir a plusieur de préférence.
Doublement primé au festival de Gérardmer de 2008,mais ça n'en fait pas un film de grande qualité néanmoins.Du sang,des tripes avec ses moutons carnivores.Donc on rit plus pas de l'humour mais de la nullité de certains scènes que de frissons de peur.Reste les beaux paysages et la dénonciation des expériences sous couvert de recherches.
Yannickcinéphile
Bon, un petit film d’horreur sans prétention qui se laisse regarder avec un certain plaisir, même si au final ce n’est pas non plus un bijou d’humour noir qui utilise toute les ficelles de son sujet.
Le casting est globalement appréciable, même si on se rabattra surtout sur le méchant du métrage et sur les seconds rôles relevés. En effet, quoiqu’on en dise le couple de héros, campé par Nathan Meister et Danielle Mason reste assez faiblard. Manque de charisme pour les deux, et surtout Mason est quand même approximative dans son jeu. Aucun des deux n’a un réel talent comique non plus. En revanche Peter Feeney est un méchant répugnant et jouissif comme on l’espérait, et les seconds rôles, parmi lesquels figurent Tammy Davis et Oliver Driver sont très sympathiques.
Le scénario se veut donc bien burlesque, et je dirai que le film remplit le contrat sur plusieurs points. Dynamique, sanglant à souhait, Black Sheep utilise aussi une durée courte pour se présenter sans temps mort devant le spectateur. Là-dessus rien à redire. En revanche il faut avouer que le métrage reste assez peu franchement comique. Il y a des moments drôles mais rarement, alors que sur le speech de départ il y avait de quoi faire quelque chose de très relevé en la matière, même sur une tonalité très noire. Donc un relatif bémol là-dessus, d’autant que le film ne joue pas non plus complétement la carte sérieuse (et on pourra tout de même dire tant mieux vu l’idée de base !).
Visuellement Black Sheep saura se faire apprécier des amateurs du genre, en recourant à des effets gores franchement très réussis et très nombreux. Pas de reproche à faire de ce côté, d’autant que les attaques de moutons sont étonnement crédibles ! On profite aussi de l’ambiance Nouvelle-Zélande au niveau des décors, et la mise en scène est suffisamment soignée pour nous permettre d’apprécier chaque attaque et chaque moment chocs ! La musique aurait pu avoir davantage de personnalité en revanche.
Enfin, Black Sheep reste un film bien sympa à voir, qui ravira les amateurs de films de zombis originaux. Pas un chef-d’œuvre certes, mais ça reste de belle facture. 3.5.
Le casting est globalement appréciable, même si on se rabattra surtout sur le méchant du métrage et sur les seconds rôles relevés. En effet, quoiqu’on en dise le couple de héros, campé par Nathan Meister et Danielle Mason reste assez faiblard. Manque de charisme pour les deux, et surtout Mason est quand même approximative dans son jeu. Aucun des deux n’a un réel talent comique non plus. En revanche Peter Feeney est un méchant répugnant et jouissif comme on l’espérait, et les seconds rôles, parmi lesquels figurent Tammy Davis et Oliver Driver sont très sympathiques.
Le scénario se veut donc bien burlesque, et je dirai que le film remplit le contrat sur plusieurs points. Dynamique, sanglant à souhait, Black Sheep utilise aussi une durée courte pour se présenter sans temps mort devant le spectateur. Là-dessus rien à redire. En revanche il faut avouer que le métrage reste assez peu franchement comique. Il y a des moments drôles mais rarement, alors que sur le speech de départ il y avait de quoi faire quelque chose de très relevé en la matière, même sur une tonalité très noire. Donc un relatif bémol là-dessus, d’autant que le film ne joue pas non plus complétement la carte sérieuse (et on pourra tout de même dire tant mieux vu l’idée de base !).
Visuellement Black Sheep saura se faire apprécier des amateurs du genre, en recourant à des effets gores franchement très réussis et très nombreux. Pas de reproche à faire de ce côté, d’autant que les attaques de moutons sont étonnement crédibles ! On profite aussi de l’ambiance Nouvelle-Zélande au niveau des décors, et la mise en scène est suffisamment soignée pour nous permettre d’apprécier chaque attaque et chaque moment chocs ! La musique aurait pu avoir davantage de personnalité en revanche.
Enfin, Black Sheep reste un film bien sympa à voir, qui ravira les amateurs de films de zombis originaux. Pas un chef-d’œuvre certes, mais ça reste de belle facture. 3.5.
Les Néo-Zélandais sont très forts dans les comédies horrifiques. Peter Jackson avait ouvert la voie avec « Braindead » et « Bad Taste ». « Black Sheep » possède des effets spéciaux saisissants et très réussis. L’humour noir est certes utilisé avec parcimonie mais certaines situations et dialogues sont vraiment amusants. Le film est bien évidemment a prendre au second degré.
Il émerge beaucoup de comédies horrifiques dans les salles du monde entier ces derniers temps. Certaines sont des véritables chefs-d’oeuvre (Shaun of the Dead), d’autre des films sympathiques mais parfois décevants (Severance)... Le métrage de Jonathan King, lui, se hisse dans le rang des petites réussites dans son genre.
Evidemment, impossible de ne pas passer par la comparaison entre l’univers si particulier de Peter Jackson et ce film, qui lui emprunte non seulement son équipe d’effets spéciaux (la très efficace Weta Workshop, qui signent des maquillages et FX assez gores mais terriblement cools), mais aussi son ambiance, évoquant celles de Braindead et de Créatures Célestes (deux références avouées du metteur en scène, bien qu’inconscientes selon lui). Mais pour autant, ce dernier est très loin d’atteindre le niveau du génie passe-partout (voui voui !).
King fait pourtant preuve avec Black Sheep d’une grande aisance, d’une part dans le scénario, décalé et cohérent comme il faut (même si on sent une certaine retenue, qui aurait pourtant pu rendre le métrage encore plus trippant qu’il ne l’est), et dont on retiendra ce message évident contre le pouvoir de la technologie sur la nature, et précisément l’agriculture, comme l’histoire de Dolly, brebis clonée, clairement parodiée lors des scènes du laboratoire. Mais c’est surtout dans sa mise en scène que survient cette aisance, apparaissant comme limpide au milieu de ce déferlement de cris, de sang, de mutations et de pets, sûrement due à la beauté des paysages néo-zélandais qui surplombent tout le film, devenant presque un personnage à part entière, au milieu des excellents Nathan Meister, Peter Feeney (un petit air de Bruce Campbell, non ?) et Tammy Davis.
En bref, un bel objet de curiosité, doté d’une maitrise intéressante de l’alliance de la peur et de l’humour (jamais débile mais toujours drôle), qui a quasiment tout pour devenir un petit classique en puissance.
Evidemment, impossible de ne pas passer par la comparaison entre l’univers si particulier de Peter Jackson et ce film, qui lui emprunte non seulement son équipe d’effets spéciaux (la très efficace Weta Workshop, qui signent des maquillages et FX assez gores mais terriblement cools), mais aussi son ambiance, évoquant celles de Braindead et de Créatures Célestes (deux références avouées du metteur en scène, bien qu’inconscientes selon lui). Mais pour autant, ce dernier est très loin d’atteindre le niveau du génie passe-partout (voui voui !).
King fait pourtant preuve avec Black Sheep d’une grande aisance, d’une part dans le scénario, décalé et cohérent comme il faut (même si on sent une certaine retenue, qui aurait pourtant pu rendre le métrage encore plus trippant qu’il ne l’est), et dont on retiendra ce message évident contre le pouvoir de la technologie sur la nature, et précisément l’agriculture, comme l’histoire de Dolly, brebis clonée, clairement parodiée lors des scènes du laboratoire. Mais c’est surtout dans sa mise en scène que survient cette aisance, apparaissant comme limpide au milieu de ce déferlement de cris, de sang, de mutations et de pets, sûrement due à la beauté des paysages néo-zélandais qui surplombent tout le film, devenant presque un personnage à part entière, au milieu des excellents Nathan Meister, Peter Feeney (un petit air de Bruce Campbell, non ?) et Tammy Davis.
En bref, un bel objet de curiosité, doté d’une maitrise intéressante de l’alliance de la peur et de l’humour (jamais débile mais toujours drôle), qui a quasiment tout pour devenir un petit classique en puissance.
Malgré une idée originale (des moutons tueurs, faut y penser), le film a bien du mal à tenir le spectateur en haleine pendant ses 90 minutes (et encore, il en fait moins).
Je m'attendais à un truc de plus drôle, or même si y a un côté décalé je n'ai pas été très réceptif à cet humour.
Qui plus est, j'ai trouvé que le film d'horreur en lui même était complètement raté : personnages fades, insipides et caricaturaux dans des situations inintéressantes, plus gores qu'inquiétantes.
Le tout donne, pour ma part, un film plutôt nul.
Je m'attendais à un truc de plus drôle, or même si y a un côté décalé je n'ai pas été très réceptif à cet humour.
Qui plus est, j'ai trouvé que le film d'horreur en lui même était complètement raté : personnages fades, insipides et caricaturaux dans des situations inintéressantes, plus gores qu'inquiétantes.
Le tout donne, pour ma part, un film plutôt nul.
Bon, c'est un film un peu maladroit mais complètement déjanté et très sympa à regarder.
un bon film d'horreur à petit budget arpentant un 2nd degré avec une bone dose d'humour. l'histoire est simple mais un peu tiré par les cheveux et le
film pourait s'apparenté aux deux classiques de peter jakson tant la dérision est présenté à chaque plans. les effet-spéciaux sont correct, ainsi que les scènes trash. il se regarde avec un certain recul mais on passe un bon moment.
film pourait s'apparenté aux deux classiques de peter jakson tant la dérision est présenté à chaque plans. les effet-spéciaux sont correct, ainsi que les scènes trash. il se regarde avec un certain recul mais on passe un bon moment.
Contrairement à ce que l'on pourrait croire de prime abord, il n'est pas question de têtes brûlées dans "Black sheep". Non, mais comme si tous les dangers qui nous guettent ne suffisaient pas, voilà avec ce film qu'il faudrait désormais se méfier des moutons. Décidément, dans quel monde vivons nous ! Que l'on se rassure cependant : c'est pour rire. En effet, beaucoup d'humour et de troisième degré jalonnent cette histoire assez délirante. Qui ne manque pas de charme non plus puisque l'on y voit une jeune écologiste qui est ma foi une fort jolie plante. Marrant donc, mais qui à l'instar d'un "Shaun of the dead" traverse quelques périodes beaucoup moins drôles et où l'on revient à des scènes d'horreur trop classiques. Ce film n'en reste pas moins un petit bonheur dont le thème et l'environnement rappellent par certains aspects cette autre pépite exotique mais irlandaise qu'était "Isolation" de Billy O'Brien. Bon j'arrête là, car je sens que je commence à avoir la tremblante du mouton.
Un film d'horreur bien dégueux d'une débilité incroyable, complètement assumée et du coup totalement jouissif. Le sérieux avec lequel l'intrigue est traitée et les trop rares effets comiques font que l'on a constamment un doute sur la direction que veut prendre le film. mais les situations sont tellement "énaurmes", stupides mais vraiment hilarantes, qu'il finit par franchement se situé dans la grosse pochade horrifique. On a frôlé de justesse le gros nanar qui tache et l'interprétation approximative n'y est pas pour rien, mais les vannes ultra poilantes et le gore ultra efficace, ainsi que quelques clins d'oeil (comment ne pas voir les allusions aux classiques du film de loup-garou que sont "Le Loup Garou de Londres" de John Landis et "Hurlements" de Joe Dante...) en font un film du genre tout-à-fait honorable. Débile sans être parodique, on vous aura prévenu...
L'AlsacienParisien
Bêêêêhh fait le mouton ... Beeerk fait le spectateur ... ^^
Bon petit délire Néo-zelandais qui rappelle le cultissime Braindead même si Jonathan King est loin d'être Peter jackson ce qui se voit clairement à la réalisation qui tourne souvent vers le Z. Et oui il faut bien le dire c'est un film destiné en grand partie aux personnes qui aiment ce type de cinéma entre humour vraiment débile et scène gentiment gore. En fait tout le film peut être résumé en 2 mots: mouton tueur. C'est donc complètement givré, ça part dans le n'importe quoi totale c'est très Z mais ça fait aussi du bien.
Peter Jackson a marqué à jamais l'histoire cinématographique de la Nouvelle-Zélande et pas seulement grâce à sa trilogie "Le Seigneur des Anneaux". "Bad Taste" et surtout "Braindead", deux comédies gores ont généré de multiples vocations dans le domaine du cinéma de genre néo-zélandais. Alors quand un réalisateur, pour son premier film, s'attelle à une histoire de moutons transgéniques et carnivores dans les monts verdoyants de la Nouvelle-Zélande, on se dis qu'on va assister à quelque chose d'unique et en même temps, avec son lot de référence à l'univers de Jackson. Et c'est bien le cas ici. Pas vraiment d'innovation dans "Black Sheep" mais un amour véritable pour le cinéma horrifique avec des litres de sang versés, des personnages décalés, des effets spéciaux vraiment excellents et un scénario où tout n'est pretexte qu'à un gros délire sans limite. Jonathan King, le géniteur de cette curiosité s'inspire dans les grandes largeurs de ses illustres prédécesseurs mais il le fait avec un talent certain, bien aidé par ses acteurs et par un humour lorgnant parfois du côté d'un "Shaun of the Dead". C'est très gore mais c'est aussi une comédie et à partir de là, King s'autorise les choses les plus vulgaires et insensées et c'est véritablement hilarant. Du divertissement insolent où tout le monde en prend plein la gueule, des scientifiques malveillants aux hippies idéalistes, tout le monde, sauf le sheep.
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