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eldarkstone
230 abonnés
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3,0
Publiée le 27 janvier 2015
Pour son premier film plus ou moins sérieux, loin de la comédie satyrique, et surtout en dehors de sa chère Espagne, De La Iglesia signe un thriller intelligent, parfois un peu brouillon et complexe, mais au final intéressant et innatendu.
Sorte de "Da Vinci Code" anglais, "Crimes à Oxford" est un pâle thriller qui repose sur une logique mathématique qui ne l'est pas (ça parle pour rien dire). Toutefois, la mise en scène est sympa et l'enquête arrive à nous captiver (un peu...). Par contre, Elijah Wood est pas convaincant dans son rôle d'intello (Frodon restera indissociable de lui), il n'a pas la carrure.
Ca commence correct, un bon cadre intérieur et extérieur. Les acteurs sont bons, notamment John Hurt que l'on pourrait comparer son physique tout comme son personnage à celui de Ian McKellen dans "Da Vinci Code". Agréable présence féminine du coté de l'actrice espagnole, Leonor Watling. Seulement, ce thriller part sur un crime et une enquête bien pathos. Un sous Da Vinci Code au pays de Shakespeare sans une narration religieuse, les énigmes sont bien entendu sous formes de symboles et des chiffres.
Voilà un petit film sans prétention aucune. Alex de la Iglesia reste sur sa lancée des années 2000 et nous offre un film qui ne manque pas de charme, mais sonne parfois faux. Dommage, parce que le concept est sympathique : ancrer un polar dans un contexte mathématico-philosophique est osé. Encore faut-il ensuite pouvoir assumer cette prise de risque tout au long du film. Visiblement le réalisateur ne l'a pas fait, et cède de tant à autres à des facilités de mise en scènes parfois lassantes. Mais bon le final est réussi, le twist marche, et finalement on sort de ce film pas franchement déçu, mais pas franchement ravi non plus. A voir une fois pour se faire sa propre idée.
Ça se regarde comme un Hercule Poirot . À peine plus passionnant . Certes réalisé par un maître en Espagne A De La Iglesia . Pour autant une démonstration pompeuse . Une conclusion non moins crédible . Et un E Wood vaporeux !
Un polar à énigmes bâti sur le principe "Qui est le coupable ?" Pourquoi pas et ça commence plutôt bien, avant de se rendre compte que Elijah Wood ne sait pas jouer, que le commissaire est ridicule, que le blabla philosophico-mathématique nous embrouille au lieu de nous aider, que les invraisemblances foisonnent. Et plus ça avance, plus c'est pire (ça ajoute quoi d'avoir situé la scène de la bibliothèque à l'heure de la fermeture ? Et puis ils sont vraiment très forts dans ce film, ils trouvent quatre bouquins en 3 minutes alors qu'ils sont énervés comme des poux, les ouvrent aux bonnes pages et repartent avec plein de tuyaux… il y a encore des scénaristes qui osent écrire de telles inepties !) Quant à la fin : tout s'embrouille, on n'y comprend plus grand-chose et à vrai dire on s'en fout. Une seule chose à sauver la présence magique de la très belle Leonor Watling (et pas seulement parce qu'elle nous montre sa poitrine !)
Une fin surprenante, des personnages avec des fortes personnalités et une histoire qui tient la route dommage que certains détails inutiles baissent le rythme du film
J'adore certains films d'Alex (Mes chers voisins, Un crime farpait) et j'avais hâte de voir celui-ci même si je trouvais le casting pas très en adéquation avec son style. Et franchement il faut reconnaitre sa patte dans ce film tant il ne ressemble pas à ses précédentes œuvres, fini l'humour noir grinçant qui faisait tout son charme. Malgré un casting intéressant le film ne vole jamais bien haut et ne tient pas ses promesses. Le scénario tourne en rond quand il ne part pas en sucette, Décevant.
Une enquête sympa avec des acteurs sympa... Mais ça manque de profondeur dans le scénario, ça manque de consistance globale. Ça se laisse gentiment regarder mais c'est loin d'être indispensable.
Ca démarre sur les chapeaux de roue. On nous présente à peine les personnages que le crime est commis et que cette drôle d’enquête est lancée. C’est la seule petite chose que je reprocherais à Alex de la Iglesia, c’est son rythme. Il va beaucoup trop vite. J’espérais qu’il allait ralentir par la suite mais le jeune Elijah Wood se pointe à peine chez ses propriétaires qu’une idylle apparait soudainement avec la jeune fille de la maison. Il va faire du squash en solo mais comme par hasard, une belle infirmière l’interpelle dans un rentre dedans plus que prononcé. Si les femmes sont comme ça Oxford, je déménage demain ! Cette histoire commence un peu à la Cluedo mais devient assez intéressante au fur et à mesure avec toute cette logique mathématicienne et cette symbolique des signes. Ca parle beaucoup et il faut rester concentré car la pirouette scénaristique de la fin, sans être d’une grande surprise, est originale. C’est assez bien mis en scène à part ce montage ultra rapide. Classique et divertissant…
Un excellent thriller policier qui lui nous livre une bonne confrontation entre Elijah Wood et John Hurt , avec le frenchie Dominique Pignon sur une énigme mathématique !!!
Un petit polar divertissant, à défaut de renouveler le genre. A la réalisation, Alex de la Iglesia parvient à donner à son film la touche britannique indispensable pour s'inscrire dans la tradition de Conan Doyle et d'Agatha Christie, avec galerie de coupables potentiels et retournement final obligatoire. La chanteuse-comédienne espagnole Leonor Watling apporte à ce polar une dose agréable de sensualité : la scène où elle cuisine des spaghettis toute nue sous son tablier XXS, qui peine à contenir sa poitrine XXL, est juste bouleversante... So exciting baby!