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Un visiteur
5,0
Publiée le 3 janvier 2008
Steven Seagal endosse une fois de plus son costume d'agent spécial dans un film sans scénario, comportant des situations totalement invraisemblables (un mec jeté par Steven traverse 3 murs de pierre, un autre se fait planter un couteau dans la tête et se relève pour une baston). Steven Seagal apparait toujours à moitié dans l'ombre, afin de cacher une certaine surcharge pondérale, et il n'a pas tout à fait la même tête que sur la jaquette !! En bref, un nanar insipide et sans saveur, c'est pour ça qu'on l'aime !! A consommer de préférence entre amis.
Décevant à tout point de vue, même la bande son lancinante. Film à très petit budget. Oubliez Nico ou piège en haute mer !
Tout d'abord, Steven Seagal n'est plus jamais filmé en pleine lumière, finis les combats à la lueur du jour torse nu! Mieux, il est bien enveloppé dans ses habits noirs le couvrant trop bien. Il a bien du mal à se bouger.
Le film est trop sombre (luminosité) pour pleinement en profiter. Bien filmé, certes, mais trop sombre.
Le scénario maigre comme une feuille de papier à cigarette, ne compense pas le jeu fort peu convainquant des acteurs. Les dialogues auraient pu être écrits par un analphabète, tant ils sont réduits à leurs plus simple expressions, juste quelques phrasés de quelques mots, à croire que les acteurs peinaient à retenir leur texte. La guerre du feu était une performance à coté de ceux-ci.
Mon plus grand plaisir, avant du moins, était de regarder les superbes combats de Steven Seagal, peut-être n'a-t-il pas encore compris qu'il était temps d'arrêter.
Il reste malgré tout un grand maître en art martial.
Le fin du fin est le manque, l'absence ?, de connaissance géographie des auteurs ! L'action censée se dérouler du coté de Bastia ... se passe à quelque kilomètres de Bordeaux. D'autant que le tournage, pour raison d'économie, sans duite, se déroule à Bucarest.
Bref, mais un fan inconditionnel de Steven Seagal risque d'être déçu. A fuir ou pas, à vous de voir.
Grand amateur de nanars, et non de navets, je suis profondément déçu par ce film du grand nanardeur Steaven Seagal. Mais là, cet admirable défenseur des "mauvais films sympathiques" (faîtes un tour sur nanarland.com), se fourvoie dans la daube intégrale, tellement minable que la subtile frontière qui sépare le nanar du navet a été franchie. Certes, les plus intégristes d'entre nous souriront aux incohérences géographiques de l'histoire (une grande partie du film se déroule en France) et le budget famélique très visible en feront verser une petite larme à d'autres, mais le pauvre Steven a bien du mal à se bouger maintenant. Les combats sont rares et vite expédiés. Pas le temps de se marrer. Quant à son jeu d'acteur, il a rarement été autant monolithique (qui a dit paralysé ?). A bien y réfléchir, c'est la jaquette qui fait le plus marrer. Reste l'ultime mystère : Photoshop ou Paint Shop Pro ?
Bon, c'est du Steven Seagal donc il ne faut pas s'attendre à des miracles mais ... je me suis déjà pas mal régalé devant d'autres films avec cet acteur (je suis assez bon public, en fait) mais, là, non ! Il ne faut pas diffuser ce genre de daube. Tout est nul de A à X. Je réserve les Y et Z pour le joli minois de Lisa Lovbran ainsi que pour l'impassible soldat asiatique aux côtés de Steven Seagal qui est le seul à s'en tirer. Il y a même une des méchantes, la blonde aux cheveux tirés en arrière avec la queue de cheval qui, à la fin, se prend 4 à 5 bastos dans le buffet et ne bronche pas, se jette sur le soldat (isolé) qui a tiré sur elle, le tue, s'en va et on ne la revoie jamais ... ni vivante ni morte. Ah si, un truc marrant (enfin, cocasse !), la méchante habillée comme pour partouze à la fin (la grande patronne des méchants sans doute) dans le combat ultime avec Steven Seagal, elle prend un coup de lame en diagonale au dessus du sein gauche jusqu'entre les deux seins (sa brassière transparente se coupe même en deux entre les deux seins mais, non, la brassière reste en place) bref ..., sur le plan suivant, l'entaille va dessus du sein droit vers l'entre les deux seins puis après revient comme la première fois. Monteur de pellicule bourré sans doute. Navet à éviter.