Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
Garrel investit ici un paradoxe profond : tenant de l'évènement lumineux, du visage-paysage, de la durée débridée, il est aussi un grand imagier.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
On a beaucoup entendu à Cannes (...) que le film était passéiste, qu'il vivait dans un rêve d'antan, dans une posture aussi morbide qu'anachronique. C'est ne rien comprendre au film, ne pas voir que depuis son autisme, Garrel questionne le réel (...) derrière la tristesse du film, sa profonde neurasthénie, sommeille une rage à la fois naïve et lucide qui voudrait réveiller le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Emile Breton
L'on peut bien penser que c'est pour dire que le cinéma, mise en scène des ombres, est d'abord l'art de donner la vie aux fantômes, que Garrel a fait ce film. Car ce sont bien des fantômes qui hantent ce film déchiré.
Le Monde
par Jean-François Rauger
La pureté du cinéma de Garrel (...) confèrent à son nouveau film l'allure d'une oeuvre primitive, d'un mélo surnaturel venu du muet, la simplicité de la poésie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télérama
par Jacques Morice
(pour) Un pan de mur, un lit et des sentiments, voilà l'essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
par Anne Diatkine
Film incandescent qui brûle au coeur de son sujet : comment les amours défuntes viennent hanter le présent.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Simple et belle histoire d'amour, scénario obsessionnel qui rappelle que l'on échappe pas aussi facilement que l'on souhaiterait parfois aux sentiments, aux regrets, à ce qui n'a pas été fait quand il aurait fallu le faire.
Libération
par Philippe Azouri
Il y avait longtemps que Garrel n'avait pas fait un film ainsi, (...) à ce point nu et ouvertement sensuel. C'est sa force et son étrangeté: être conçu sur de la pure sensation, que le spectateur comme ses héros se laissent éblouir...
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) long flirte avec le sublime, éternité de l'amour, marottes expressionnistes (...). l'audace mérite au moins d'être saluée.
Positif
par Vincent Amiel
Sans doute (...), Garrel s'est t'il refusé à la facilité, avec les risques que cela impliquait.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Sandra Benedetti
Voir le site http://www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
aVoir-aLire.com
par Clémentine Fullias
Un film esthétique dont la superbe photographie ne suffit pas à faire oublier un certain nombre de poncifs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site cinelive.com
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
La Croix
par Arnaud Swartz
Face à ce sombre romantisme, le cinéaste ne répond que par l'affection.
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Les dialogues sont d'une platitude navrante et une regrettable impression d'ennui finit par gagner le spectateur. Il faut de la volonté pour tenir jusqu'au bout.
Ouest France
par La Rédaction
Ca se veut sans doute un conte d'amour fantastique éternel, mais il se perd dans les méandres du temps.
Première
par Didier Roth-Bettoni
Le film, hué à Cannes, est à la frontière entre le sublime (...) et le ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
A trop de rares fulgurances poétiques font souvent écho des artifices sans grâce. Un grand film malade.
20 Minutes
par La rédaction
Conte en noir et blanc qui semble prendre un malin plaisir à flirter en permanence avec leridicule.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par La rédaction
Voir sur le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Un film auteuriste d'arrière-garde, en noir et blanc, prétentieux et à raison hué au dernier Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Metro
par Jérôme Vermelin
Leur romance, tragique, filmée en noir et blanc pour faire bien, débouche sur une vraie fausse paroie du cinéma d'auteur des années 60 (...)
La critique complète est disponible sur le site Metro
Télérama
par Pierre Murat
(contre) Pour une fois, dans cette histoire de passion comme Garrel les aime et comme on les aime chez Garrel, on ne croit à rien. Pire : on n'est touché par personne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Garrel investit ici un paradoxe profond : tenant de l'évènement lumineux, du visage-paysage, de la durée débridée, il est aussi un grand imagier.
Chronic'art.com
On a beaucoup entendu à Cannes (...) que le film était passéiste, qu'il vivait dans un rêve d'antan, dans une posture aussi morbide qu'anachronique. C'est ne rien comprendre au film, ne pas voir que depuis son autisme, Garrel questionne le réel (...) derrière la tristesse du film, sa profonde neurasthénie, sommeille une rage à la fois naïve et lucide qui voudrait réveiller le spectateur.
L'Humanité
L'on peut bien penser que c'est pour dire que le cinéma, mise en scène des ombres, est d'abord l'art de donner la vie aux fantômes, que Garrel a fait ce film. Car ce sont bien des fantômes qui hantent ce film déchiré.
Le Monde
La pureté du cinéma de Garrel (...) confèrent à son nouveau film l'allure d'une oeuvre primitive, d'un mélo surnaturel venu du muet, la simplicité de la poésie.
Le Point
Voir le site www.lepoint.fr
Télérama
(pour) Un pan de mur, un lit et des sentiments, voilà l'essentiel.
Elle
Film incandescent qui brûle au coeur de son sujet : comment les amours défuntes viennent hanter le présent.
Les Inrockuptibles
Simple et belle histoire d'amour, scénario obsessionnel qui rappelle que l'on échappe pas aussi facilement que l'on souhaiterait parfois aux sentiments, aux regrets, à ce qui n'a pas été fait quand il aurait fallu le faire.
Libération
Il y avait longtemps que Garrel n'avait pas fait un film ainsi, (...) à ce point nu et ouvertement sensuel. C'est sa force et son étrangeté: être conçu sur de la pure sensation, que le spectateur comme ses héros se laissent éblouir...
L'Obs
(...) long flirte avec le sublime, éternité de l'amour, marottes expressionnistes (...). l'audace mérite au moins d'être saluée.
Positif
Sans doute (...), Garrel s'est t'il refusé à la facilité, avec les risques que cela impliquait.
Studio Magazine
Voir le site http://www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Un film esthétique dont la superbe photographie ne suffit pas à faire oublier un certain nombre de poncifs.
Ciné Live
Voir le site cinelive.com
La Croix
Face à ce sombre romantisme, le cinéaste ne répond que par l'affection.
MCinéma.com
Les dialogues sont d'une platitude navrante et une regrettable impression d'ennui finit par gagner le spectateur. Il faut de la volonté pour tenir jusqu'au bout.
Ouest France
Ca se veut sans doute un conte d'amour fantastique éternel, mais il se perd dans les méandres du temps.
Première
Le film, hué à Cannes, est à la frontière entre le sublime (...) et le ridicule.
TéléCinéObs
A trop de rares fulgurances poétiques font souvent écho des artifices sans grâce. Un grand film malade.
20 Minutes
Conte en noir et blanc qui semble prendre un malin plaisir à flirter en permanence avec leridicule.
L'Express
Voir sur le site www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Un film auteuriste d'arrière-garde, en noir et blanc, prétentieux et à raison hué au dernier Festival de Cannes.
Metro
Leur romance, tragique, filmée en noir et blanc pour faire bien, débouche sur une vraie fausse paroie du cinéma d'auteur des années 60 (...)
Télérama
(contre) Pour une fois, dans cette histoire de passion comme Garrel les aime et comme on les aime chez Garrel, on ne croit à rien. Pire : on n'est touché par personne.