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    Le Premier venu
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    39 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 juin 2008
    Dans des décors naturels assez jolis,le film présente avec d'incroyables longueurs une histoire crispante, peu interessante entre quelques marginaux.Les dialogues sont souvent artificiels, les situations peu crédibles.Doilon fait tout pour que jamais le spectateur n'entre dans le film. Il se sent peu concerné et reste exaspéré tant les personnages sont dérout(ants voire invraisemblables.
    La Picardie a bien du mérite d'avoir soutenu cette oeuvre qui desespère et ennuie plus qu'elle enthousiasme et mobilise.
    Pierre E
    Pierre E

    201 abonnés 665 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 mai 2008
    La forme : épurée jusqu’à en devenir écoeurante de naturalisme. Le fond : ennuyeux car sans intérêt. Photographie et réalisation sont quasi-inexistantes. Dialogues et interprétations sonnent faux. S’aventurer à regarder LE PREMIER VENU, c’est pénétrer dès les premières secondes dans un monde perdu dans une semi-réalité où tout semble figé, délavé, mort et surtout, sans âme. Fuyez aussi loin que vous pouvez ou alors prévoyez un bon tube d’aspirine pour soigner la profonde nausée que provoque LE PREMIER VENU !
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    219 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2008
    Le titre du nouveau film de Jacques Doillon prête à en jouer. «Le premier venu» (France, 2007) en vient au premier, revient à la primauté du cinéma. Ce fondement essentiel auquel retourne Doillon n’est autre que la narration, la faculté de raconter des histoires. Du théâtre d’ombre qui inspira Platon au film de Doillon, l’art de la projection s’est essentiellement destiné aux intrigues. Le film se voue au récit pur et simple. Rarement ces deux qualités ont procuré autant de plaisir, nourri autant de satisfaction. Doillon dans la contamporanéité du numérique rappelle le cinéma à sa fonction primale et dillue dans l’esprit du spectateur l’essence du septième art. Dans son respect de l’originel, sa tentative de sourdre de l’usuel le liminaire, Doillon se fait aider de ses acteurs et de leurs personnages. Motivés par le désir de retrouver ce qu’il y avait en premier, les acteurs s’animent d’un jeu naïf, d’un jeu authentique qui évoque la franchise, la base de l’interprétation. Ce n’est pas au naturalisme qu’il s’adonne, non plus au mimétisme, c’est à la création, à la mise en vie ex nihilo d’un personnage. C’est foncièrement des acteurs que le réalisateur met en scène et non des comédiens, la différence des deux étant que les premiers actent, apportent à l’édifice du film, où les seconds «comédient», se griment sous les aspects d’un parangon. Les maladresses de jeu sont les pats entières de comédiens renouveaux, qui ont retrouvé un jeu de base, une interprétation sincère. Les personnages qu’ils incarnent témoignent dans le même temps ce mouvement en arrière, en profondeur. Il s’agit pour chacun de trouver à nouveau la solution de son existence, la but de sa marche. Les déambulations qui font tourner en rond les personnages et qui évoquent des danseurs perdus creusent le chemin du film jusqu’à la solution finale, la réparation des cœurs. Enfin Doillon arrive à ce dont il aspirait depuis son premier film «L’An 01», au degrés 1 du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 avril 2008
    Déception que ce nouveau film de Jacques Doillon. Ca commence vraiment bien avec une première heure étrange, et puis le scénario se perd dans des histoires de braquage et de plans minables pas crédibles une seconde. Les comédiens semblent eux-mêmes un peu perdus. L'autre problème du film est que ce "premier venu" est tellement antipathique qu'à aucun moment on n'a envie de le suivre pendant 2 heures, oui 2h05 même car le film est beaucoup trop long. Reste Clémentine Beaugrand vraiment épatante d'un bout à l'autre.
    Planques Y
    Planques Y

    1 abonné 85 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 avril 2008
    J'ai beaucoup aimé le jeu des deux garçons, le flic est vraiment séduisant avec son petit sourire en coin, et le paumé voyoux à la foi détestable et touchant. Par contre le jeu de la fille ne m'a pas semblé naturel et rend l'histoire difficilement crédible. Elle a vraiment l'air de ET chez les CHT'I.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 avril 2008
    L’indulgence qui me gagne lorsque je regarde un mauvais film (j’suis bon client ma p’tite dame) n’a pas suffi pour m’épargner de celui-ci. Ce fut éprouvant, j’en suis même sorti en colère. Plusieurs personnes sont parties de la salle bien avant la fin, d’autres n’ont pu retenir des rires nerveux et moqueurs, et quelques-uns ont soupiré de soulagement au générique. Je ne comprends pas l’approche et les choix du réalisateur. Peut-être faut-il être un spécialiste du style Doillon pour apprécier. Les meilleurs acteurs sont le père du délinquant et ce dernier, les seuls à sonner vrai, ou juste, enfin seulement dans une ou deux scènes. Le reste n’a aucun intérêt et me semble bien loin de toute réalité ou réalisme.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 avril 2008
    Il faut être prêt se laisser bercer par le langage précis des personnages et pouvoir passer au-dessus d'une certaine théatralité de l'action.
    Mais ici Doillon filme l'amour de façon magnifique.
    Les décors sont splendides et les acteurs parfaits.
    Je ne comprend pas les commentaires qui parlent de rigidité du cadre alors que justement, tout est en mouvement, et c'est un genre de chorégraphie des corps tellement c'est beau.
    Donc un grand film, du genre dont on se rappelle et qui nous tourne dans la tête comme une chanson de vacances.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 avril 2008
    Un film profond et novateur comme on aimerait en voir plus souvent. Pas d'effet spéciaux, pas de rebondissements spectaculaires ni d'ultra-réalisme, mais des dialogues vrais et touchants qui font toute la force de ce film.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 500 abonnés 7 309 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 avril 2008
    Camille & Costa se sont rencontrés la veille à Paris et viennent d’arriver dans une petite ville dans le Nord de la France. Quelque chose d’impardonnable s’est passé la nuit dernière, jamais nous n’auront la confirmation de cet acte mais on en a une vague idée. Entre eux, une tension explosive et déchirante, Camille ne lui pardonne pas son acte et Costa veut qu’elle lui fiche la paix, pourtant cette dernière s’obstine à lui coller aux basques malgré ce qui s’est produit la veille !
    Tel deux adolescents qui se chamaillent, Jacques Doillon ne convainc pas avec son nouveau film. Pourtant l’idée de départ était intéressante, cette confrontation virulente et sincère. Hélas, la mise en scène nous assomme, trop long, trop mou, seul la direction d’acteurs est parfaite, le duo Clémentine Beaugrand & Gérald Thomassin crève l’écran et il est sans reproche !
    Des acteurs parfaits mais trop juste pour soutenir à eux deux un film de deux heures.
    dejihem
    dejihem

    127 abonnés 663 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 avril 2008
    Englué par la bien-pensante Critique Enchantée, je m'en allais, confiant, vers la salle obscure ou joue ce film.
    Mal m'en a pris : au bout d'un quart d'heure, voire quinze minutes, je m'enfuyais.
    Pourquoi ? Et bien je vais vous le dire : à cause du jeu scolaire des interprètes, de la fadeur des dialogues, de la lenteur annoncée de la progression de l'intrigue, par les belles intentions, et par le filmage rigide et digne d'un téléfilm.
    Le naturalisme a des limites !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 avril 2008
    Rarement un film m'aura autant fait baillé! que d'ennui! , le scénario trainaille et tourne en rond ; sous prétexte d'authenticité, le réalisateur a fait appel à certains acteurs qui semblent non professionnels. Leur jeu sonne faux ( l'ex femme de Costa notamment) à la limite du ridicule, les scènes s'enchaînent à l'aide de transitions bon marchés, irréellles et indignes d'un réalisateur de ce niveau (bon je vais aller faire un tour !). Les plans sont figés sans aucune recherche artistique si ce n'est ce misérabilisme qui caractérise les décors, les dialogues, le scenario et les personnages mais qui désolent et découragent définitivement le spectateur. Une belle soirée ciné bêtement gachée!
    norman06
    norman06

    323 abonnés 1 624 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 avril 2008
    Déconcertant dans sa première partie, qui laisse présager le pire (jeunisme ambiant, scénario de sous Bergman, interprétation fausse), "Le Premier venu" séduit davantage dès que Doillon cerne les ambiguités de ses personnages. Par la présence de Gérald Thomassin, l'on retrouve par instants la grâce qui entourait "Le Petit criminel" ou "La Drôlesse". Inégal.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 6 avril 2008
    Un film dans la tradition misérabiliste de l'économie de décors, c'est triste. Le jeu d'acteurs est époustouflant, surtout ses représentants masculins, mais le fond reste agacant: déplacements forcés, dialogues machés, et avalés, trop intello et théoriques. Un manque de naturel au total.
    Et puis une issue improbable de la rédemption grace aux bonnes actions d'une jeune adolsecente qui refait le monde, par son innocence et sa générosité: ca sent l'utopie de l'amour universel. On relève cette phrase: "c'est pas nous qui faisons des saloperies, c'est la vie qui nous incite à les faire". Méprisable.
    Et puis cette agression de l'agent immobilier qui n'indigne personne, puisqu'il est riche et donc coupable.
    La philosophie générale du film me révulse, la mise en scène idem, une étoile pour les acteurs masculins.
    Guiciné
    Guiciné

    142 abonnés 1 217 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 avril 2008
    Film me semblant totalement surréaliste, que ce soit par le scénario incohérent et les dialogues complètement risibles, certaines scènes en deviennent quasi burlesque. Un ratage, dommage car Doillon nous a souvent habitué à beaucoup mieux.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 avril 2008
    “je ne peux travailler avec un scénario que si je n’y vois pas trop clair, lorsque je suis intrigué par quelque chose ou quelqu’un qui m’échappe en partie" explique Jacques Doillon dans le dossier de presse du Premier venu. Une chose est certaine ce n’est pas qu’en partie que le film lui est échappé, mais dans sa totalité.
    Et c’est pour le plus grand bonheur des cinéphiles qui pourront découvrir dans les salles le film le plus drôle et le plus décalé de ce premier trimestre :pas une seule lumière qui mette en valeur une image, pas un mouvement de caméra pertinent, pas un déplacement de comédien dans l’espace cohérent, pas un enchaînement de séquences qui raconte une quelconque intrigue, pas un dialogue qui sonne juste, pas un comédien bien dirigé, pas une seule scène à laquelle on puisse adhérer, tellement tout est ridicule et affligeant.

    Mais le tout donne quelque chose de métaphysique que les frères Farrelly n’auraient pas réussi à faire en un million de films. Comme quoi, au bout de 40 films, Jacques a compris au moins une chose, c’est dans la comédie qu’il trouve le meilleur de soi-même.
    Oui, d’accord, j’ai eu l’impression de m’être fait tirer 10 euros en sortant de la salle, mais, après tout, je me suis dit qu’après ça le cinéma français avait touché au plus bas et qu’il ne pouvait que remonter la pente.
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