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    Valse avec Bachir
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    4,1
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    605 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 novembre 2009
    Si vous ne l'avez pas encore vu, précipitez vous!
    Le massacre des camps de réfugiés Palestiniens vu par un ancien soldat Israélien qui l'a occulté de sa mémoire et recherche à se souvenir.
    Un sujet fort et difficile mais extrêmement bien traité.
    Ni pro-Israël, ni pro-palestinien.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 janvier 2009
    remarquable !, cérébral et vibrant. La dure réalité de la guerre qui aboutit toujours à la folie des hommes. Un film construit comme un documentaire, et curieusement la force des images d'animations nous amène encore plus loin dans la réalité, (bien plus fort que toute les images du dernier massacre à Gaza filmer pour les yeux voyeurs de la messe dangereuse et obscène du journal télé de 20 heures) vous comprendrez pourquoi!. Une véritable leçon de cinéma qui méritait au moins un prix au festival de Canne.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 juillet 2008
    Valse avec Bachir est un film bouleversant, complètement transcendé et d'une force primale tout simplement incontournable. En choisissant de mettre sa mémoire en image de façon si inspirée, Ari Folman réalise le tour de force de garder toute l'émotion d'un jeu d'acteurs tous irréprochables tout en donnant à l'ensemble de son oeuvre une beauté percutante et intemporelle. Cette quète de la vérité et de la mémoire est incroyable, passionnée dans son questionnement et passionnante dans ses réponses, dénuée de tous les artifices propres aux pseudo-films coup de poing, tout simplement sublime; sans cesse le travail effectué sur l'image nous surprend, transposant une émotion qu'il arrive à sublimer pour faire de ce film un moment intense et vertigineux du plus pur et plus honnête cinéma. Certaines scènes, comme la baignade face à Beyrouth en proie aux massacres, seulement éclairée par les lueurs lancinantes des fusées éclairantes, puis la rencontre avec la masse de veuves éplorées, sont simplement renversantes, portées par un morçeau de violon qui donne la chair de poule.
    Un film exceptionnel, incontournable, comme on aimerait en voir plus souvent dans les salles obscures.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 juillet 2008
    très beau film. peu habitué à ce genre d'animations, belle ambiance visuelle. Le jeu de couleurs, l'ambiance sonore qui évolue de la légèreté vers la gravité. Un film vrai sur ce qui semble être la réalité des conflits...
    je ne connaissait pas bien cette période de l'histoire du liban, merci, merci beaucoup
    LoFF
    LoFF

    54 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 novembre 2010
    Merci à Arte d'avoir diffuser ce pur chef d'oeuvre que je n'avais toujours pas vu. Je peux dire que j'ai pris une sacré claque. De très beaux dessins, une mise en scène remarquable, des textes censés et très bien écrits. Mais aussi et surtout, une scène de fin avec des images réelles qui font froid dans le dos et donne des frissons. Je suis resté scotché pendant tout le générique de fin, c'est dire. A ne manquer sous aucun prétexte !
    Freeman31
    Freeman31

    41 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 août 2010
    Je viens de voir ce film en DVD 2 ans après sa sortie. J'en suis ressorti bouleversé. Je suis tombé sous le charme du graphisme, de l'animation et d'une manière générale de esthétique du film. L'histoire racontée est bouleversante. Les personnages sont très attachant. Le le final (que je ne révélerai pas) m'a littéralement scotché.
    Bref, je le recommande chaudement.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 juin 2008
    Ce film est en effet une valse. Valse avec Bashir, valse avec les personnages, mais valse avec la mémoire, la guerre et enfin valse avec le spectateur. Ou comment rendre l'horreur, le traumatisme, l'indicible, par une danse du réel, par une marche ennivrante à travers le rêve et la lente reconstitution du souvenir jusqu'au surgissement du réel dans sa brutalité, dans sa férocité et sa froide exposition. Voilà ce que nous fait parcourir ce film sur près d'une heure et demi, en nous bouleversant de la première image à la dernière. Des chiens aux yeux enflammés, crachant de haine et de désir de vengeance à cet atroce panorama d'images réelles sur fond de bruit sourd, le spectateur se trouve agrippé, empoigné de force, entraîné dans cette valse aux émotions, d'un bout de rêve à un bout de réalité, happé par ce spectacle hypnotique, qui ne prend fin que bien longtemps aprés le générique. Ari Folman trouve avec l'animation un moyen privilégié d'exprimer l'inexprimable, de faire éclore la vérité sans la trahir, de rendre poétique l'effroyable. Tout comme le cinéma est une illusion qui dit vrai, Valse avec bashir nous plonge dans une beauté irrélle (l'animation), pour nous confronter à une réalité inaccessible autrement. [...].bientôt, l'animation elle-même s'échappe, se dilue tout comme la musique, et la violence de l'image abrupte nous assaillit, tout à coup. Finie la fuite par le songe, finie l'illusion du langage, finie l'amnésie, c'est la mort qui est là, face à nous, qui défile et qui crie. Ces cadavres inutiles, ces humains piétinés, nous les voyons, nous impuissants, eux massacrés, résultats d'une guerre absurde qui n'a pas fini de durer. Un petit garçon est enfoui dans des décombres, la bouche ouverte. Il n'a pas compris. Cela se lit sur son visage. Il ne comprendra pas. Le langage est inutile quand la barbarie parle d'elle même. Lui ne parlera plus. Nous non plus. Le film non plus. (Voir l'intégralité de la critique sur http://cinema-critiques.blogs.allocine.fr/)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 janvier 2009
    Un film énorme ! il y a bien longtemps que je n'avais pris un tel plaisir au cinéma ! Un film sur la mémoire sur la guerre plus particulièrement Beyrouth et les camps palestiniens de Chabra et Chatyla . Un film d'animation mais tellement réel que l'on oublie que c'en est . Un chef d'oeuvre à tout point de vue de la forme et du fond .!
    chrisz_gt
    chrisz_gt

    2 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 juillet 2008
    Le style narratif est surprenant mais on est captivé.
    C'est un film tres beau, très touchant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 juillet 2009
    excellent film/documentaire d'animation, ce n'est pas courant ce style la, il fallait osé et c'est réussi... le réalisateur nous embarque dans une reconstitution de ses souvenirs datant de la guerre du Liban à laquelle il a participé, on découvre peu a peu ce que sa mémoire lui cache... Film intelligent et utile pour comprendre ce qu'il s'est passé durant cette guerre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 juillet 2008
    Ce film mérite bien 4 étoiles: le sujet traité, la narration, les dessins etc.

    Pour pérsepolis(qui est bien certes) il y a eu tout un cirque médiatique, Cannes, Oscar etc. alors que je trouve ce film plus engagé, il a été complétement ignoré de la part des festivals.

    En attendant les les cérémonies, ce film mérite bien un Oscar.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 juillet 2008
    Un documentaire étonnant dans sa forme. Si le choix d’un mode graphique par ailleurs très esthétique permet à la fois d’effectuer de magnifiques digressions poétiques et d’atténuer la violence de la réalité, la portée du témoignage n’en reste pas moins très forte et émouvante. Cette œuvre très réussie fournit une pièce au puzzle qu’est le conflit israélo-arabe, mais se pose davantage comme un plaidoyer contre la guerre, et ça c’est toujours très respectable. Le réalisateur a fait un film courageux, à rebours de la posture victimisante qui a cours en Israël, en prenant le massacre de Sabra et Chatila (duquel Ariel Sharon est désigné comme un des responsables), comme un miroir tourné vers son peuple à la tragédie du ghetto de Varsovie durant la seconde guerre mondiale. Un document politique important mais également une très belle œuvre artistique, qui aurait largement mérité la palme d’or de Cannes, mais le sujet était peut-être trop sensible, à l’heure où la situation au Liban est très tendue.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 juillet 2008
    Ce film repousse les limites du film d'animation pour créer un nouveau genre, le documentaire animé.
    Un bouleversement tant visuel(les traits sont d'une grande précision) qu'émotionnel.
    Ce film dur(certaines scènes sont crues et difficiles, la couleur dominante est le marron) donne à réfléchir sur l'absurdité de la guerre et la culpabilité
    A noter une bande originale excellente!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 juin 2008
    Un film qui fait encore réfléchir sur les absurdités de la guerre, la folie, l'ignorance de l'homme, un film plein d'humanité aussi.....
    On en sort grandi, ce qui est le propre des grands films...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 juillet 2008
    Ce film est un douloureux travail sur la mémoire : comment l'inconscient traite-t-il un évènement traumatisant, insupportable, pour l'intégrer à l'esprit d'un individu? Le cinéaste parle ici de la guerre du Liban mais la démonstration pourrait s'appliquer à n'importe quel conflit. Il y a participé alors qu'il était un tout jeune homme mais curieusement il n'en avait aucun souvenir. Son amnésie se dissipe lorsque l'un de ses anciens compagnons lui raconte le cauchemar récurrent qui hante ses nuits : les 26 chiens qu'il a dû tuer à l'entrée des villages pour qu'ils ne donnent pas l'alarme reviennent hurler sous sa fenêtre. Ari rêve alors à son tour d'un étrange bain de mer devant Beyrouth bombardée et décide d'interroger ses camarades. Tous se sont "arrangés" avec leurs souvenirs mais aucun n'est revenu indemne. Peu à peu, qu'ils évoquent des évènements graves ou de petits faits particuliers, ces hommes tissent la réalité d'un conflit qui ressemble hélas! à tous les autres. Le coeur se serre à chaque récit, à l'évocation de la mort d'un enfant dans un verger ou de cette fameuse "valse" désespérée pour traverser simplement une rue sans se faire tuer. L'utilisation de l'animation ainsi que d'une couleur dorée de crépuscule et de flammes est encore une façon de repousser l'inéluctable : Ari et ses compagnons semblent ainsi avoir participé à cette guerre comme des personnages de BD. La musique, décalée par rapport aux évènements décrits, contribue elle aussi à maintenir cet éloignement qui permet seul à la mémoire de ces hommes de supporter ce qu'ils ont vécu. A l'image de Dante, le cinéaste ne sait plus dans quel cercle de l'enfer il se trouvait autour des camps de Sabra et Chatila. Peu importe, il y était et il a vu la douleur des femmes comme sur ces images d'archives qui concluent le film. Ce retour à la réalité brute marque l'acceptation de sa part de responsabilité dans ce qui est arrivé ce jour-là : une atrocité parmi d'autres dans une guerre parmi d'autres...
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