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Film instructif et touchant, surtout sur la fin, mais qui manque de clarté pour qui ignore le contexte. J'y déplore aussi personnellement une certaine esthétisation de la violence, à la limite du mauvais goût.
Une critique dithyrambique criant à linjustice face à l'absence de ce film dans le palmarès du dernier festival de Cannes..
Je m'attendais à une merveille..
Résultat c'est certes du cinéma intelligent mais j'avoue m'être un peu ennuyé et je suis resté en dehors de ce film...
Une petite déception.
Je m'attendais à une merveille..
Résultat c'est certes du cinéma intelligent mais j'avoue m'être un peu ennuyé et je suis resté en dehors de ce film...
Une petite déception.
Quand je vois toutes ces critiques positives, j'ai l'impression d'être passé à côté du film. D'ailleurs, ce qui n'est pas complétement faux parce que j'ai franchement lutté au milieu du film pour ne pas m'endormir.
Les 2 étoiles que je donne c'est pour le dessin, la couleur, le choix du sujet et l'originalité.
Sinon je mets zéro au reste. L'animation est franchement pourri. Ca n'avance à rien, les personnages resssemblent à des robots. C'est peut-être un choix de mise en scène. Enfin bon? Les dialogues sont à mourir. Tous ces témoignages pompeux!
Quand on compare à Persepolis, où ces personnages sont si humains, si expressifs. Ici, on les suit de loin. On reste indifférent, on s'en fout.
Voilà, je vous laisse vérifier par vous même. Parce que si les cahiers du cinéma lui donne 3 étoiles, c'est que c'est un chef d'oeuvre. :-)
Les 2 étoiles que je donne c'est pour le dessin, la couleur, le choix du sujet et l'originalité.
Sinon je mets zéro au reste. L'animation est franchement pourri. Ca n'avance à rien, les personnages resssemblent à des robots. C'est peut-être un choix de mise en scène. Enfin bon? Les dialogues sont à mourir. Tous ces témoignages pompeux!
Quand on compare à Persepolis, où ces personnages sont si humains, si expressifs. Ici, on les suit de loin. On reste indifférent, on s'en fout.
Voilà, je vous laisse vérifier par vous même. Parce que si les cahiers du cinéma lui donne 3 étoiles, c'est que c'est un chef d'oeuvre. :-)
Sur un sujet grave, on pourra saluer l'originalité de ce documantaire d'animation. si le procédé est inovant, il sert cependant de porte d'entrée facile à un onirisme un peu simplet
mais omniprésent. En outre il rend particulièrement statiques les nombreuses scènes d'interview. Nul dout que ce film annoncé comme un chef d'oeuvre en laissera plus d'un dubitatif.
mais omniprésent. En outre il rend particulièrement statiques les nombreuses scènes d'interview. Nul dout que ce film annoncé comme un chef d'oeuvre en laissera plus d'un dubitatif.
L'animation est parfaite tout en étant originalement mis au service du film. La narration est agréable à suivre et remonter le fil des souvenirs du héro et de divers protagonistes est fort sympatique. La mélodie est aussi poignante qu'elle est tout en subtilité. Ne parlons des dernières images du film qui sont d'autant plus marquantes qu'elles coupent avec le reste du film....Malgré tout, rien de vraiment marquant...sans m'expliquer vraiment pourquoi, ce film reste bien mais sans aller au delà. Du déjà vu ? peut-être...
Ce film d’animation au dessin flamboyant ... Ne m'a pas plus.
A la limite du documentaire, Valse avec Bachir est un long métrage français des plus sérieux traitant de la guerre au Liban à travers une série de flash-back que chacun des personnages raconte de manière flou. La technique d’animation n’est pas des meilleurs, bien que cela donne une originalité et que les protagonistes ont des traits, le tout reste trop simple (il aurait mieux fallu éviter la 3D aussi). La B.O a attiré un peu de mon attention car celle-ci est variée, le seul point positif de cette œuvre. Le doublage français est… comment dire… ça ne colle pas du tout aux personnages et même si on s’y habitue (de force), cette VF choque tout à la manière d’un « Persepolis ». J’ai quand même bien aimé le principe de la mémoire (les explications fournies au début) mais mis à part cela, la suite m’a vite lasser. Au final ce film est rébarbatif mais en réalité c’est probablement le « genre » qui m’a déplu, l’animation française n’est peut-être pas pour moi.
Le dessin peut être stabilisant au départ... Mais j'imagine que cela a été fait pour l'effet BD. La quête du héros nous emmène dans les méandres d'une guerre qu'on a déjà oublié ici en France.
Un peu mal à l'aise par le point de vue du réalisateur, pas vraiment objectif sur l'implication (ou plutôt la non-implication) de l'armée Israélienne dans ces massacres... Ainsi tous ces soldats n'auraient été que "spectateurs"?....Cependant ce film reste un véritable electro-choc, qui ne peut laisser indifférent.
Esthétiquement magnifique. Un peu dérouté au départ par l'animation, on est finalement pris par l'histoire et le retour sur les "circonstances". Le film est poignant mais le coté documentaire avec interview fait un peu retombé le rythme. La fin, lorsque les images réelles prennent la suite à l'animation est scotchante. Cependant c'est peu être un peu too much.
Un film intéressant sur un thème peu abordé au cinéma : la guerre au Liban et le massacre de Sabra et Chatila. Le traitement, sous forme de documentaire en animation, est aussi original. Une fin bouleversante.
Si le Graphisme et les images touchent parfois au splendide, ils ne relevent pas une mise en scene souvent plate, qui espere rebondir uniquement pendant ses scenes chocs ou oniriques. Chaque interview, pas suffisament integrée, annonce la sequence à suivre, là où tout le monde sait qu'il faudra bien s'accrocher. Pornographique.
Je peux comprendre que le sujet soit suffisament grave pour ne laisser personne indifférent. Certes. Cependant, on peine à comprendre tous dans cette histoire (surtout en ce qui concerne les personnages, dont le graphisme ne permet pas toujours de distinguer le visage et dont les fonctions ne sont pas toujours bien expliquées, sans parler des noms inscrits en haut à droite de l'écran quand le soutitrage est en bas... pas facile de suivre). Le dessin animé permet de traiter des sujets trop durs, mais on oublie un peu le sens du réel. Heureusement (pour le film), les images - réelles - de la fin nous replonge dans l'horreur du 20e siècle.
Dans le même style, j'ai nettement préféré Persépolis dont la narration est bien plus fluide.
Dans le même style, j'ai nettement préféré Persépolis dont la narration est bien plus fluide.
Valse avec Bachir m'avait paru être film d'animation réfléchi, mais en réalité, ce n'est qu'un documentaire masqué d'images de synthèse peu travaillées dans l'unique but d'attirer un public jeune. Alternant entre phases de guerres et interview, il ne raconte pas grand chose. Heureusement que certaines scènes valent le coup d'œil pour leur côté artistique et que la BO tient la route.
Devant la platitude généralement constatée de la production cinématographique actuelle, tout film sortant un tant soit peu de l’ordinaire fait figure d’œuvre impérissable. Surfant sur le succès de « Persépolis », « Valse avec Bachir » propose un « doc animé », travail de réflexion sur le massacre de Sabra et Chatila.
L’originalité du traitement (animation minimaliste) n’apporte pas grand-chose au propos. Sans doute faut-il être israélien pour se sentir véritablement concerné par les interrogations qui trottent dans la tête d’un ancien soldat. Probablement le même film aurait-il pu être tourné en vidéo, avec de vrais reportages, comme sait le faire merveilleusement Arte, mais il lui aurait manqué le truc marketing qui lui a donné sa place au cinéma. Au total, un bon documentaire, un peu lourd, dont l’originalité graphique ne séduit que quelques dizaines de minutes. Reste le propos qui mérite le détour néanmoins.
L’originalité du traitement (animation minimaliste) n’apporte pas grand-chose au propos. Sans doute faut-il être israélien pour se sentir véritablement concerné par les interrogations qui trottent dans la tête d’un ancien soldat. Probablement le même film aurait-il pu être tourné en vidéo, avec de vrais reportages, comme sait le faire merveilleusement Arte, mais il lui aurait manqué le truc marketing qui lui a donné sa place au cinéma. Au total, un bon documentaire, un peu lourd, dont l’originalité graphique ne séduit que quelques dizaines de minutes. Reste le propos qui mérite le détour néanmoins.
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