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Avec un sens aigu de l'allégorie, le film interroge la capacité d'un homme à encaisser un choc (...) "Valse avec Bachir" est un film intelligent, beau et brutal.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Par sa pureté formelle, Valse avec Bashir double son précieux travail de mémoire d'une folle aisance à repousser les limites du cinéma d'animation. Eblouissant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Valse avec Bachir s'approche au plus près des visages dessinés (...) Jusqu'aux dernières images bouleversantes, qui font basculer le film du dessin animé au drame réel. Et le spectateur en larmes.
La critique complète est disponible sur le site Elle
(...) l'énergie brutale dégagée par ces dessins en mouvement restitue (...) le cauchemar où se sont trouvés plongés les jeunes soldats israéliens (...) avec une puissance d'émotion exceptionnelle. (...) un chef-d'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
(...) un choix artistique qui permet de rendre les cauchemars des soldats encore plus terrifiants (...) mais aussi d'apporter une dimension apocalyptique et surréaliste à ce film original, universel et bouleversant.
Ari Folman vient de nous faire un dessin, peut-être même le dessin de l'année. Il vient aussi de tirer un trait définitif, rageur, sur ce que l'on croyait savoir sur la frontière entre la fiction et le documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
(...) un dessin animé, construit comme un puzzle, où se mêlent interviews, rêves et souvenirs. Jusqu'à ces derniers plans où la poésie (...) laisse place à l'horreur de la réalité, épilogue dévastateur qui donne tout son sens à cette méditation sur la guerre, la mémoire et la culpabilité.
Sa [Ari Folman] quête est personnelle, et de cette dimension intime, commune à tous les témoignages recueillis, découle l'émotion spéciale provoquée par le film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Témoignages tout personnels, entremêlés fantasmes, souvenirs fabriqués, mais qui finissent pourtant par rétablir une certaine image de ce que fut cette guerre absurde.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Reconnaissons qu'il y a quelque chose à la fois d'élémentaire et de très osé dans la décision de réaliser en animation un film dont l'objet est la mémoire.
(...) Folman tient sans cesse à distance la question du réalisme et insiste (...) sur la dimension profondément (...) cauchemardesque et spectaculaire de l'expérience de la guerre.
La richesse de Valse avec Bachir tient à la singularité de sa fabrication, à sa dénonciation par l'absurde de la guerre ou au phénomène de catharsis artistique qu'il met en oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Quelques maladresses dans la représentation des personnages sont vite effacées par la beauté graphique de l'ensemble (...) Valse avec Bachir est une partition fascinante sur la capacité de la mémoire à enfuir ce qui la dérange.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le recours à l'animation s'avère particulièrement judicieux puisqu'il permet l'insertion de séquences de fiction cauchemardesques ou oniriques (...). Une démarche innovante et courageuse.
Quoi qu'on en dise ou qu'en en pense, Valse avec Bachir est un film à voir, ne fût-ce que pour la singularité de son projet, peut-être unique en son genre.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Véritable psychanalyse pour le cinéaste (...), Valse avec Bachir tend aux pays en guerre un miroir dans lequel il est difficile mais vital de se regarder.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Avec un sens aigu de l'allégorie, le film interroge la capacité d'un homme à encaisser un choc (...) "Valse avec Bachir" est un film intelligent, beau et brutal.
Chronic'art.com
Par sa pureté formelle, Valse avec Bashir double son précieux travail de mémoire d'une folle aisance à repousser les limites du cinéma d'animation. Eblouissant.
Ciné Live
Voir le site www.cinelive.com
Elle
Valse avec Bachir s'approche au plus près des visages dessinés (...) Jusqu'aux dernières images bouleversantes, qui font basculer le film du dessin animé au drame réel. Et le spectateur en larmes.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) l'énergie brutale dégagée par ces dessins en mouvement restitue (...) le cauchemar où se sont trouvés plongés les jeunes soldats israéliens (...) avec une puissance d'émotion exceptionnelle. (...) un chef-d'oeuvre.
Le Journal du Dimanche
(...) un choix artistique qui permet de rendre les cauchemars des soldats encore plus terrifiants (...) mais aussi d'apporter une dimension apocalyptique et surréaliste à ce film original, universel et bouleversant.
Le Point
Voir le site www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) un film qui est un intelligent travail de (et sur la) mémoire, une oeuvre forte, belle et utile.
Libération
Ari Folman vient de nous faire un dessin, peut-être même le dessin de l'année. Il vient aussi de tirer un trait définitif, rageur, sur ce que l'on croyait savoir sur la frontière entre la fiction et le documentaire.
Télé 7 Jours
Une pure pépite dans la lignée de "Persepolis".
TéléCinéObs
(...) un dessin animé, construit comme un puzzle, où se mêlent interviews, rêves et souvenirs. Jusqu'à ces derniers plans où la poésie (...) laisse place à l'horreur de la réalité, épilogue dévastateur qui donne tout son sens à cette méditation sur la guerre, la mémoire et la culpabilité.
Télérama
Sa [Ari Folman] quête est personnelle, et de cette dimension intime, commune à tous les témoignages recueillis, découle l'émotion spéciale provoquée par le film.
Brazil
Témoignages tout personnels, entremêlés fantasmes, souvenirs fabriqués, mais qui finissent pourtant par rétablir une certaine image de ce que fut cette guerre absurde.
Cahiers du Cinéma
Reconnaissons qu'il y a quelque chose à la fois d'élémentaire et de très osé dans la décision de réaliser en animation un film dont l'objet est la mémoire.
Charlie Hebdo
(...) Folman tient sans cesse à distance la question du réalisme et insiste (...) sur la dimension profondément (...) cauchemardesque et spectaculaire de l'expérience de la guerre.
La Croix
Valse avec Bashir (...) possède la force de ces oeuvres très personnelles, sorties de nulle part, qui prouve que le cinéma ne cesse de se réinventer.
Le Figaroscope
Une oeuvre forte et intelligente qui n'a étrangement rien récolté au dernier festival de Cannes.
Le Monde
La richesse de Valse avec Bachir tient à la singularité de sa fabrication, à sa dénonciation par l'absurde de la guerre ou au phénomène de catharsis artistique qu'il met en oeuvre.
Le Parisien
Quelques maladresses dans la représentation des personnages sont vite effacées par la beauté graphique de l'ensemble (...) Valse avec Bachir est une partition fascinante sur la capacité de la mémoire à enfuir ce qui la dérange.
MCinéma.com
Le recours à l'animation s'avère particulièrement judicieux puisqu'il permet l'insertion de séquences de fiction cauchemardesques ou oniriques (...). Une démarche innovante et courageuse.
Metro
Valse avec Bachir se regarde comme un vrai bon thriller psychanalitique, doublé d'un message anti-guerre totalement assumé.
Ouest France
Un dessin animé pour évoquer la guerre au Liban. Pari audacieux et gagnant. Le film injustement oublié par le jury de Cannes.
Positif
Quoi qu'on en dise ou qu'en en pense, Valse avec Bachir est un film à voir, ne fût-ce que pour la singularité de son projet, peut-être unique en son genre.
Première
Véritable psychanalyse pour le cinéaste (...), Valse avec Bachir tend aux pays en guerre un miroir dans lequel il est difficile mais vital de se regarder.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Cauchemardesque et audacieux.