Derniers Avis : Mad Max: Fury Road - Page 17

Suite ou arcane commerciale…Même si c'est un bon acteur, Tom Hardy n'est pas Mel Gibson….Mel Gibson crevait l'écran dans ce rôle...Film très bien réalisé mais pas à la hauteur de l'adrénaline dégagée par les Mad Max 1 et 2....le principal producteur, Brian kennedy de Mad Max 1 et 2 est décédé dans un accident d' hélicoptère en 1983…C'était l'ami et associé intime de Georges Miller sur le projet Mad Max...C'était une époque où les producteurs, souvent artistes eux-mêmes, comprenaient et s'investissaient davantage dans la vision des réalisateurs….De ce fait, Georges Miller réalisera Mad Max 3 sans pouvoir compter sur les quelques idées et conseilles avisés de son ami Brian Kennedy….Fury Road manque tout simplement de la dimension humaine et des motivations du héros de Mad max 1 et du chemin de rédemption que prend le héros dans Mad Max 2 et 3 ….Il reste que ce film est visuellement très beau, avec un Georges Miller au sommet de sont art mais avec un héros qui n'a malheureusement plus d'histoires à raconter sinon que participer à de longues poursuites….

On crie au chef d oeuvre, je me demande pourquoi.
Des scènes débiles, un scénario de 3 lignes. La fin d une époque et d une saga

Chef d'œuvrésque absolu!!! Meilleur blockbuster après "The Dark Knight"
(2008) et il y a un scénario bande de hater!!

septiemeartetdemi.com - On entame l’histoire sur une continuation de notre époque pétrophile et addict à la consommation, mais Miller nous met devant un curieux constat : le carburant, s’il est toujours aussi précieux, est concurrencé par l’eau, car le monde de Fury Road, contrairement à celui de son prédécesseur, se situe dans un monde post-apocalyptique où la survie est la priorité de tout un chacun. Alors lequel des deux liquides est-il le plus précieux ? Cela dépend des classes, et il y en a deux, sur le modèle basique de la dictature : les gouverneurs et les gouvernés. Le carburant est la ressource précieuse des premiers et l’eau est la ressource précieuse des seconds. Seul le gaspillage de l’eau est déchirant, parce qu’il n’y a qu’elle qui soit vital. Une relativisation issue des limbes d’une écriture réfléchie, qui met en abyme le scénario et bouche bien les préjugés sur les films d’action et de combat ; ne savent-ils vraiment pas nous faire réfléchir ?

Le monde continue de se développer pour le plaisir du spectateur X qui a laissé son cerveau allumé comme pour le spectateur Y qui préfère le mettre en pause. Le processus tourne autour d’un méchant politique très convenu (à savoir quelqu’un de monstrueux sauf qu’il fait ça par instinct de survie, ou par idéologie… bref, il a une excuse) mais c’est un axe autour duquel se développent la morbidité de ces corps mis à rude épreuve par l’apocalypse récente (le spectateur X peut méditer sur le genre d’apocalypse dont il s’agissait, et le spectateur Y peut admirer les tumeurs de formats variés mise en chair par les très bons maquillages) et la primativisation que cause le retour aux sources (pareillement, le spectateur X appréciera la métaphore d’un monde mourant à petit feu tandis que le spectateur Y s’amusera des insectes dégustés crus).

Le scénario ne décélèrera pas, mais l’ambiance continuera de se construire. Vous voyez venir la métaphore ? Dans le monde ravagé du film, on ne considère plus les véhicules comme aujourd’hui… et il fallait le faire, car il n’y a rien de plus coriace qu’une conception culturelle ancrée dans les mœurs. Dans ce monde, donc, les véhicules ont beau rouler sur terre, on s’y comporte plutôt comme sur des bateaux… et ça tombe bien puisqu’il n’y en a plus aucun. Pendant qu’il roule, on s’y meut, on le réalimente et on le répare. Tout le monde est pilote né ou mort-né.

Miller se fera de nombreux clins d’œils avec cet auto-remake. Mais le parallèle le plus intéressant est la folie des grandeurs qui nous fait oublier la sobriété désargentée de la version de 1979. Le traitement des couleurs rappellera celui de Pitch Black (David Twohy, 2000) qui comptait au casting un certain Vin… Diesel. Et c’est follement beau. On regarderait le film entier sans le son, rien que pour la magnificence colorée des paysages.

Outre ce détail graphique (qui constitue à lui seul une bonne part de l’ambiance quand même), le film donne tout son sens à l’expression « hurlements de moteur »… car les moteurs hurlent littéralement. La conception délirante et géniale des véhicules n’est qu’un outil pour une folie humaine qui s’embrase dans un amour sauvage de la mort… D’ailleurs le méchant muselle ses sbires avec le concept du Walhalla. L’ambiance et la sauvagerie finissent par se mêler dans le personnage du musicien qui balance du hard rock aux soldats grâce à sa guitare-lance-flammes. Oui, tout cela joue un peu avec le feu mais c’est si bien fait qu’on l’excuse, et c’est suffisamment poussé pour nouer ensemble tous les bons filins en une corde solide de divertissement qualitatif.

Au-delà de l’ambiance, le scénario a la vie dure. D’ailleurs il n’y en a quasiment pas eu. Tout a été filmé en séquence et les dialogues sont rares. Et boum, un nouvel élément germe : les alliances, qui se forment à la dure (et qui, au passage, sont métaphorisées par l’arbre – la vie – qui cède pour permettre au camion de se dégager de l’embourbement), se consolident quand les personnages retrouvent les vertus du dialogue. La discussion prend alors la place d’un procédé original choisi par Miller pour les scènes pleines de tension : il les a passées en accéléré, tout simplement.

Plus un film est bon, plus c’est difficile pour lui de franchir les dernières marches qui l’amènent à l’illusoire perfection. Et il y en a deux sur lesquelles Fury Road se casse la figure ; autant de points retirés à la note. D’abord, il ne parvient pas à raffiner le sens du sacrifice au même titre que le reste de son scénario, et la chose donne l’impression d’un moyen pas cher de faire trembler le spectateur, ce qui n’était absolument pas nécessaire puisqu’il a déjà de multiples raisons de trembler. Ensuite, il emploie le cliché gigantesque d’un combat final assez déplaisant qui gâche beaucoup la fin. Et puis l’arrière-goût qui reste la quête poursuivie par les héros n’est pas très puissant. On va mettre ça sur le compte d’ornières sur la belle route tracée par cet excellent film.

Mad Max Fury Road...
Autant vous dire que je n'attendais strictement rien de ce film vu la déception du 3ème volet et la longue invisibilité de G. Miller...Je l'ai vu longtemps après sa sortie en salles, et...que je regrette de ne pas l'avoir sur grand écran !

Ce film est simplement le meilleur film d'action sorti depuis très longtemps.
On suit les aventures du solitaire Max dans l'Australie chère à Miller et à son héros, dans un univers post-apocalyptique où l'essence devient la ressource la plus précieuse pour les gangs qui cherchent à dominer les territoires avec des meutes de voitures/motos/camions trafiqués pour allumer à la vitesse de l'éclair ou ultra blindés.

Ce qui saute aux yeux c'est le détail de cet univers que nous propose Fury Road. Le clan des War Boys est apocalyptique et ultra-violent, suicidaires comme ces fous dans le jeu Borderlands qui ne cherchent qu'à mourir au combat. Pousser le concept aussi loin que de se suicider en cas de blessure fatale, et demander à ses camarades de l'observer et de saluer sa montée au Valhalla en cas de succès de l'attaque-suicide. Des cinglés, mais avec une doctrine très bien décrite, avec une échelle hierarchique (Immortan Joe, ses enfants, Furiosa...) et des engins tous plus différents et mortels les uns que les autres.

L'ouverture de la traque nous met d’ailleurs le projecteur sur tout ce bel attirail, des camions artilleurs aux voitures d'interception, en passant par le quad géant d'Immortan, ou du truck "enceintes géantes" avec guitare électrique de branchée sur le devant.
A partir du moment où cette traque commence, le film ne s'arrêtera presque jamais à montrer les combats de Furiosa, de Max, et de Nux, un War Boy qui se mettra à prendre en empathie les reines d'Immortan ainsi que Max.

Le scénario en lui-même ne casse pas des briques, La société des War Boys est un système ploutocrate basique, Max est un peu dépassé par les évènements, la vraie intrigue est celle de Furiosa et des reines. Mais la force du film est de garder ce qui compte, d'avoir un rythme effréné, mais aussi de tisser un univers et une ambiance sur cette Fury Road.

On pouvait croire au début à un fan service des fans de la course poursuite de Mad Max 2 avec le tanker, mais plus le film avance et plus on voit que Miller s'amuse, ainsi que tout le monde à suivre la fuite de ses femmes pour leur liberté.
Un film féministe, à n'en point douter, où les femmes faibles sont aidées par la femme forte (Furiosa). On pourra même regretter que Max soit un petit peu en retrait dans ce film, mais c'était peut-être une volonté de Tom Hardy de rester le plus silencieux possible, son remplacement de Gibson avait été contesté avant la sortie du film.

Dernier petit point dont je voulais parler : la photographie. Deux scènes en particulier, celle de la course poursuite vers la tornade, et aussi la scène où Max part chercher de l'essence au loin la nuit. Quelle maitrise des couleurs de la part du chef photographie, car certaines scènes sont véritablement magnifiques.

Bref, une orgie d'action et d'aventure dans un univers très bien écrit. D'autres devraient en prendre de la graine, car même en plusieurs épisodes ils n'arrivent pas à développer ce que fait Miller en un film avec Fury Road.
Vite la suite ! :)

Film incroyablement mauvais, pas une minutes de repos, que des courses poursuites pendant 2h, le tout avec un abus d'effets spéciaux, aucune originalité au niveau de l'histoire. Juste ridicule quand on pense au budget qui a du être dépensé pour un film aussi pitoyable..Je déconseil vivement !

La première fois que j'ai vu ce film je n'étais pas très ouvert à la vision de celui-ci, je l'avais trouvé pas mal, j'étais resté assez scotché par la réalisation mais sans plus. Ce second visionnage m'a permis d'en apprécier les moindres détails et, quelle claque. Que ce soit au niveau des décors, des acteurs, des musiques, tout est maîtrisé d'une main de maître de la part de George Miller qui a attendu longtemps avant de nous offrir la suite qu'il voulait. On a le droit à des scènes d'actions rarement égalées, on est en apnée pendant de longues minutes et toujours dans des décors avec des couleurs magnifiques. Nul besoin de beaucoup de scénario, ni de dialogue, on comprend tout grâce à ce que l'on voit, il y a tout de même un message très puissant dans le fond. Enfin bref, oubliez ce que vous savez, oubliez les incohérences et laissez vous juste glisser dans un nouvel univers cinématographique, je suis forcé de constater que cette oeuvre est un vrai petit bijou à apprécier sans aucune modération. "Oh what a day, what a lovely day !!"

Ce film est tout simplement excellent. Certe un scénario assé moindre mais suffisament bien. De superbe acteurs avec un méchant génial. Scène d'actions superbement filmé avec une musique qui colle bien a la situation (c'est mon avis aprés)

Visuellement je me suis prise une claque en pleine face ! Les effets spéciaux, les décors, les costumes, les cascades, tout était bluffant et grandiose (et je pèse mes mots). J'avais l'impression d'être devant un balai de voiture et de moto parfaitement orchestré à la seconde près, les scènes d'actions, les cascades sont tellement impressionnantes que ça en est presque dingue. De voir ces motos faire des pirouettes les unes après les autres, les voitures zigzaguer et ces hommes se balancer sur les perches c'était impressionnant, on en prend plein les yeux pendant 2H. On est tenue en haleine tout le long du film et on ne s'ennuie pas une seule seconde.

Charlize Theron et Tom Hardy jouent super bien leur rôle, surtout Charlize Theron qui vole la vedette à tout le monde grâce à son charisme et à sa prestance. Les autres acteurs/actrices sont aussi parfaits dans leur rôle.
La musique était vraiment excellente, que ça soit le rock (que j'apprécie pas forcément) ou les autres musiques totalement épiques, tout était parfait de côté là.
Je n'avais jamais vu un seul des Mad Max avant ça mais je connaissais brièvement le thème du film et j'avoue qu'au début (les 30 premières minutes) j'ai été vraiment déconcerté. Je me suis demandé c'est quoi ce film complètement dingue ? C'est vraiment très spécial et particulier, mais une fois qu'on est habitué au truc ça va tout seul et on peut apprécier le film à sa juste valeur.

Bon, effectivement je dirais comme tout le monde que l'intrigue est vraiment très très simple, ça tient sur un post it (un groupe de femme asservis par un homme, qui s'échappe pour aller dans un endroit plus sûr où elles seront en liberté. Elles se font donc poursuivre dans le désert par les hommes qui veulent les récupérer). Si on enlève le côté visuelle et esthétique du film il ne reste rien, mais justement le film compense l'intrigue faible par de l'action, de l'esthétisme et du visuelle qui font oublier la légèreté de l'intrigue. Et il y a quelques incohérences et invraisemblances qui ne sont pas dérangeantes en soient mais qui font tilter du genre à quel moment ils boivent et mangent ? Les femmes ont de l'eau ok mais pas ceux qui les poursuivent. Max se fait pomper son sang tout une journée (peut-être plus par ce qu'on ne sait pas combien de temps il était une poche de sang) et pas un seul moment il ne titube ou est étourdie, le gars pète la forme. Pareille pour Nux qui était à l'agonie même avec le sang de Max mais qui pourtant entame une course poursuite de dingue à travers tout le désert et ça jusqu'à la fin. Je parle même pas d'Angarade qui est à 8 mois de grossesse mais qui traverse le désert dans des conditions chaotiques et qui a 1 contraction à peine !

C'est pour le scénario simplet et les incohérences que je n'ai pas mis 5/5 mais 4,5/5. Excellent film tout de même.

Trente ans après l'épisode 3 de sa saga, sorti en 1985, George Miller revenait plus en forme que jamais avec son Fury Road, porté cette fois non plus par Mel Gibson mais par Tom Hardy et, surtout, par Charlize Theron dans le rôle d'une impératrice rebelle qui s'impose ici quasiment comme le personnage principal. L'univers post-apocalyptique, survolté, foisonnant, baroque, vrombissant, délirant, désespéré, punk, mécanique, désertique du cinéaste australien est unique en son genre, rendant son blockbuster clairement singulier, mais ne parvenant pas toujours à éviter la saturation d'images et d'action. Il n'empêche qu'il paraît difficile de ne pas s'incliner devant la puissance et l'originalité d'un univers qui contient à la fois l'essentiel de la trilogie originelle tout en redéfinissant ses contours en les rendant plus actuels, plus poussés, plus fous encore.

30 ans après geores Miller est toujours en forme et nous offres une prestation monumentale où scènes d'actions se mélangent à merveille avec l'histoire qui est simple mais très efficace. Georges Miller montre que c'est lui le patron du cinéma d'action et il à bien raison, il réussi à reprendre tous les points positifs de la trilogie de base mais aussi les points négatifs qu'il améliore pour donner ce chef d'oeuvre. La musique est juste et on retrouve le cadrage en plan large qui fait de mad max fury road un grand film d'action mais aussi un film avec plein de clein d'oeil à la trilogie de base. Les acteurs sont superbes . Que dire de plus , le film est une pépite et apparait comme une réelle démonstration. Je n'ai plus qu'une seule chose à dire les autres réalisateurs devraient prendre des notes et plus réfléchir à LA MISE EN SCÈNE avant de faire des "films d'action"

Le plus impressionnant de la saga, je n’en reviens pas de l’émotion, de l’action non stop, rapide et explosive, des scènes époustouflantes jusqu’à l’irrationnel, tellement que c’est beau, la tragédie romantique des personnages m’ont émerveillée, de la philosophie, et de la poésie pour conclure ce chef-d’œuvre tant attendu.

Un chef d'oeuvre d'action ! Mad Max Fury Road bénéficie d'un univers unique et génial , d'une esthétique dingue , et d'une action singulière où elle est présente tout au long du film. À chaque moment on sent les personnages en danger et on comprend les enjeux. Avec ces couleurs jaunes et Orange et sa réalisation parfaite , George Miller arrive à créer des émotions juste grâce à des images.

Et ben ça si je m'attendais !!! Jamais j'aurais cru que George Miller ressusciterai "Mad Max" avec ce film-là. Moi qui était pas spécialement fan de "Mad Max", là je dois dire qu'il m'a eu. Autrement dit, même si je considère pas ce film comme un chef d'oeuvre et même si ça en ait pas loin, j'ai vraiment adoré "Mad Max Fury Road". D'habitude je trouvais que les films d'actions s'étaient un peu ramollis niveau scénario et niveau action, mais là, chapeau !! GG !!! Ça fait plaisir de voir un film d'action bien réalisé, cohérent, avec des acteurs qui se donnent à fond. Justement, parlons des acteurs : Tom Hardy qui remplace Mel Gibson dans le rôle de Max est vraiment au top. Il dégage un côté sérieux, brutal et combatif et ne surjoue pas. Charlize Theron fait de même, extrêmement convaincante dans son rôle de femme rebelle, et les autres acteurs sont très bons aussi, y'a vraiment pas de problème à ce niveau là. On retrouve avec plaisir l'univers de "Mad Max", avec les endroits désertiques, les forteresses et les véhicules blindés, et tout ça en meilleure qualité et avec quelques trucs nouveaux en plus. Le scénario du film n'est pas trop novateur, mais reste cohérent et bien écrit. Le seul petit défaut que je pourrais citer c'est la course poursuite qui est un peu longue, mais sinon, le film est vraiment génial, j'ai bien pris mon pied devant, c'est l'un des meilleurs films que j'ai pu voir en 2015, et je conseille fortement de le voir, surtout aux fans de "Mad Max" qui auront le même avis que moi (enfin j'espère...)

J'ai vu ce film pour deux raisons: Mad Max est une série mythique et Fury Road en particulier à été acclamé par la critique en 2015.
Je n'ai rien contre Tom'Hardy ou Charlize Theron, mais ce film m'évoque une étrange mixture entre un Star Wars ou sur Tatooine un groupe de rebelles serait poursuivi par un Immortan Joe en parfait seigneur Sith... ou en un des Treize (dirigeants de Qarth dans Game of Thrones) à la poursuite d'esclaves en fuite...
Par contre j'ai adoré la prestation de Nicholas Hoult que j'ai vu jouer il y a peu dans Sand Castle.
L'ambiance délirante de ce film est plaisante dans l'ensemble bien que cet univers soit un peu trop caricatural et exagéré à mon goût.