Derniers Avis sur Gallow Walkers

Il y a des acteurs qui ont un peu de mal à terminer « proprement » leur carrière. Wesley Snipes, acteur iconique de la fin du siècle dernier, dans les années 2000 va s’embourber dans des productions moyennes voire médiocres à l’image de ce « Gallow Walkers ». J’ai peu d’appétence pour ces fims à l’esthétisme clinquant. C’est peut-être pour masquer la faiblesse du scénario. Voilà un téléfilm qui mélange western, horreur, gore, zombies… Les acteurs sont soit laids (l’esthétique du genre spaghetti), soit très beau à l’image de Fabulos (Riley Smith) et d’Angel (Tanit Phoenix) et sa plastique irréprochable ; le réalisateur usant et abusant de certains angles à hauteur de poitrine sur ces belles dames. « Gallow Walkers » est un film prétentieux, creux et sans intérêt.

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Franchement le pire film que j'ai vue avec wesley snipes mou très peu d'action un vrai nanar qui mérite 0 sur 5

L'intrigue de Gallow Walkers est une histoire classique de vengeance. Snipes veut venger sa bien-aimée qui a été violemment violée par un gang alors qu'il était parti avec sa mère adoptive vendre des peaux d'animaux. Ils l'ont apparemment violée collectivement et l'ont laissée complètement indemne au point que le viol n'est connu que parce qu'elle est tombée enceinte. Puis pour une raison que l'on ignore en tant que public lorsque Snipes l'apprend il disparaît pendant 5 ans. On suppose que c'était pour traquer les violeurs mais ce n'est même pas expliqué dans le film il part simplement pendant 5 ans. Pendant ce temps elle meurt des suites de l'accouchement peut-être que s'il avait été là pour la soutenir elle aurait pu vivre je n'en sais rien mais peu importe c'est vraiment un film trop stupide pour moi...

Voilà un film qui proposait un postulat de départ souhaitant faire un mélange des genres, à savoir ici le western et les morts-vivants (comment ne pas penser au jdr "Deadlands" ?!). Mais lorsque j’ai vu que le héros était incarné par Wesley Snipes, j’ai eu comme une sorte d’épiphanie orgasmique qui a germé dans ma tête : la rencontre entre Sergio Leone et "Blade" !! C’est alors avec grand entrain que je débutais le visionnage de "Gallow Walkers", entrain devenant vite un plaisir immense après avoir vu cette première folle scène en plein milieu du désert où le héros règle leur compte à des despérados portant des tenues pseudo-religieuses entièrement rouges semblant s’être évadés de l’univers surréaliste d’Alejandro Jodorowsky (la référence à "El Topo" et "La Montagne Sacrée" est évidente !!) ; le tout se terminant sur une superbe exécution gore qui m’a fait trembler et laisser imaginer le meilleur pour la suite…malheureusement pour moi, cette fulgurance du début ne sera que la seule et unique scène potable du film puisque tout le reste est tout simplement naze jusqu’à la fin. Le film prend tout son temps avant de nous donner les premières explications, ce qui rend le récit super lent et ultra contemplatif ; pour finir par nous achever par la révélation du « pourquoi/parce que » totalement loufoque et nébuleux !! La mise en scène est quelconque et n’arrivera jamais à retrouver le sublime de la première séquence ; pire elle en fera des tonnes notamment la référence à Sergio Leone et son fameux gimmick du regard avec des plans resserrés sur les yeux dont elle abusera jusqu’à nous écœurer. On ne parlera même pas des mystères/incohérences qui joncent le récit ( spoiler: Pourquoi le héros a-t-il choisit ce jeune ? A quoi sert la prostituée ? S’il est le seul à pouvoir les tuer, pourquoi les bad boys le poursuivent pour le tuer plutôt que de le fuir ?
). Et puis niveau casting y’a pas grand-chose à sauver non plus : Kevin Howarth est totalement en roue libre et ridicule en méchant albinos, Tanit Phoenix Copley ne fait rien d’autre que de montrer ses seins (mains bon sang : à quoi sert son perso ??!!) et quand à Wesley Snipes, malgré son sympathique look cuir dreadlocks collier de barbe blanche, on a juste l’impression qu’il est là pour payer son avocat pour le procès de fraude fiscale qui a failli l’empêcher de faire ce film (d’ailleurs, il aurait peut-être mIeux valu pour lui !!). Bref, "Gallow Walkers" aurait pu être une série B sympa avec un meilleur traitement… malheureusement il demeure juste une représentation cinématographique de la traversée d’un désert : c’est interminable, douloureux et on se demande si on arrivera à survivre jusqu’au bout !!

Mélanger le western tendance Léone avec les films de zombie ? pourquoi pas, le cinéma peut tout se permettre ! Sauf qu'ici ça ne fonctionne pas : Scénario confus à la limite parfois du compréhensible, tension quasi inexistante, acteurs masculins à la ramasse, les actrices elles s'en sortent mieux (la slovaque Simona Brhlikova est très belle mais le décolleté de la sud-africaine Tanit Phoenix, je vous assure que c'est quelque chose). Pourtant malgré la descente en flamme dont le film a fait l'objet, ce n'est pas nul, la mise en scène existe et certains plans sont bien imaginés, par exemple la scène de la pendaison aurait pu être géniale s'il elle avait été mieux maîtrisée. A voir comme une curiosité ou comme un film pop-corn

À part les scènes d'action il n'y a pas grand-chose dans ce film. L'histoire est bien trop plate et les personnages ne sont pas attachants et assez développés. Sinon ça se laisse regarder, mais si vous attendez un chef-d'oeuvre passez votre chemin.

Une pincée de Mortal Kombat dans un univers ludique de Mad Max Spaguetti, pour un résultat qu'on aurait préféré gore et désopilant, mais qui ne retient aucune attention par un sincère manque de savoir faire ou d'engagement.

Un NAVET ! S'il y a des styles que l'on ne doit pas mélanger, ce film en est un exemple ! Gavé de longueur, des répliques bidons... quelques effets à la Sergio Leone tentent de relever le niveau mais sans grand résultat...

La mise en scène n'a rien de désastreuse, l'idée de l'histoire n'est pas particulièrement mauvaise, l'univers de Gallow Walkers au premier abord semble une bonne trouvaille (un western fantastique), les maquillages et les costumes sont réussis n'ayant rien de ridicule et surtout Wesley Snipes toujours charismatique a un rôle de rédempteur qui lui va comme un gant donc vous me dites voilà un bon film. Malheureusement non Gallow Walkers ne fonctionne jamais, on s'ennuie même devant ce qui aurait du être une dynamique voire trash série B peut-être est-ce du au fait que le réalisateur singe trop Sergio Leone quoiqu'il en soit il n'y a aucune atmosphère palpable dans ce film.

ça ressemble à un western spaghetti, ça a des décors de western spaghetti.... mais c'est encore plus nul .
scénario incohérent, histoire débile, acteurs à la peine... Wesley recycle du "Blade".....

C'est vraiment pas terrible. On sent l'intention de faire du Tarantino mais c'est tellement foiré que ca devient drôle...

Dans les tiroirs depuis presque dix ans pour finalement sortir dans l'indifférence la plus totale, Gallow Walkers est une perle en matière de nullité filmique. Mis en scène par Andrew Goth (le pourtant peu dégueulasse Cold and Dark), le long-métrage est un vaste mélange de Blade et de Priest où un cow-boy solitaire et ténébreux, maudit par God himself, traque des revenants en plein Ouest sauvage. Sur le papier, c'est pas original mais ça a de la gueule. À l'écran, c'est l'une des pires catastrophes qu'il vous sera donné de voir... Le cow-boy à la mâchoire serrée, c'est Wesley Snipes, unique revenant crédible du film, l'acteur continuant de cachetonner dans tout ce qui bouge depuis la Namibie (lieu du tournage) pour éviter la taule suite à ses fraudes fiscales. Les revenants du film, eux, sont d'une piètre qualité : visuellement hideux derrière des maquillages approximatifs, déblatérant des dialogues aberrants et pourvus de motivations incertaines, ils complètent un scénario tout aussi débile où, parsemé de répliques grotesques et parfois incompréhensibles et de combats mous du genou, on se fait royalement ch***. Filmé comme un ado qui vient d'avoir son premier portable avec caméra, le film enchaîne ses séquences plus inutiles les unes que les autres sans aucun rythme ni style. Pendant plus d'une heure trente, on reste affalé dans son canapé, plissant les yeux pour tenter de comprendre quelque chose, tapotant des doigts notre bidon, se surprenant à bailler pour la trentième fois consécutive. Partant d'un concept alléchant (un western où le héros transforme en zombie tous ceux qu'il tue), Gallow Walkers reste dans l'ensemble un nanar à peine regardable, interprété sans aucune conviction et d'une lenteur pachydermique. À éviter.

Gallowwalker a été méchamment traité sur tous les sites que j’ai pu fréquenter, de sorte que j’avais quelques doutes à me lancer, d’autant que mes expériences de western teinté de fantastique, avec les échecs de Borrowers et de Jonah Hex ne m’enchanté pas vraiment. Je me suis lancé, et j’ai découvert un divertissement moyen certes, mais loin d’être aussi lourdement raté.
Au niveau des acteurs on trouve un Snipes un peu timoré peut-être. Surement est-ce l’accumulation de petits films sans grandes ambitions, qui, lorsqu’il lui faut nous ressortir un jeu plus solide et charismatique nous laisse un peu sur notre fin. Disons qu’il se débrouille correctement mais sans plus. Kévin Howarth nous joue un méchant avec efficacité. Il échappe au surjeu caricatural qui aurait pu accompagner son personnage, et c’est une bonne chose, d’autant que l’acteur ne manque pas d’un certain charisme et d’un charme morbide aux limites du vampirisme qui sied bien à son rôle. Riley Smith est un second couteau convenable, et il y a quelques personnages dans les seconds rôles assez piquants. Malgré tout dans l’ensemble on reste plus sur un casting DTV de luxe que sur un vrai casting de cinéma digne de ce nom.
Le scénario a de bonnes idées. C’est certain, mais globalement bien mal utilisées. En fait le métrage semble très hésitant quant à la posture à adopter. Sérieux ou second degré, détournement des codes du western classique ou gros délire déjanté à la Machete, Gallowwalker est toujours entre deux et il ne penche finalement jamais pleinement dans un sens ou dans l’autre, ce qui créait une drôle d’impression. En effet à une séquence ultra-violente totalement grand-guignolesque peut succéder un long moment de vide à la Sergio Leone, suivit d’un gros délire avec un type et sa peau de reptile puis d’un viol montré avec sérieux. En clair c’est un peu le micmac. Cela se ressent aussi dans une narration trop saccadée, qui a beaucoup trop recours aux flashbacks, et dans le rythme qui joue aux montagnes russes. Gallowwalker peut-être très prenant par moments, puis ensuite presque insipide. Dommage.
Visuellement Gallowwalker rattrape un peu le coup. Les décors naturels d’abord sont une franche réussite, offrant une ambiance très particulière au film. Une idée de bout du monde, voir même de monde hors du temps et de l’espace bien agréable. Même si la reconstitution d’époque est déjà plus pauvre et limitée, disons que sans être trop regardant cela n’est pas un problème. La photographie est aussi bien plaisante, et offre quelques scènes même très belles en jouant sur les couleurs, à l’image du premier duel de notre héros. La mise en scène est plaisante, le réalisateur toutefois tend à peiner à éviter les répétitions. Les duels sont un peu toujours les mêmes, et les fusillades par ailleurs manquent de cohérences parfois. C’est très sensible lors de l’assaut de la ferme. En revanche belle exploitation des décors naturels, et il y a un certain sens esthétique, avec de vraies recherches pour donner du style au métrage. Je n’ai pas craint du tout. Alors Gallowwalker gère aussi assez mal l’horreur visuelle. En fait elle sent souvent l’élément racoleur. Ainsi Snipes arrache des têtes avec la colonne vertébrale ! En gros elle n’est pas crédible, elle est souvent excessive, à la Machete un peu, sauf que le film n’ayant pas vraiment choisi son ton, justement cela fait assez tache au milieu d’un ensemble plus sérieux. Malgré tout les effets sont plutôt bien fait, mais le début reste la partie la plus sanglante. Quant à la musique, ce n’est pas qu’elle est mauvaise, mais comme il n’y a qu’un thème il est utilisé un peu n’importe comment. Tantôt il conviendra bien, tantôt il sera totalement décalé par rapport à ce qui se passe.
Au final Gallowwalker est un film moyen, qui ne manque pas d’une certaine allure, d’une atmosphère plaisante, mais qui déçoit vraiment par une histoire sans réel enjeu, par un rythme molasse, par un coté foutraque peu convaincant. Globalement ce film est meilleur que Jonah Hex, car il est déjà moins prétentieux et visuellement c’est plus soigné et raffiné, mais c’est vrai que l’ensemble aurait pu être, avec une réelle consistance, une excellente surprise. Passable donc.

Effectivement c'est pas terrible il y a un univers qui est pas du tout exploité, le cadre est pas mal mais c'est tout le scénario est très faible, le rythme lent et les dialogues inexistants. Les acteurs n'ont pas l'air d'y croire non plus.

Juste nul!!En plus de tous les points négatifs énumérés dans les critiques précédentes, je tiens vraiment a ajouté une mention spéciale au montage...surement le pire que j'ai vu...!!
Passez votre chemin...