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AMCHI
5 914 abonnés
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1,0
Publiée le 4 mai 2013
Le Deal n'est pas très réussi, Mocky a fait tellement mieux et plus savoureux ; le scénario est correct (le départ est bon mais par la suite l'histoire n'évolue pas) mais l'aspect je-m'en-foutiste et l'interprétation trop cool des acteurs desservent le film, parmi eux il y a Alison Arngrim (Nelly la peste dans La Petite maison dans la prairie) jouant de manière assez agaçante avec ses rires d’hystériques (son personnage rit depuis la mort se sa mère). Petit budget est ici synonyme de petit film, on décroche assez vite. Cette comédie policière manque de piquant malgré un côté iconoclaste assumé.
Quand on a peu de moyen, que ce soit au niveau de la réalisation, des acteurs, des costumes, des décors, des bruitages, de la mise en scène ou tout simplement, pour lensemble dun film, faut-il se résigner à le réaliser ? A un certain stade, il en serait préférable, car Le Deal est loin, mais alors très loin de ce que lon pouvait attendre de la part de Jean-Pierre Mocky. Doté dun scénario abracadabrant et accompagné tout au long par des acteurs qui feraient mieux de reprendre des cours de comédie, Le Deal est une suite invraisemblable dincohérences aux côtés dacteurs pourtant confirmés mais qui font peine à voir, notamment Alison Arngrim (la petite peste de Nellie Oleson, dans la série télé à succès : La Petite maison dans la prairie), avec à ses côtés Jackie Berroyer, Jean-François Stévenin et Jean-Claude Dreyfus qui par moment arrive à se démarquer de ses compères ! Même Renaud, qui fait plusieurs apparitions dans le film est dune inutilité flagrante. Si bien quau final, on a plutôt la mauvaise impression davoir perdu notre temps, au milieu de toutes ses élucubrations absurdes et sarcastiques !
Serait-ce devenu un signe de fêlure latent ou de santé d'apprécier ce dvd en 2008 ?... Bouffée d'oxygène que cette outrance de Mocky, réservée aux seuls initiés de manière délibérée, et tant pis pour le public "raisonnable". Il y a un côté du journal "Hara-kiri" apparent (rire du pire) mais je perçois en filigrane beaucoup de tendresse pour le genre humain. C'est impitoyable certes, poésie et cruauté sont ici mariées, mais vers l'improbable (cette porte qui pleure comme un nouveau-né quand on l'ouvre, j'ai mis du temps à réaliser...), bref, c'est carrément frappadingue mais Ô combien délicieux pour qui verse dans l'auto-dérision, on imagine le plaisir que les acteurs ont pris sur le tournage !
Quelques rares passages réussis avec la présence de bons acteurs mais il n'y a clairement pas de fond dans le scénario alors que c'est encore là qu'on attend un Mocky.
A déconseiller fortement si l'on n'est pas un fan inconditionnel de JP Mocky. Des personnages bizarres, hors-normes, bien souvent grotesques et très laids, voire même, malades mentaux, des situations immorales et absurdes, etc ..., etc ..., enfin toujours la même chose ! Certes on rit parfois, mais ce cinéaste ne se renouvelle pas ! Quant à son équipe de seconds rôles attitrés (Jean Abeillé, et tous les autres, ...), et Alison Arngrim aussi, ils nous fatiguent, tant ils jouent mal, que s'en est insupportable. Seuls Jacky Berroyer, Jean-François Stévenin, Patricia Barzyk et Jean-Claude Dreyfus, peuvent prétendre être des acteurs dans ce film !
Comme si Mocky s'était adapté aux standards des comédies policières le temps d'un film, on retrouve dans celui- ci les caractéristiques d'un tel film avec la griffe du réalisation plus discrète bien qu'indiscutablement présente. Toujours pas d'un grand intérêt mais plus distrayant que d'habitude.
Du Mocky pur jus. Les « gueules » comme le cinéaste les affectionne sont au rendez vous avec Stevenin, Dreyfuss et le génial Berroyer qui pourrait être le Francis Blanche des années 2000. La farce aussi ne manque pas à lappel, pas davantage que le coup de massue asséné à la connerie humaine, donc Mocky est encore et toujours linfatigable pourfendeur depuis des décennies. On nage en plein décalage comme souvent chez ce sympathique anar. On peut regretter un laisser aller dans la mise en scène et le rythme. Sur un tel sujet, on aurait bien aimé retrouver le Mocky très inspiré du « Furet » ou « Agent Trouble ». Mais le plaisir de retrouver ce rendez-vous quasi annuel avec peut-être le seul cinéaste honnête du paysage français ne se boude pas
Les deux premières étoiles, par principe : 'le deal' est un film de JPM. La troisième car je me suis bien amusé. J'explique : tout heureux de ne pas être obligé d'aller au Brady (j'adore ce ciné j'y ai vu les meilleurs films d'horreur en 1960 et quelques), car j'habite assez loin, je me sui rendu aux montparnos le dimanche à 3 euros cinquante. Le salle était presque pleine (celà fait drôle) car beaucoup étaient des recalés des autres films -complet-. Il y avait même des familles avec enfants. je me suis senti frustré. J'ai passé mon temps à observer la foule, dont beaucoup de ses composants n'avaient pas l'habitude des films de jpm. Hilarant !!!!.
La semaine suivante le film n'était plus programmé qu'au Brady. J'y retourne au plus vire pour être entre connaisseurs.
A part celà le film est bien agréable, plutôt mieux réussi que les derniers. Et puis il y a Dominique Zardi et Berroyer !!!!
Du pur mocky, je comprend que l'on puisse detester, moi j'adore. Des personnages et une histoire dans le plus pur style du cineaste. Certes nous sommes loin des tous meilleurs Mocky, mais le film se laisse regarder avec interet et amusement.
Vu au Brady, le cinéma de Mocky. J'ai adoré Alison Arngrim, très étonnante (c'était Nellie Oleson dans La petite maison dans la praire). Les interventions de Renaud apportent quelque chose au film. Et il y a tous les fidèles de Mocky, de Dreyfus à Zardi. L'histoire se suit avec intérêt et humour, même s'il y a un peu trop de rebondissements peut-être. Dommage que le film ne sorte pas dans d'autres cinémas!
Des acteurs excellents et qui ne se prennent pas au sérieux (mention spéciale à Alison Arngrim, tour à tour hilarante et touchante), dans des personnages aussi bizarres les uns que les autres. Bien sûr, c'est du second degré, et le grand public ne va peut-être pas adhérer, mais Mocky fait toujours du travail intéressant.
Un bon moment de détente, mais rien d'exceptionnel. Jean-François Stévenin (avec une perruque!) et Alison Arngrim (qui est bien rentrée dans l'univers de Mocky) sont trop peu présents à l'écran. Le scnéario est un peu alambiqué, mais dans l'ensemble, c'est sympa.