Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Parisien
par Marie Sauvion
(...) C'est une affaire de charme et d'humour, et "Deux vies plus une", le premier long-métrage d'Idit Cébula, en a justement plutôt deux fois qu'une.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Elle
par Françoise Delbecq
Jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Positif
par Philippe Rouyer
(...) certaines scènes (...) sont empreintes de lourdeur. Il n'importe. (...) dans le genre ultrabalisé du film français sur la crise de la quarantaine, celui-ci se distingue et séduit.
La critique complète est disponible sur le site Positif
20 Minutes
par La Rédaction
Emmanuelle Devos rayonne
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Idit Cebula a suffisamment de doigté pour assurer le minimum syndical.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Comédie fantaisiste au ton décalé, portée par la pétillante Emmanuelle Devos et l'angoissé Gérard Darmon (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par La rédaction
L'ensemble n'est pas toujours maîtrisé, dans le rythme comme dans l'écriture, mais il y a de l'énergie, du charme et du sentiment, (...) portés par la vigueur bonhomme de Gérard Darmon et la sensibilité décidée d'Emmanuelle Devos.
Première
par Olivier de Bruyn
(...) un film qui, dans son genre (la chronique douce-amère du ras-le-bol), en vaut beaucoup d'autres. Mineur mais plutôt convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Aurélien Ferenczi
(...) le premier film de la réalisatrice Idit Cebula vaut surtout par la performance de sa comédienne principale : Emmanuelle Devos (...). On a le droit de trouver tout cela plus attachant que passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Sébastien Mauge
Un premier film en demi-teinte qui souffre de son manque d'originalité mais bénéficie d'une interprétation sans faille.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Malgré son évitement de certains écueils, Idit Cébula rate le coche en posant un regard conventionnel et anecdotique sur le travail et sur la famille juive de son personnage féminin.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Philippe Scrine
(...) un mauvais dosage des scènes de rire, totalement absentes de parties entières du film. Au final, on retiendra surtout les personnages, attachants, à la fois drôles et touchants, et la performance de leurs interprètes (...)
Metro
par Florence Santrot
La performance des acteurs, Emmanuelle Devos en tête, sauve cette comédie bien française qui reste un peu trop en surface de son histoire.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un revival médiocre des comédies des années 1970 avec femme émancipée et famille au bord de la crise de nerfs, sauvé par l'énergie, le charme et le jeu en demi-teinte d'Emmanuelle Devos.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Superficielle et conventionnelle, cette comédie reste en permanence à la lisière de son matériau et s'avère du coup fade.
Le Parisien
(...) C'est une affaire de charme et d'humour, et "Deux vies plus une", le premier long-métrage d'Idit Cébula, en a justement plutôt deux fois qu'une.
Elle
Jubilatoire.
Positif
(...) certaines scènes (...) sont empreintes de lourdeur. Il n'importe. (...) dans le genre ultrabalisé du film français sur la crise de la quarantaine, celui-ci se distingue et séduit.
20 Minutes
Emmanuelle Devos rayonne
Chronic'art.com
Idit Cebula a suffisamment de doigté pour assurer le minimum syndical.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Comédie fantaisiste au ton décalé, portée par la pétillante Emmanuelle Devos et l'angoissé Gérard Darmon (...)
Ouest France
L'ensemble n'est pas toujours maîtrisé, dans le rythme comme dans l'écriture, mais il y a de l'énergie, du charme et du sentiment, (...) portés par la vigueur bonhomme de Gérard Darmon et la sensibilité décidée d'Emmanuelle Devos.
Première
(...) un film qui, dans son genre (la chronique douce-amère du ras-le-bol), en vaut beaucoup d'autres. Mineur mais plutôt convaincant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) le premier film de la réalisatrice Idit Cebula vaut surtout par la performance de sa comédienne principale : Emmanuelle Devos (...). On a le droit de trouver tout cela plus attachant que passionnant.
aVoir-aLire.com
Un premier film en demi-teinte qui souffre de son manque d'originalité mais bénéficie d'une interprétation sans faille.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Malgré son évitement de certains écueils, Idit Cébula rate le coche en posant un regard conventionnel et anecdotique sur le travail et sur la famille juive de son personnage féminin.
MCinéma.com
(...) un mauvais dosage des scènes de rire, totalement absentes de parties entières du film. Au final, on retiendra surtout les personnages, attachants, à la fois drôles et touchants, et la performance de leurs interprètes (...)
Metro
La performance des acteurs, Emmanuelle Devos en tête, sauve cette comédie bien française qui reste un peu trop en surface de son histoire.
TéléCinéObs
Un revival médiocre des comédies des années 1970 avec femme émancipée et famille au bord de la crise de nerfs, sauvé par l'énergie, le charme et le jeu en demi-teinte d'Emmanuelle Devos.
Le Monde
Superficielle et conventionnelle, cette comédie reste en permanence à la lisière de son matériau et s'avère du coup fade.