Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
0,5
Publiée le 19 février 2007
je n'ai jamais vu un film aussi nul que celui la.j'ai dépenser de l'argent pour rien je me suis bien fais avoir en beauté.Comment on Peut sortir un film aussi POURRI !!!! que celui la. il faut vraiment etre bete voir debile.desolé pour ce qui aime ce film mais il est vraiment incroyablement a chier. je suis vraiment deçu !!!!!
Ca commence par Fred Poulet qui offre une caméra à Vikash et lui demande "si je te demande de me faire découvrir le Havre, tu m'emmènes où ?". Retour dans son quartier d'enfance, puis Vikash filme la ville exactement de là où moi je l'aurais filmée si on me le demandait :-)
Coupe du Monde, Vikash filme sa mise à l'écart progressive et programmée, l'attente, l'ennui, le cafard, le conformisme hallucinant de tous ses collègues, son malaise grandissant et saisissant, sa solitude.
Ce film est aussi une belle histoire d'amitié entre Dhorasoo et Fred Poulet, qu'on découvre à travers des conversations téléphoniques et des confidences.
Il n'y a pas besoin d'aimer le foot pour aimer ce film, qui parle d'abord et surtout du conformisme, de la pression du groupe, de la difficulté de ne pas penser (ou de ne pas ne pas penser) comme la majorité, et tout simplement d'un mec bien, vraiment bien. Film remarquable.
Très beau film. Parti d' une idée interéssante - se filmer tel qu'il est avec une caméra super 8 - Vikash Dhorasso mais aussi Fred Poulet -initiateur du projet - arrivent à nous surprendre. En abandonnant tout l'aspect technique et marketing du foot, on y découvre un personnage émouvant, noyé dans sa solitude et "prisonnier" du château, tout en admettant la chance qu'il a d'être ici. Un film fort, sincère, émouvant, juste, original, magnifique... Bref, un film à voir absolument.
Ce film ne peut être qualifié que par un seul mot: RIDICULE! Il est d'une nullité affligeante! Qualité d'image nulle..Contenu? nul une fois de plus! On assiste un dhorasoo dans toute sa splendeur (humour) incapable d'aligner 3 mots, répétant 36 fois la même chose tout au long du film, nous exposant ses états d'âme qu'on connaissait tous. Une question n'a cependant pas arrêté de me trotter dans la tête...se rend-il compte qu'il est totalement pathétique (pas au sens littéraire)? Bon je dois dire que néanmoins je n'ai jamais autant ri pendant un film! rien que d'y repenser... :D Je trouve que 8euros pour voir cette...comment dire...ce pitoyable compte-rendu que l'on a de la vie de dhorasso (très peu intéressante d'ailleurs) c'est bien trop cher payé!
J'ai beaucoup aimé, je ne pense pas qu'il faille le comparer aux "yeux dans les bleus" car ce dernier prenait partie à 100%, du fait du parcours réussi de la france, montrait l'effervescence et la ferveur que ce soit dans le groupe ou autour. Là, le parcours est presque autant réussi, mais on suit un homme qui malgré qu'il soit aux premières loges, ne parvient pas à s'associer au succès et s'interroge sur sa présence en allemagne. Le parti pris esthétique est un peu déroutant au début mais se révèle charmant au fur et à mesure en soulignant les états d'âme et parfois le mal-être de Dhoraso. Le montage image/son, ressemble un peu à un patchwork pas désagréable du tout. L'ensemble du coup va, je pense, au delà du seul contexte sportif et ne plaira surement pas au supporter venant chercher des moments d'intimité de l'equipe de france. C'est sensible, parfois touchant et montre un côté moins reluisant et plus sombre de la coupe du monde.
A contre pied de tout ce que peut attendre avec un tel postulat, cet essai tient à la fois du journal intime ultra sensible doublé d'une interrogation vraiment touchante sur les illusions perdues, l'individualité au sein d'un groupe, les valeurs de l'amitié et même sur la force du cinéma.
Ces images volées prennent corps avec une coherence et une maturité etonnantes et témoignent d'une richesse et d'une liberté assez exaltante.
En voyant les 10 première minutes je me suis dit que ce film allait être un désastre, puis finalement il représentait bien l'idée que je m'en était fait, pas un chef-d'oeuvre ça c'est sur, mais un long court-métrage, ou un court long-métrage bien sympatique, comme l'est Vikash! J'ai toujours aprécié ce joueur, que ce soit sur le terrain ou en dehors, et lors de ce film on s'attache vraiment à ce grand solitaire complètement paumé. Le super 8 ne m'a pas dérangé du tout, c'est plutot le son téléphone portable qui est un peu pénible, mais qu'on accepte car faisant parti de l'ambiance globale du film. Pour finir, malgré ces 1h10 il est encore un peu trop long, quelques passages sont surement de trop, ou auraient pus être écourtés...
Contrairement aux apparences,un film qui plaira aux filles! Enfin un homme qui parle de ses faiblesses, de ses doutes, sans jouer au super-héros...Vikash était parti en Allemagne pour être un héros mais le destin a fait de lui une simple doublure.Au lieu de bomber le torse, il livre ses états d'âme à son ami Fred Poulet,nous donnant accès à cette complicité "entre hommes" si rarement avouée, si peu filmée. On a beau connaitre la fin, on souhaite pendant tout le film que Vikash ait quelques minues de jeu! La sincérité de Vikash Dhorasoo touche juste. Les mecs auront envie d'aller boire un coup avec lui, les filles de le consoler en le serrant dans leurs bras. Un film surprenant, assez inoubliable...
Magnifique.Bien plus qu'un film sur le football, Substitute est avant tout l'histoire d'un homme mis à l'écart qui retrouve espoir de la manière la plus inattendue qui soit : en faisant un film, Vikash Dhorasoo transforme sa peine en quelque chose de neuf, de positif. Brinquebalant à la manière d'un Cassavetes, le film est un hommage touchant et euphorisant à l'amitié et à l'improvisation. Le choix de la coupe du monde de Football, événement surmédiatisé s'il en est, n'est pas neutre : Dans un événement filmé par des centaines de caméra 24H sur 24, une seule caméra super 8 un peu tremblante nous en apprend bien plus sur les joies et les peines d'un sportif que toutes les conférences de presse du monde. A méditer dans une socité où tout passe par une avalanche d'images, moins signifiantes les unes que les aurtes. En résumé, un film A voir de toute urgence, pour ceux qui pensent qu'on peut aimer le sport en dehors des victoires et pour ceux qui aiment le cinéma pour sa fragilité.
Putain de beau film. Vikash charismatique à mort. Beaucoup d'émotion. Le super8 donne une pointe de belle mélancolie au film. Ma copine était aussi super émue, comme quoi le film peut plaire à tout le monde... Y va avoir un débat au MK2 beaubourg lundi 19 à 20h et ce sera une bonne occasion pour voir Vikash parler du film.
Nul,Absolument rien a voir avec les yeux dans les bleus!Qualité d'image mediocre pour un documentaire vide sans aucun interet!1 etoile ca peut pas meriter plus et vikash tas joué au PSG...
Cette idée de "Yeux dans les bleus" version désenchantée a vraiment de quoi capter lintérêt et le personnage de Vikash Dhorasoo, poil à gratter du monde du football, se prête parfaitement à lexpérience. Mais concrètement, le film na malheureusement rien à proposer : Dhorasoo ne filme que les couloirs de son hôtel et son reflet dans la glace. Rien ne se dit, rien ne se fait, rien ne se voit. Sajoute à cela la qualité lamentable de limage que lon a du mal a expliquer (pourquoi ce choix presque puriste dune caméra à pellicule sil ny a pas de travail sur limage derrière ! Un caméscope numérique premier prix aurait fourni une image de bien meilleure qualité !!!) Vous laurez compris : pas grand-chose à se mettre sous la dent, si ce nest cette allégorie au fond assez juste de ceux qui sont injustement mis au ban de la société. Il semblera donc plus réaliste de dire au final que même les plus grands fans de foot et de Vikash Dhorasoo perdront leur temps dans les rares salles obscures qui se sont glorieusement risquées à diffuser ce film qui, vraisemblablement, navait pas les moyens de son ambition.