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Peichan2
61 abonnés
1 431 critiques
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2,5
Publiée le 10 janvier 2009
Un film très long, trop long, trop romancé, trop bon public, on sait comment ça va se poursuivre, continuer et terminer. On aurait aimé des rebondissements, mais ce n'est pas le cas. Du coup, on a des longueurs d'avances sur le scénario et on a le temps de réfléchir croyez moi ! Quelques scènes interessantes néanmoins et une sublissime Nicole.
"Quel spectacle" ai-je prononcé quand le film était fini. C'est un film à voir au cinéma, pendant 2h30 j'ai été dans un autre monde, tantôt crispée, tantôt avec mes deux mains jointes près de mon visage. Les yeux ronds comme des billes. Les images sont telles qu'on se croit vraiment en Australie, les couleurs, le paysage, les chants aborigènes, etc...De l'émotion à couper le souffle. J'ai eu réellement le souffle coupé.
Je viens de comprendre pourquoi ce film est resté aussi longtemps en stand-by dans mes choix ciné. C'est niais du début à la fin ! Des dialogues stupides, aucun suspens, chaque scène est connu à l'avance, des clichés en veux-tu en voilà... "Australia" ne trouvera qu'un bon point : sa photographie.
Si l’on admet que ce film est un bel hommage au cinéma traditionnel hollywoodien des années 50, que la narration semble plutôt kitsch et les décors ne sont que maquettes et carton pâte, alors nous passons un agréable moment à suivre les aventures épiques de Nicole Kidman et Hugh Jackman, australiens de pure souche. Le point fort du film de Baz Luhrmann est de faire découvrir l’Australie, décor naturel rarissime au cinéma et de lever le voile sur le destin tragique des aborigènes. A noter un découpage du film en deux parties distinctes, la première proche du western classique puis la seconde axée sur un drame de guerre...
Réaliser une grande fresque sur le pays du bout du monde est une riche idée. Si l'ambition du réalisateur s'avère grandiose en organisant une romance sur fond de début de seconde guerre mondiale, le pari de réussir à élaborer une telle épopée est parfaitement tenu. Porté par un acteur charismatique et par une actrice qui vient défrayer les critiques sur son jeu habituellement monotone, le film relate l'histoire d'une aristocrate Anglaise qui débarque en Australie et qui avec l'aide d'un de ses employés, réussir à conduire un troupeau de vache sur son territoire jalousement interessé par un magnat de la finance qui entreprensdra tout pour ruiner cette entreprise. Le réalisateur qui avait déjà collaboré avec Nicole Kidman dans "Moulin Rouge", signe une épopée riche en rebondissements et installe une romance qui génère les sensations et les sentiments humains que sont la colère, l'inquiétude, la jalousie, la protection de l'enfant, la joie de vivre bref tous les éléments sont réunis pour fabriquer un film qui risque d'entrer parmi les grands classiques du cinéma des années 2000. Le film dispose d'une photographie des paysages extraordinaire et montre sous son meilleur jour les attraits que peuvent apporter l'Australie dont la surface, il faut le rappeler, est un immense désert. Le film tient également à dénoncer le racisme des Anglais par rapport aux aborigènes qui pourtant étaient les premiers habitants de cette grande surface. Encore une fois, délivrer une romance sur un fond de guerre parfaitement rendu par les bombardements japonais qui touchèrent l'Australie s'avère être un bon filon que le cinéma développe depuis des années, depuis "Autant en emporte le vent". Le scénario est riche, dense, parfaitement bien ficelé, les acteurs sont parfaitement choisis et parviennent à émouvoir le spectateur soit par des rire soit par des larmes. Un film patriotique et qui révèle les défauts du pays ce qui apporte une réalité indispensable pour un long-métrage de ce genre. Bravo.
Australia est un film qui, à priori, a tout pour être un chef d’œuvre. Je parle de l’esthétisme époustouflant à la "Pearl Harbor", sorte de Western emplit de paysages magnifiques dans un 1er temps, dérivant sur un contexte guerre mondial en second plan. Je parle également du scénario, relativement travaillé sans trop de passages à vide et d'incohérences; quant aux acteurs, principalement Hugh Jackman, qui accentuent sans peine le petit côté Hollywood, très perfectionniste sur la plastique physique. A tout cela viennent se greffer quelques bémols notoires dont la durée légèrement excessive pour le contenue et également un rythme parfois hétérogène. Il est aussi question de la bande son signée David Hirschfelder, beaucoup trop chargée et trop présente qui vient à son insu, détourner la concentration visuel par un agaçant parasitage auditif; loin de moi l'idée que la musique soit mauvaise, mais plutôt mal utilisée. Ce film reste un bon divertissement malgré tout. 3,5/5
Un grand film romanesque non dénué d'humour comme l'on n'en voit rarement de nos jours. Si vous avez aimé retour à cold mountain , ce film est pour vous .
Dans la veine de "Out of Africa", ou de "Sur la route de Madison", "Australia" est un film d’aventures basé sur une romance à priori impossible comme on en voit rarement. Les deux acteurs principaux forment un couple inoubliable et nous emmènent dans un périple d’aventures planté dans un décor magnifique. A voir absolument.
Si tu veux voir un film nul, mais tellement nul, prétentieux et cliché qu'il en devient burlesque, nous te recommandons chaudement Australia, qui pourrait bien devenir un sommet du genre. Tous les stéréotypes qu'on peut trouver dans ce genre de... euh, production (restons polis), y sont. On dirait même un catalogue des clichetons de la grosse machine sentimentalo-politiquement correcte hollywoodienne. qq pistes : l'alcoloo repentit qui se rachète une conduite et qui meurt. Le meilleur copain black qui fait des blagues, et qui meurt (en sauvant plein de monde, of course). le méchant super méchant...et qui meurt. L'héroine aristo cucul qui s'adapte au pays après les inévitables épreuves initiatiques. Le héros viril et sôvaaage qui insupporte l'héroïne aristo avant que tout ça se termine au pieu (évidemment). L'héroïne qu'on croit qu'elle meurt mais qu'en fait elle meurt pas. Les ralentis avec violons au moment où le héros retrouve l'héroïne qu'il croyait morte mais qu'en fait non c'était sa copine qui a mouru à sa place. Les gentils naborigènes et les vilains colons (enfin pas trop vilains, quelques uns sont vilains, mais ils meurent ou sont ruinés, alors ça ne remet pas en question la présence globale des blancs en australie, faut pas déconner non plus). Yes we can version australienne. Je ne voudrais pas oublier de mentionner Nicole Kidman qui surjoue et Hugh Jackman (Wolverine) aussi charismatique que Christian Bale et François Hollande réunis, sans doute pour compenser le cabotinage de la vedette (louable effort artistique). Et bien sûr les images de synthèse complètement foirées (le rendu de la mer, mort de rire) Verdict : grand prix du navet 2008.
Un très bon film. Je suis pas vraiment fan de film de romance mais celui là, m'a beaucoup plu. De part l'univers et le choix de l'époque. Le scénario est intelligent en parlant d'aborigènes (très peu de films sur les aborigènes, et c'est dommage car la culture des aborigènes est géniale). Le film montre du doigt le racisme, et la différence entre les humains. Ce sont des thèmes très intéressant et très fort car, parfois ces thèmes amènent des guerres malheureusement. Et puis, il y a le contexte historique. La seconde guerre mondiale, un contexte assez tendu. Remarquons comme d'habitude la performance de Hugh Jackman qui est juste incroyable. Mais aussi Nicole Kidman qui est très bien joué son rôle au point même de voler la vedette à Jackman. Et sinon la musique est juste incroyable. Elle est magnifique et colle avec toutes les scènes du film. Je voudrais finir par les décors et les costumes. Les décors sont juste sublimes, et les costumes sont très bien réalisés et qui sont fidèles à l'époque où se déroule le film (ça veut dire en 1939/1940).