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Un visiteur
1,0
Publiée le 27 janvier 2008
"CONFESSIONS OF PAIN" est aussi ennuyeux, confus et raté qu'INFERNAL AFFAIRS était intense, fluide et réussi. Le face à face (si tenté que c'en est un) ne fait pas d'étincelles, la tension ne monte jamais et les actrices sont des faire valoir (comme souvent dans les films policiers asiats). C'est surjoué d'un côté (l'acteur Takeshi picole de la premiere a la dernier image) et monotone de l'autre. Bref pas étonnant que ce thriller mou du genou soit un direct to Video et ne soit pas passé dans les salles. Un ratage presque complet.
Dans un style de réalisation particulier, le film est un bon policier sans surprise, sans prétentieux assez bien servi par les acteurs avec une ambiance assez sombre.
Même si l'on sait de suite qui est derrière cette manipulation Confession of Pain est un bon thriller bien mené et sans temps morts, on s'intéresse aux personnages grâce à de bons acteurs qui parviennent à provoquer une certaine émotion et l'intrigue bien qu'attendue est finement écrite après on peut regretter une mise en scène qui crée un climat un peu confus mais c'est ponctué de quelques scènes spectaculaires. Confession of Pain ne marquera pas les esprits et ne fait pas partie des ses suspenses magistraux qui fascinent mais il est suffisamment bien fait pour nous faire passer un bon moment.
Après la belle réussite de Infernal Affairs, on s’attendait à ce que l’association des deux réalisateurs Alan Mak, et Wai Keung Lau, tire avec autant de brio son épingle du jeu dans ce polar dont les matières premières n’étaient pas inintéressantes. Un flic froid et calculateur, et un autre, névrotique, mêlé à une enquête tortueuse qui va mettre à jour des secrets chez les deux. Hélas nos deux cinéastes chinois vont saboter la structure narrative en choisissant de révéler d’entrée de jeu le « pot aux roses ». Ce choix maladroit de structure narrative, sera aggravé par d’autres choix : celui d’étirer des scènes peu stratégiques, et celui d’écourter à outrance les scènes qui étaient sensées éclairer les motivations des protagonistes. Jusqu’au choix du titre qui semble maladroit, n’illustrant qu’une infime partie de l’intrigue. Pas sérieux tout ça, Mak et Lau !
Ce film aurait pu être plus noir avec un scénario moins prévisible, avec des situations moins cousues de fils blancs, des personnages moins caricaturaux... Dommage, ne reste qu'un film policier classique, sans grand suspense, sans originalité...
Auteur des géniaux Infernal Affairs Alan Mak fait avec Confession of Pain un nouveau thriller. On sent bien que ce qui l’intéresse le plus c’est la psychologie de ses personnages, de les décrire de les étudier jusqu’à donner l’impression de les connaître. Malheureusement dans ce film il oublie de faire un véritable thriller. La partie enquête est bâclée et le film manque de tension. Dommage.
Le trio de réalisateur/scénariste de la trilogie Infernal affair sont de retour avec un polar psychologique. Mais voila si le casting est à la hauteur (sauf Shu Qi qui fait n'importe quoi)le film est loin de valoir son prédécesseur. Andrew Lau a beau avoir progressé avec une réalisation élégante, le film souffre d'un didactisme épouvantable et d'un excès de sentiment digne du mélo le plus grossier. On ne peut même pas dire que l'équipe joue sur le suspense, l'identité du coupable est désigné rapidement mais plutôt sur les raisons et les contours psychologique de ces protagonistes torturés.Ce qui entraine par moment l'impression que la bande a décidé de faire pleurer et en fait des tonnes pour y arriver sur fond d'explications intempestives pour une intrigue que tout le monde a compris.
Après la trilogie "Infernal affairs" Alan Mak et Andrew Lau signent un nouveau polar, malheureusement c'est un impardonnable raté. Eux qui avaient su donner tant d'intensité psychologique à leurs personnages, ils se perdent ici à compliquer un récit pourtant simple, il en devient ennuyeux et les personnages deviennent difficiles à cerner et peu attachants.
Un thriller très décevant qui pouvait proposer quelque chose de bien mieux mais qui se perd vite , trop vite d'ailleurs , et ne laisse place a aucun suspense ou intrigue . On commence le film en sachant deja qui est le tueur , quel est l’intérêt ? On aurait pu avoir une bonne enquête , une bonne intrigue maintenu , un thriller agréable ou l'on aurait voulu savoir ou cette histoire nous menait mais non on sait deja qui a tué et ceci nous mènera a un film long , répétitif et ennuyeux .
Pas d'intrigue c'est un énorme point noir , surtout pour un thriller , mais c'est aussi long . 2h que j'ai sentit passer sur la fin principalement , des longueurs , des dialogues fade et on s'ennuie beaucoup voir trop dans certaines scènes . Sachant qu'il n'y a pas d'intrigue ça mise sur quelques chose qui tourne en rond , ça en devient vite lourd et ça manque de rythme .
La réalisation est par moment maladroite , quelques scènes d'action semblent avoir été tournés avec les pieds . Le scénario se veut compliqué et c'est vite lourd , dommage donc ce polar Hong Kongais avait bien plus de potentiel mais est bien raté , reste de bon acteurs et un points de départ qui avait de quoi être mieux exploité , une grosse déception .
"Confession of Pain" déçoit après la brillance stylistique et thématique de "Infernal Affairs". Si l'on admet le choix commercial de Lau et Mak d'associer au génie de Tony Leung (encore confirmé dans un registre nouveau pour lui) les belles gueules craquantes des sexy Takeshi Kaneshiro et Shu Qi), si l'on reconnaît l'incroyable élégance formelle du filmage et du montage (le filmage à 360 degrés caractéristique du polar hong kongais, l'éclatement de la narration en un millier de sensations diffuses, extrêmement poétiques), on est finalement déçus par la faiblesse d'un thème par trop classique (la vengeance et le traumatisme infantile) et l'absence d'enjeux réels dans la relation entre les 2 héros - soit un véritable gouffre par rapport au ballet abstrait de "Infernal Affairs". Le pire reste quand même la lourdeur explicative - surprenante de la part de stylistes comme Lau et Mark - de la fin, comme si les réalisateurs doutaient d'un coup de la capacité du spectateur à comprendre la finesse de leur scénario.
Certe ce film, est un peu en dessus de la trilogie infernal affairs, mais il reste excelent... Tony Leung et Takeshi Kaneshiro nous livre une préstation du tonnerre, comme on en voit que trop rarement dans un film. L'histoire est vraiment très noir, et le film se termine sur une fin magistrale... La réalisation se veut soigné... Keung et Mak réalisent ici encore un très bon film. A voir et conserver.
Après Infernal Affairs, le duo Mak et Keung récidive avec ce polar léché pas désagréable mais incontestablement attendu et tiré par les cheveux. Remake en prévision.
Une bonne intrique, deux personnages qui s'opposent, ce film n'est pas sans rappeler "internal affairs" ne serait-ce que sur la forme. Mais le film est lent et manque de caractère. Le tout est plat, peu rythmé, pas de quoi vraiment nous emballer. La réalisation est assez prévisible et confuse, même maladroite. A noter que la bande sonore est quand à elle très réussi. Ce n'est certes pas le film de l'année.