Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
0,5
Publiée le 13 avril 2011
Franck Dubosc est tombé bien bas. Impressionnant ! les dialogues sont nuls, l'humour inexistant et les costumes d'une laideur , on trouve les même dans des grandes surfaces pas cher. Mais le pire dans tout ça c'est le scénario incompréhensible il va falloir que l'on m'explique l'intérêt du film. Je ne peux pas vraiment en dire plus je me suis arrêté après une demi-heure de.... daube.
Des répliques sur mesure pour Dubosc -donc troisième degré et plus- et beaucoup de scènes qui tombent à plat. Alors même si certains clins d'oeil au cinéma sont réussis, je n'irais pas jusqu'à conseiller ce film, même au cinéphiles, mais bon dans l'ensemble ça se regarde, notamment pour Pierre Richard et Lucy Gordon.
Le debut etait prometteur mais on arrive rapidement dans un recit lineaire et lent...ca devient du grand n'importe quoi...Mais ca reste au dessus du dernier boon...en meme temps c'est pas dur..on remarque la "star" du moment ANNE MARIVIN...constamment demandée depuis le succes inexplicable des ch'tis de boon.......elle enchaine les tournages mais pas en bien...Dubosc continue sa filmo mediocre...affligeant
Une idée originale et quelques moments assez drôles. Mais tout est excessif (jeu des acteurs, mise en scène...) ce qui tue le film. De plus, la post-production est un des pire qu'il m'est été donné de voir (doublage pourri et on voit même un cameraman clairement lors d'une scène de Robin des Bois...).
Yann Moix pond avec Cineman le pire film film de l'année. Il faut être clair on a quasiment jamais vu un tel naufrage. D'un point de vue technique le film est une aberration. Entre la bande son resynchronisé en post production et la réalisation du nuliisime Moix, on attend les profondeurs de la nullité. Mais pire que ça il y a la condescendance du film pour les œuvres qu'ils ridiculisent. Comment ont t-ils oser massacrer autant de chez d'œuvre avec un mauvais gout et une prétention nauséabonde. Se déclarer cinéphile est une chose l'être en est une autre. Enfin un dernier mot sur les acteurs encore Pierre Dubosc qui répète son numéro usé et un Pef cabotin comme jamais.
Il n'y a même pas de mot pour décrire ce macabre spectacle.Ce film détruit les films qu'il expose.Sincèrement entres collègues on l'a regardé on ne savait même plus quoi dire,on en est resté sans voix. Dubosc nous montre sa betise et qu'on ne me parle d'écriture pour ce film où le scenario tient sur une feuille de pq
"Cinéman" n'est clairement pas un hommage au cinéma mais plutôt une comédie qui parle de cinéma et qui en profite pour faire quelques clins d'œil aux grands classiques du 7ème art. Notre ami Dubosc a le pouvoir de passer de pellicule en pellicule pour retrouver l'amour de sa vie Vivianne Cook (Lucy Gordon) prise en otage par Craps (PFML). Pour une comédie "Cinéman" ne sera malheureusement pas assez marrant mais on peut au moins féliciter l'équipe technique pour les costumes et les décors. Un film qui mérite d'être vu car rien de la sorte n'avait été fait jusque-là.
Très décevant, malgré une bonne idée de départ et des bons acteurs Cinéman n'est pas à la hauteur des attentes. Et même si il y a beaucoup de clins d'oeil à certains films (Taxi Driver, Sissi, Tarzan,...), ce film est médiocre.
Après 9 minutes 20 d'insipidités dans un lycée Alfred Jarry où - puissante mise en abîme - les élèves sont tenus d'arborer sa tronche sur le bide, il y a cette réplique, délivrée dans un restaurant pseudo-design par un Frank Dubosc plus sinistre que jamais à une radasse glanée sur un site de rencontre quelconque: "Tenez, ce sont des boucles d'oreille en forme de banane. Et vous verrez, elles font pouêt-pouêt quand on appuie dessus.'' C'est là que j'ai abandonné...
Ce mot d'auteur est à rapprocher de ceux, si subtilement mesurés, de Bernard-Henri Lévy à propos du film: "ce « Cinéman » [...] est le spectacle le plus impressionnant qui nous soit donné de voir ces jours-ci [...] Auguste Comte, ou Hegel, n’étaient pas loin de penser, eux aussi, que la diversité des systèmes était une illusion créée, pour avoir la paix, par un Esprit unique, se déployant à travers les âges et déposant ses doctrines comme on enchaîne les pirouettes."